Huguenot

confrères »(chapitre I). De plus, c'est à cause de La Chaise que l'Ingénu se retrouve à la Bastille « le révérend père de La Chaise, confesseur de Louis XIV, avait reçu la lettre de son espion, qui accusait le Breton Kerkabon de favoriser dans son cœur les huguenots, et de condamner la conduite des jésuites » (chapitre IX), et c'est à cause du Père Tout-à-tous que Mademoiselle de Saint-Yves retourne vers Saint-Pouange. On a donc une critique très forte des personnages religieux, qui ont des attitudes contradictoires

follets. Ils vivent ensemble l'anecdote tragique du «Saut de la Trogne» ; puis la vieille nourrice Sébastienne, maltraitée par Médard, est envoyée par celui-ci à Préchampignon, la ville des lépreux. Le jeune garçon, de son côté, visite la famille huguenote installée au « Val-desJoncs », où il trouve Ésaü, jeune voyou de son âge, et d'où s'enfuit « le Boiteux» venu se réfugier pour la nuit. Enfin on sent la présence de «l'homme pourfendu» à côté de l'enfant. Chapitre VI Le vicomte poursuit la

bravoure, et une dispense lui permettant d'épouser celle qu'il aime. En chemin, il rencontre des Huguenots chassés du fait de l'édit de Fontainebleau et décide de prendre leur défense auprès du roi. Cependant, il n'arrive pas à faire entendre sa voix à Versailles, et se fait mettre en prison à la Bastille à la suite de deux lettres le dénonçant, dont une affirmant son engagement en faveur des Huguenots. En prison, il fait la connaissance du janséniste Gordon, qui tente de le former aux préceptes de

noblesse d'épée qui veut combattre le roi catholique, et la petite et moyenne bourgeoisie.Le Parlement se oppose au pape, mais préconise une ultracatholicisme. Huguenots, À partir de la Réforme ne peut pas parler de celui-ci l'europe, la réforme a permis de voir le monde différemment, avec deux visions distinctes, la vision luthérienne-huguenot / vision catholique. Le roi doit préserver la religion catholique et la religion de ses sujets. Le tableau proposé au comentaire a été peintre par....// Mise

pour sa bravoure, et une dispense lui permettant d'épouser celle qu'il aime. En chemin, il rencontre des Huguenots chassés du fait de l'édit de Fontainebleau et décide de prendre leur défense auprès du roi. Cependant, il n'arrive pas à faire entendre sa voix à Versailles, et se fait embastiller à la suite de deux lettres le dénonçant, dont une affirmant son engagement en faveur des Huguenots. En prison, il fait la connaissance du janséniste Gordon, qui tente de le former aux préceptes de cette doctrine ;

juge ttes affaires où réf impliqués = 95% des cas, Nérac, Grenoble, Rouen qui 1 prot, 11 catho et 1 prsdt catho) → actes mil des troubles sont AMNISTIES + crimes et vengeances perso sont PUNIS => rôle d'apaisement -egalité civile pour les huguenots E* ds realité └>Lyon + Bx : les charges municipales restent fermées aux prot -pour les brevet → APPLICATION DEPEND QUE DE LA VOLONTE ROYALE └>places de sureté → ont bien des garnisons royales MAIS leur entretien est à la charge des réformés

: 1ère question : « L’impitoyable bailli, qui ne pouvait réprimer sa fureur de questionner, poussa enfin la curiosité jusqu’à s’informer de quelle religion était monsieur le Huron ; s’il avait choisi la religion anglicane, ou la gallicane, ou la huguenote ? » => formulée de façon indirecte, posée par l’homme de loi le Bailli => amène une réponse directe de l’Ingénu, claire, au présent de l’indicatif et qui admet l’existence de plusieurs religions. Ce dialogue est perverti par les exclamations

: 1ère question : « L’impitoyable bailli, qui ne pouvait réprimer sa fureur de questionner, poussa enfin la curiosité jusqu’à s’informer de quelle religion était monsieur le Huron ; s’il avait choisi la religion anglicane, ou la gallicane, ou la huguenote ? » => formulée de façon indirecte, posée par l’homme de loi le Bailli => amène une réponse directe de l’Ingénu, claire, au présent de l’indicatif et qui admet l’existence de plusieurs religions. Ce dialogue est perverti par les exclamations de

politique de Louis XIV, notamment les traces de la révocation de l'édit de Nantes le 18 octobre 1685. Il faut rappeler certaines critiques qui ont été émises au sujet du départ des huguenots (l.40) « s'il y a eu des huguenots combien il en est sorti. ». La critique touchait les domaines économique et militaire. En effet même huguenot, ils restaient des sujets de Louis XIV soumis à l'impôt, c'est donc un manque à gagner pour l'État, sans oublier que le fait que beaucoup d'entre eux étaient des officiers militaires

Saint-Barthélemy en 1572). Les homme de pensée, les poètes, les érudits prenaient part aux querelles : voyez par exemple Du Bellay ou Agrippa d'Aubigné. Henri IV parvint à apaiser les différends en 1598 en promulguant l'Édit de Nantes, qui assurait aux huguenots la liberté de culte en des lieux prescrits et leur rendait certains droits civils et militaires. En Angleterre, en Écosse, dans les pays scandinaves, la Réforme prit aussi des formes particulières, alors que dans les pays méditerranéens l'Église