Huguenot

trente ans. 2 – Contexte politique et religieux En France, Henri IV monte sur le trône et instaure l’édit de Nantes en 1598 qui permet à chaque Français de pratiquer sa religion sans crainte. La France fera respecter cet édit permettant aux Huguenots (les protestants Français) de vivre leur religion en toute liberté. Jusqu’en 1660 où Louis XIV hanté par le souvenir de la fronde et se sentant menacé par les personnes différentes pouvant avoir une raison supplémentaire de le faire chuter. Et aussi

protestants de 1562 à 1598. · Huguenots / prétendus réformés : noms donnés aux protestants français. · Place de sûreté : ville fortifiée ou maison-forte accordée aux huguenots pour leur servir de refuge. Une garnison payée par le roi la protège. · Place forte : place de sûreté sans garnison royale. Les huguenots en assurent eux-mêmes la défense. ·

visible tout particulièrement dans leur Traité d’Association, conclu à Nîmes en janvier 1575 entre catholiques et réformés. 2 Le départ de Montmorency du conseil du roi, en février 1574, fait disparaitre la dernière caution qui rassuraient les huguenots et les catholiques modérés et le seul moyen de se parvenir à obtenir des garanties semble d’être de recourir à la violence. On remarque deux temps dans leur prise d’arme. Tout d’abord, cette dernière correspond à un soulèvement des provinces, et

; aussi la fit-il, grâce à la lâcheté du docteur Trelawney, envoyer à Préchampignon. Le narrateur aimait aller chez les huguenots installés au «Val-desJoncs» et dirigés par le vieil Ézéchiel, devenant l’ami de son plus jeune enfant, Ésaü, qui était le «chef d’une bande d’enfants catholiques qui saccageaient les campagnes». Le vicomte vint demander l’hospitalité des huguenots, prétendant vouloir se convertir à leur religion. Devant le refus d’Ézéchiel, il le menaça de l’Inquisition, et partit dormir

pour sa bravoure, et une dispense lui permettant d'épouser celle qu'il aime. En chemin, il rencontre des Huguenots chassés du fait de l'édit de Fontainebleau et décide de prendre leur défense auprès du roi. Cependant, il n'arrive pas à faire entendre sa voix à Versailles, et se fait embastiller à la suite de deux lettres le dénonçant, dont une affirmant son engagement en faveur des Huguenots. En prison, il fait la connaissance du janséniste Gordon, qui tente de le former aux préceptes de cette doctrine

pour sa bravoure, et une dispense lui permettant d’épouser celle qu’il aime. En chemin, il rencontre des Huguenots chassés du fait de l’édit de Fontainebleau et décide de prendre leur défense auprès du roi. Cependant, il n’arrive pas à faire entendre sa voix à Versailles, et se fait embastiller à la suite de deux lettres le dénonçant, dont une affirmant son engagement en faveur des Huguenots. En prison, il fait la connaissance du janséniste Gordon, qui tente de le former aux préceptes de cette doctrine ;

perdu l’espoir. Ainsi, disait-il lors de l’enregistrement de l’édit le 16 Février 1599 : « j’ai un dessein dès longtemps, et désire de l’exécuter : c’est de réformer l’Eglise. Je ne le puis faire sans la paix : il n’est pas possible de convertir les huguenots par violence ». Mais Henri IV admettait que Dieu devait être adoré et prié par tous les sujets du royaume français, même si ce n’était pas « encore en une même forme et religion, que ce soit au moins d’une même intention ». Henri IV exprime le regret

secrétaire du marquis de Villars-Montpezat. Ayant un caractère coléreux et ayant l’épée facile, après des combats et après avoir tué un opposant en duel, Tristan L’Hermite est exilé en Angleterre en 1614. En 1620, il participe à la campagne contre les huguenots, pour Louis XIII et en 1621 il entre au service du frère du roi. IL est élu à L’Académie française en 1649, mais sa vie de libertin et de bon vivant, aggrave sa santé, en plus de la tuberculose dont il est atteint. Il meurt en septembre 1655 à Paris

expulsés de France en 1764. Voltaire détestait le fanatisme des Jésuites. -Jansénistes : selon Voltaire ils faisaient de la religion catholique. Son frère était Janséniste, Voltaire rejetait leur vision négative de l’homme ainsi que leur fanatisme. -Huguenotes : Protestants appelés ainsi par les autorités françaises et par le Pape. Ils furent obligés de s’exiler de la France et furent souvent maltraités. ➢ Biographie de l’auteur François-Marie Arouet, plus tard appelé Voltaire naquit dans un milieu

: 1ère question : « L’impitoyable bailli, qui ne pouvait réprimer sa fureur de questionner, poussa enfin la curiosité jusqu’à s’informer de quelle religion était monsieur le Huron ; s’il avait choisi la religion anglicane, ou la gallicane, ou la huguenote ? » => formulée de façon indirecte, posée par l’homme de loi le Bailli => amène une réponse directe de l’Ingénu, claire, au présent de l’indicatif et qui admet l’existence de plusieurs religions. Ce dialogue est perverti par les exclamations de