Hume Anatomiste

qui vise à la découverte et à l’élaboration des concepts. L’idée que l’on s’en fait a beaucoup évolué. Le philosophe anglais Hume considérait que l'origine de l'induction, c'est-à-dire pour lui l'idée de connexion, de répétition, est l'habitude. Elle provoque soudain l’apparition de l’idée qui va nourrir les solutions nouvelles. Ainsi dans le Traité de la Nature Humaine Hume confirme la pertinence de l’induction comme mode de raisonnement. Au XXe siècle Karl Popper, dans Conjectures et Réfutations

Dans une lettre à Arnaud Villani datée du 29 décembre 1968 Gilles Deleuze écrit : « Je crois qu’un livre, s’il mérite d’exister, peut-être représenté sous trois aspects rapides. On n’écrit de livres dignes que 1. Si l’on pense que les livres sur le même sujet ou sur un sujet voisin tombent dans une sorte d’erreur globale (fonction polémique du livre) ; 2. Si l’on pense que quelque chose d’essentiel a été oublié sur le sujet (fonction inventive) ; 3. SI l’on pense être capable de créer un nouveau

"Faut-il" implique une nécessité, laquelle et pourquoi ? "toujours" implique l´absence d´alternatives, pourquoi ? "vouloir" implique la volonté et non la réalisation, quelle différences cela engendre ? "avoir raison" implique la notion d´être dans le vrai par rapport à autre chose qui est dans le faux. Vouloir à tous prix, en toutes circonstances, avoir raison, n'est-ce pas nécessairement un tord? En effet, un tel désir, un telle volonté, n'apparait-elle pas souvent comme irrationnelle, déraisonnable

Forme de la question: possibilité logique/physique et non une possibilité morale On compare deux choses, l’étude de l’esprit et l’étude de la matière. On demandait si l’un pouvait se faire « comme » l’autre. S’interroger sur la manière dont on étudie la matière. En effet, étudier, c’est avant tout faire usage de la raison et de la sensibilité pour connaître. En l’occurrence, la raison fonctionne en doutant, en analysant, en construisant (cf. les préceptes de la Méthode de Descartes). Comme

qui suis je? certes une question que l'on se pose de moins en moins de nos jours. une question existencielle qui se serait réduite de nos jours à ce qu'on appelle l'identité. mais qu'est ce que l'identité? chaque individu possède implicitement une âme, une personnalité et une conscience qui contribuent à créer son identité. basé sur cette définition, on en conclurait que l'identité n'est autre qu'un composé homogène d'éléments présentant une spécificité dans le lien entre elles pour chaque individu

l’exemple de mes qualités. En effet, je ne suis pas consciente d’être généreuse à moins qu’on me le dise. Cela, nous montre donc que je ne suis pas consciente d’être ce que je suis, je ne suis pas vraiment consciente de moi-même. D’ailleurs, David Hume fera de la conscience de soi, soit un mystère soit quelque chose auquel on n’a pas vraiment accès. Il dira qu’on ne se connait jamais car on change toujours, cela en fonction de la situation, des lieux et des personnes qui nous entourent. Sartre

trouver une raison rationnelle. (telle que la justice social actuellement) La laïcisation donne naissance à l’éthique utilitaire : l’éthique des affaires et non un contre-sens si on pense éthique utilitarisme. L’éthique utilitarisme : * David HUME : est à l’origine du concept, il défend une morale moderne non religieuse typique des lumières soit une éthique humanisme de la liberté et de l’égalité. * 1er tendance humaniste franco-allemande à pour moteur le devoir de liberté et de l’égalité

Différents théories développées (théorie positive de la comptabilité, théorie politico-contractuelle …) depuis quelques années expliquent le comportement des dirigeants en s’appuyant pour la plupart, sur la théorie positive de la comptabilité. Ces théories ne sont par conséquent, applicables qu’aux entreprises ayant une taille suffisante pour avoir un capital « ouvert » et donc caractérisées par une asymétrie d’information entre les dirigeants et les autres parties prenantes. Le courant de la

ont fait leurs preuves pour guider nos actions. Cette idée assez proche de celle développée plus tard par Friedrich Hayek est rejetée par Keynes. C'est pour cela qu'il va s'intéresser aux probabilités. En effet, alors que pour Moore comme pour David Hume toute la connaissance probable est fondée sur l'expérience, pour Keynes au contraire les probabilités nous permettent d'appréhender jusqu'à un certain point le futur ou du moins le résultat de nos actions. Par contre, il retient de Moore que la fin

de nous-même, en les ramenant à un Je considéré comme permanent et identique à lui-même - malgré la succession des états qui peuvent l'affecter. Kant s'appuie ici sur la critique faite par David Hume à Descartes, et la dépasse. Si j'examine ce qui se passe au plus profond de moi, nous dit D. Hume, je ne saisis que des impressions particulières. Je ne fais jamais l'expérience de quelque chose qui serait le moi. Le moi n'a donc pas d'existence. Cependant nous dit Kant, même si je ne peux pas prouver