Hugo Les Misérables Gavroche

par l’injustice. Le bras levé, armé de pistolets de cavalerie, il exhorte au combat. Il porte en bandoulière le sac d’un soldat, certainement mort. Son béret de velours noir évoque les étudiants de Paris. Victor Hugo s’inspira de cet enfant pour le personnage de Gavroche dans Les Misérables 3*Ce cadavre est un soldat de la Garde royale de Charles X. Le roi venait de dissoudre la Garde royale quelques jours plutôt mais a cependant laissé aux soldats leurs armes. 4*Avec ce cadavre de soldat à moitié

Liberté – République – Allégorie– symboles - Violence – Armes – Peuple - Un salon de peinture- pictural –Composition –Premier-plan- Arrière plan - Eugène DELACROIX- Etablir des réseaux selon des critères donnés : > En littérature : Les misérables de Victor Hugo > En peinture : classer le tableau dans le genre des peintures historiques, caractériser le mouvement romantique > Dans la période contemporaine : Picasso, Guernica > Œuvre du même peintre autour de thèmes historiques : La décapitation du

garçon qui symbolise «  les gamins de Paris ». Ils ont participé au combat. On voir d’ailleurs l’un d’entre eux, à gauche, agrippé au pavé. Ce garçon est le symbole de la jeunesse, révolté par l’injustice. Il inspira Victor Hugo le personnage de Gavroche dans «  Les Misérable », tente ans plus tard. Il porte des pistolets dans les deux mains et une sacoche trop grande. Il a sûrement pris ces objets à un soldat mort. A sa droite, c’est un paysan venant travailler à la ville comme ouvriers. On retrouve

liberté : elle n’a jamais exister ; elle incarne une idée abstraite c’est ce qu’on appelle une allégorie Un enfant d’une dizaine d’années porte deux pistolets prit illégalement sur un cadavre. Ce personnage rappelé beaucoup Gavroche de Victor Hugo dans les Misérables. Delacroix veut souligner le fait que toutes les générations ont été mobilisées. L’enfant du tableau est également le symbole donc Paris. Dans les rues de la capitale, ils sont des milliers comme lui, souvent sans famille, vivant

La littérature du XIXème siècle : Les misérables de Victor Hugo I – Résumé de l’intrigue : En 1815, un homme nommé Jean Valjean sort du bagne. Il vient d’y passer dix-neuf ans pour avoir volé un pain et tenté de s’évader à plusieurs reprises. En route pour son village natal, il croise la route de l’évêque Bienvenu qui lui offrira gîte et couvert alors que personne ne veut ouvrir sa porte à un ex-forcat. Malgré la générosité de son hôte, Valjean n’hésitera pas à lui dérober son argenterie

expressive, l'emploi de nombreuses figures de rhétorique (images, accumulations ...) ou la recherche d'effets musicaux jouant sur les rythmes et les sonorités (allitérations, anaphores ...). Deux exemples emblématiques : « Demain, dès l'aube... » de Victor Hugo (_Les contemplations_) et Ne me quitte pas de Jacques Brel. {text:bookmark} Le registre fantastique L'interrogation est de mise aussi dans le cas du registre fantastique qui introduit une faille dans le réel, jouant sur le doute d'une réalité possible

expressive, l'emploi de nombreuses figures de rhétorique (images, accumulations ...) ou la recherche d'effets musicaux jouant sur les rythmes et les sonorités (allitérations, anaphores ...). Deux exemples emblématiques : « Demain, dès l'aube… » de Victor Hugo (Les contemplations) et Ne me quitte pas de Jacques Brel. L'interrogation Parfois le lecteur se trouve face à un questionnement vis-à-vis du texte, ce questionnement pouvant mettre en jeu la réflexion comme l'émotion. Le registre argumentatif L'interrogation

mort-vivant Le chiasme : sur 4 éléments, le premier et le 4ème peuvent être associés, le 2ème et le 3ème peuvent être rapprochés. Ex : Et l’on voit de la flamme aux yeux des jeunes gens Mais dans l’oeil du vieillard on voit de la lumière. (Hugo) L’antiphrase : expression ironique d’une idée par son contraire. Ex : Ah, tu es belle comme ça! =ça ne va pas du tout. Les figures de la répétition : Le parallélisme : répétition de la même construction dans 2 phrases ou 2 propositions. Ex :

roman réaliste est aussi un moyen pour les sociétés actuelles d’être un témoin historique des mœurs de l’époque, une façon de s’instruire hors des livres d’histoire. On peut citer en exemple le roman Les Misérables de Victor Hugo qui décrit les rues de Paris notamment à travers le personnage de Gavroche qui apparait alors comme l’archétype du gamin de Paris. Mais les limites entre le réel et l’imaginaire sont des fois floues, on trouve trop souvent d’inventions dans le réel ou de réel dans l’imaginaire

cours de français … 3) Transpositions et composition : Dans ce roman, Gudule fait de nombreuses références à certains classiques de littérature comme Alice au pays des merveilles de Lewis Caroll, Poil de Carotte de Jules Renard, Les Misérables de Victor Hugo et les Poésies d’Arthur Rimbaud. Allant même jusqu’à citer certains passages de ces classiques voire de faire se rencontrer ses protagonistes avec les célèbres personnages de ces différents classiques. Autant de classiques que l’auteur utilise