Hugo Le Voile

vrai vie comme l’énonce Victor HUGO « Le théâtre n’est pas le pays du réel (…) c’est le pays du vrai ». Sur scène on peut trouver une multitude d’artifices, dont le masque, et une mise en scène selon l’interprétation du texte. L’acteur fait partie de cette chimère, de fait l’acteur mime. Son hypocrisie engendre le fait qu’il ne dévoile pas son vrai visage, qu’il le cache par du maquillage, par une expression du visage exagérée ou tout simplement en portant un voile. Le théâtre crée un paradoxe,

Sur une aile ma prière, Pour que je m'envole aussi. Et sur l'autre mes chansons. Si tu pars, mon front se penche ; Que dirai-je aux champs que voile Mon âme au ciel, son berceau, L'inconsolable douleur ? Fuira, dans ta main blanche Que ferai-je de l'étoile ? Tu tiens ce sauvage oiseau.

laboureur des monts qui vit sous la ramée Est rentré chez lui, grave et calme, avec son chien; Il a baisé sa femme au front et dit: C'est bien. Il a lavé sa trompe et son arc aux fontaines  Et les os des héros blanchissent dans les plaines. | (Victor Hugo, Aymerillot.) * « J'aime la liberté et languis en service, (...) Je n'aime point la cour et me faut courtiser... » - Joachim du Bellay * « Nous ne voulons point troquer ce que tu appelles notre ignorance contre tes inutiles lumières. » - Diderot

Elle était déchaussée, elle était décoiffée... Hugo Situation - Ecrit en 1853 - Fait parti du recueil " Les contemplations ", marqué par le deuil de sa fille et son exil. - C'est un des rares poèmes du recueil où la douleur n'est pas témoignée. Texte Elle était déchaussée, elle était décoiffée, Assise, les pieds nus, parmi les joncs penchants ; Moi qui passais par là, je crus voir une fée, Et je lui dis: Veux-tu t'en venir dans les champs ? Elle me regarda de ce regard suprême Qui

à la main qui l'a faite, Je sais l'art d'échapper aux charmes les plus forts, Et quand ils m'ont réduit à ne plus me défendre, Savez-vous, belle Iris, ce que je fais alors ? Je m'enfuis de peur de me rendre. Victor Hugo, les contemplations, « à celle qui est voilée » Roll Alfred, Thaulow et sa femme, 19ème Pierre de Ronsard, « à Cupidon » Vertumne et Pomone, BALEN Hendrik van le Vieux, 17ème Paul Verlaine, « Green » Voici des fruits, des

LA POÉSIE CENTRES ÉTRANGERS SÉRIE ES / S   Objet d'étude : La poésie. Textes : Texte A - Victor HUGO, « Demain, dès l'aube...», Les Contemplations (1856) Texte B - Guillaume APOLLINAIRE, « Si je mourais là-bas...», Poèmes à Lou  (1915) Texte C - Pierre de RONSARD, « Je n'ai plus que les os...», Derniers vers (1586). ÉCRITURE I. Après avoir lu les textes du corpus, vous répondrez à la question suivante (4 points) :         Comparez les situations d'énonciation de ces trois poèmes : en quoi

fenêtre pour créer ses poèmes. - Le poète à sa fenêtre : thème romantique. - Omniprésence du ciel -> champ lexical. Astrologue, clochers (2), mâts, ciel / cieux (religieux). Strophe 1 : vers 2 : nuit Vers 3 : Matin : le jour. Strophe 2 : ciel voilé (brume, fumée, fleuves de charbon, nuit / pénombre) Vastitude, liberté, associés à la ville. 2) La ville industrielle a) "Les clochers" : aspect traditionnel de la ville de Paris. b) - Les usines : -> L'atelier -> "les tuyaux" -> "Les fleuves

autre qui lui est proche (rapport de proximité) | Nous avons bu toute une bouteille (contenu => contenant). Socrate a bu la mort (= la ciguë) (effet => cause) | Synecdoque | Variété de métonymie, elle joue sur un rapport d'inclusion | Il aperçut une voile (=un bateau) (partie = tout) Un mortel (=une qualité pour l'homme entier) (tout = partie) | Périphrase | Elle remplace un terme par une expression plus développée. | La Venise du Nord (=Bruges) | ATTENUATION | Définition | Exemple | Euphémisme

nouvelle (prose) II. Une course poursuite Cadre naturel, 2 personnages évoluent : 1. Le narrateur : Son identité, son pouvoir, son enthousiasme Personnification de l’aube : Voit l’aube comme une personne avec qui il change (muse, déesse, voile) Nous fait voir les choses comme si 1e fois → Regard émerveillé, enfantin Occurrence des « Et » → Enthousiasme -Image du soleil, des couleurs, de la lumière 2. La déesse Elle apparaît au milieu du texte -Aube personnifié -Femme, inspiration

trompe. Nochers imprudents ! Le vent dans la voile Déchire la toile Comme avec les dents ! Là-haut pas d'étoile ! L'un lutte avec l'air, L'autre est à la pompe. - Le vent de la mer Souffle dans sa trompe. C'est toi, c'est ton feu Que le nocher rêve, Quand le flot s'élève, Chandelier que Dieu Pose sur la grève, Phare au rouge éclair Que la brume estompe ! - Le vent de la mer Souffle dans sa trompe. Victor Hugo XIXe L'Homme et la mer Homme libre, toujours