Hume De La Norme Du Gout Essais Esthétiques

ESTHETIQUE Thème : Analytique du beau La révolution du gout : Replacé l’apport Kantien dans son texte esthétique. Certes Kant est le fondateur de l’esthétique du gout il n’empêche que sa réflexion s’inscrit dans un héritage, la révolution du gout effectué par l’école anglaise/écossaise du gout. Les points de son analyse doivent être éclairés en les replaçant dans un contexte esthétique. * L’invention du gout : L’origine du terme, du sens métaphorique du sens second du gout. Quand

l’essai De la norme du goût, Hume Il fait parti des Essais Esthétiques comment faut-il concevoir notre jugement de goût ? Hume se confronte donc à une question épineuse dans ce texte : doit-on se contenter d’un constat qui est que tous les jugements de goûts des individus sont différents entre eux et qu’on ne peut rien dire au-delà de ce constat ? Les individus jugent différemment une même œuvre d’art et on a l’impression qu’on ne peut pas aller au-delà de ce constat. Hume se confronte donc

C****** R*** Licence 2 de Philosophie Premier semestre 2007/2008 Esthétique 1 "Bon Goût et Mauvais Goût" « Tous les goûts sont dans la nature », dit le proverbe populaire. Depuis l’Antiquité et, plus récemment, les débuts de la philosophie de l’art au début du XVIIIème siècle, des centaines de débats ont lieu, et des centaines d’auteurs ont écrit sur la question tant de fois rebattue du « beau » et, la deuxième notion étant parallèle, de la diversité des « goûts ». Cette question est en

Hume, De la norme du goût, Essais esthétiques Hume cherche à savoir si l’on peut choisir de la légitimité d’une œuvre. But : l.1 à 3 : essayer de déterminer s’il y a des choix légitimes et d’autres qui sont condamnables. 2 évidences qui Hume oppose : · Egalité des goûts : on ne peut pas condamner un sentiment esthétique par rapport à un autre. · Distinction entre un certain type d’œuvre et d’autres ; on estime qu’il y en a certaines qui valent mieux que d’autres. Jugement sensible : égalité

Ainsi, bien que les principes du goût soient universels, et presque, sinon entièrement, les mêmes chez tous les hommes, cependant bien peu d'hommes sont qualifiés pour donner leur jugement sur une œuvre d'art, ou pour établir leur propre sentiment comme Corrigé méthodologique d'une explication Texte de Hume sur l'art Texte : Ainsi, bien que les principes du goût soient universels, et presque, sinon entièrement, les mêmes chez tous les hommes, cependant bien peu d'hommes sont qualifiés pour

« Le mauvais goût » Philosophie, 21 mai 2012 C’est un seul et même mot, celui de « goût », qui désigne le sens par lequel nous percevons les saveurs et, par métaphore, notre faculté d’apprécier le beau. Il apparaît néanmoins évident que parler de mauvais goût dans le premier et le second sens du terme n’a pas les mêmes implications. Du mauvais goût que l’on trouve à la fraise ou au café, il n’est rien de particulier à dire : c’est une appréciation entièrement subjective, fondée sur la seule

Philosophie des arts Une source anglaise de l'esthétique : David Hume (philosophe écossais 1711-1776) et la question du goût. Oeuvre obligatoire :Essais esthétiques, traductrice : Renée Bouveresse, Editions Flamarion, collection GF, Date de 1757 : même année que l'entrée « Goût » dans l'Encyclopédie ; et 7 ans après l'Aesthetica de Baumgarthen : rupture avec l'intellectualisme à propos du beau (qui vient de Platon) qui disait que l'idée est située dans le lieu intelligible. A partir du

faut une culture esthétique (connaissances historiques, techniques par exemple), tout porte à croire que tout un chacun, même radicalement inculte en matière d'art peut aimer les œuvres. Par exemple, les enfants sont très vite sensibles aux son d'une symphonie, aux couleurs d'un tableau, à l'harmonie des formes d'une sculpture.]]] 2)Beauté=/=concept et l'oeuvre d'art n'a rien à voir avec le message qu'elle veut transmettre COURS l'oeuvre d'art ne vaudrait que pour son esthétique, pas pour le message

réalité intérieure, percevoir ses émotions etc. Nous sommes face a un paradoxe : apprendre/percevoir Il semble absurde de se demander si la perception nécessite un apprentissage. Par exemple l’œnologue apprend à percevoir le vin, il a développer son gout.   Si l’est possible d’affuter sa façon de percevoir alors il est possible que notre façon de voir le monde est culturellement déterminée.   Nous avons l’impression que notre perception est une photographie fidèle au monde réel.   Le sujet sous

» de la réception esthétique, qui fait de l'art un domaine autonome, avec des prétentions propres. De même que l'on dit qu'une oeuvre d'art qui ne serait jamais regardée perdrait son statut d'oeuvre d'art, on peut soutenir qu'il en va de même pour une oeuvre dont personne ne parlerait. Or la critique d'art est une forme de jugement esthétique qui se distingue par sa responsabilité : le critique est qualifié et a le devoir de prononcer un jugement juste, en tant que guide du goût. En cela, la critique