Hugo Le Crapaud

Pondichéry SÉRIES GÉNÉRALES   Objet d'étude : La poésie. Texte A : Victor Hugo, « J'aime l'araignée », Les Contemplations, Livre III, « Les luttes et les rêves », XXVII (1856). Texte B : Lautréamont, « Le Pou », Les Chants de Maldoror, chant 11, 9 (1869). Texte C : Tristan Corbière, « Le Crapaud », Les Amours jaunes (1873). Texte D : Germain Nouveau, « Le Peigne », Valentines (1887).  Texte A -  Victor Hugo (1802-1885), « J'aime l'araignée », Les Contemplations, Livre III, « Les luttes

Victor Hugo, le second est intitulé le « pou » et est tiré du recueil Les Chants Maldoror publié en 1869 par Lautréamont, le troisième est « Le crapaud » de les amours jaunes publié en 1873 par Tristan Corbière et enfin nous avons « le peigne » du recueil Valentines de 1887 de Germain Nouveau. Nous nous demanderons en quoi ces poèmes sont provocateurs. Nous justifierons notre réponse à l’aide d’éléments précis pris dans les différents textes. Nous commençons par le poème de Victor Hugo où il parle

Le Crapaud Un chant dans une nuit sans air... La lune plaque en métal clair Les découpures du vert sombre. ... Un chant; comme un écho tout vif Enterré là , sous le massif ... - Ça se tait : Viens, c'est là, dans l'ombre... - Un crapaud ! - pourquoi cette peur, Près de moi, ton soldat fidèle ! Vois-le, poète tondu, sans aile, Rossignol de la boue... - Horreur ! - Il chante. - Horreur !! - Horreur pourquoi ? Vois-tu pas son œil de lumière... Non : il s'en va, froid, sous sa pierre

Martin Piegay Français Sujet : Expliquez la réflexion de Victor Hugo sur la poésie « A voir les choses d'un peu haut, il n'y a, en poésie, ni bons ni mauvais sujets, mais de bons et mauvais poètes. » D’après la citation de Victor Hugo « A voir les choses d'un peu haut, il n'y a, en poésie, ni bons ni mauvais sujets, mais de bons et mauvais poètes. » et des autres textes du corpus, Ont peut voir que la poésie ne dépend pas du sujet mais de l'auteur. Ont peut donc se demander En quoi la poésie

premier s'intitule « fonction du poète », il a été publié en 1840 dans Les Rayons et les ombres de Victor Hugo. Les deux suivants sont des poèmes de Charles Baudelaire, l'un s'appelle « l'Albatros » et a été publié en 1849 dans les fleurs du mal ; le second, « Le fou et la Vénus » a été publié vingt ans plus tard dans Spleen et Paris. Notre dernier poème est de Tristan Corbière, il se nomme « Le crapaud ». Il fait partit de son recueil : Les Amours jaunes parut en 1873. On se demande alors quelles sont

1750). Esthétique vient du grec « aisthetiké » = sensation. I) Beauté et laideur A) La relativité du Beau et du Laid Le beau peut paraître laid, et le laid peut devenir beau Voltaire : « demandez au crapaud ce que c’est que la beauté […] il vous répondra que c’est sa crapaude », Dictionnaire philosophique¸BEAU. Le gothique, qui qualifie les cathédrales construitent au moyen âge,  signifiait « barbare » et laid. Alcibiade compare Socrate aux statuettes des Silène : grotesque à l’extérieur

Un Crapaud Introduction Tristan Corbière est un poète du XIXe siècle marqué par le Romantisme. C'est un mouvement associant le vécu de l'auteur, avec l'utilisation du « je » et du « moi », à la volonté d'explorer toutes les possibilités de l'art afin d'exprimer les extases et les tourments du cœur et de l'âme. Corbière est un poète incompris en son siècle mais connait plus tard, grâce à Verlaine un peu plus de gloire. On sait aussi que ce poète souffre de rhumatisme articulaire depuis sa jeunesse

de Victor Hugo, le second est intitulé le« pou » et est tiré du recueil Les Chants Maldoror publié en 1869 par Lautréamont, le troisième est « Le crapaud » de les amours jaunes publié en 1873 par Tristan Corbière et enfin nous avons « lepeigne » du recueil Valentines de 1887 de Germain Nouveau. Nous nous demanderons en quoi ces poèmes sont provocateurs. Nous justifierons notre réponse à l’aide d’éléments précis pris dans lesdifférents textes. Nous commençons par le poème de Victor Hugo où il parle

les mêmes réponses que es Surréalistes au XXè siècle. A qui se fier don ? Ronsard, La Fontaine, Hugo, Baudelaire ou Eluard ? Faut-il se référer à l’esthétique selon Boileau, selon Breton ? Ainsi, il peut déjà être pertinent de s’interroger sur les sources d’inspiration des poètes. Si une certaine unanimité peut se faire autour de la beauté, certains auteurs, à l’instar de Tristan Corbière et son Crapaud  surprennent, choquent. « La laideur peut-elle donc être une source d’inspiration au même titre

du Moyen-Age à nos jours. Textes : Texte A : Victor Hugo, « J'aime l'araignée », Les Contemplations, Livre III, « Les luttes et les rêves », XXVII (1856). Texte B : Lautréamont, « Le Pou », Les Chants de Maldoror, chant 11, 9 (1869). Texte C : Tristan Corbière, « Le Crapaud », Les Amours jaunes (1873). Texte D : Germain Nouveau, « Le Peigne », Valentines (1887). ========================================================== Texte A - Victor Hugo (1802-1885), « J'aime l'araignée », Les Contemplations