Humanisme 17eme Siecle

expérience vécue ........................................................................ 23 3.5.2 Appropriation du temps libre ............................................................... 23 3 3.5.3 3.5.4 4 La base d’un nouvel humanisme ?...................................................... 24 Une fonction ........................................................................................ 25 La notion de patrimoine .....................................................

LA France DU XVIÈME SIÈCLE CHAPITRE 1 – DYNAMISME ET INERTIES DE LA SOCIÉTÉ FRANÇAISE : LA FRANCE A-T-ELLE CONNU UN « BEAU 16ème siècle » ? En guise d’introduction, étudions le tableau de Bruegel l’Ancien – la Chute d’Icare . On perçoit le souffle de la Renaissance avec cette ouverture au large correspondant à une ouverture au monde : les bateaux qui partent, cette guilde symbole de la modernité, l’agriculture. Il évoque les rêves de cette époque, les villes prenant

sur la géographie mm si les limites sont floues (définies au 17ème siècle par tsar Pierre Legrand jusqu’à l’Oural, la mer caspienne puis les monts du Caucase, la mer noire, détroits du Bosphore et des Dardanelles et enfin la Méd). A l’ouest pas de pb : océan atlantique, au nord non plus océan arctique. Fond de peuplement commun + héritage commun. Héritage culturel : impact de la religion christianiste, gds mvts intellectuels type humanisme ou Lumières ; héritage pol et administratif : notion de la

Apporte un domaine d’abstraction. Fondamentalité : fonde la matière. Nécessaire à comprendre. Les concepts fondamentaux sont partagés par l’ensemble des états du monde. Chapitre 1 : le cadre juridique : l’état Il commence à se conceptualiser au 16ème siècle. A l’origine de toutes normes juridiques : l’état qui est le cadre dans lequel se fait le pouvoir. Le pouvoir ce n’est pas la compétence. Ce pouvoir va prendre des décisions qui vont s’imposer au peuple. En cas de non-respect, on s’expose à des sanctions

sonsommateur. Les Italiens aussi étaient parmis les premiers a utilisé les marques, sous la forme de filigranes, dans les années 1200. Cependant, les marques modernes (c’est à dire issus du marketing de masse) trouvent leur origine au 19ème siècle, avec l’apparition de marchandises emballées. En effet, grâce à la Révolution Industrielle, la production d’articles ménagers, tels que le savon ou les vêtements, ne se faisait plus au sein de communautés rurales mais dans des usines centralisées

donné. D’autres qui considèrent que le droit est des principes qui vont déterminer ces règles. L’histoire du droit va consister à établir une sorte d’exposer historique de transformation qu’a connu le droit au cours d’une société donnée sur plusieurs siècles. Le droit n’est pas quelque chose de déterminé une fois pour toute mais ensemble d’éléments divers par leur nature par leur âge qui évolue par addition ou par soustraction. Celui qui observe cette transformation dans le temps les uns soit des institutions

dimension philosophique. Les philosophes s’écartent trop du droit, et les juristes ont des lacunes en culture philosophique. La bonne philosophie du droit serait celle qui analyse philosophiquement le droit positif. C’est au début du XIXe siècle que la notion de philosophie du droit est créée avec Hegel (ouvrage de philosophie du droit, 1821) en même temps John Austin publie A philosophy of positive law, 1832 : les philosophes se rapprochent du droit réel et utilisent les notions des praticiens

(synthétiser dans ses propres thermes) et partie critique (partie ou l’on prend position par rapport aux thèses de l’auteur) et une conclusion. Le 23.09.13 Durant ce premier semestre, nous allons parler de l’école Française de Sociologie née au 19ème siècle, dont Emile Durkheim fait partit. Nous allons séparer ce cours en trois parties : (+fiche n.1) I . La Biographie d’Emile Durkheim Nous allons donc voir le contexte historique, social dans lequel il à évoluer. En quoi est-ce important ? Ce contexte

détenu par une toute petite élite. L’Europe va des l’origine susciter une littérature très importante. INTRODUCTION : L’Europe : un mot, un mythe, une idée Un mot : Europe rattachée à un mythe grec. Le 1er des historiens erodote qui vit au 5 e siècle se pose déjà la question. Edgar Borin : « L’Europe n’est devenu une notion géographique que parce qu’elle était une notion historique ». L’histoire doit précéder toute tentative de pensée sur l’Europe. Cette aspiration de l’Europe s’est traduite

Dans cette théorie c’est l’idée de transmission qui prédomine. Il faut avoir une bonne réception au sens de la compréhension et de l’entendement. Dans la deuxième acception on met l’accent sur les institutions auxquelles les journaux du 19e siècle ont donnés naissance. Ces médias vont renseigner, vont informer plutôt que divertir ou éduquer. Les organes des informations et des journalistes vont avoir d’un côté leurs sources. L’information dans ce sens est défini au simple renseignement et par