Hume De Tous Les êtres Animés

CAUSALITÉ CHEZ HUME 1 C'est dans le Traité de la nature humaine que Hume développe le plus systématiquement sa théorie de la sympathie. Elle apparaît ailleurs dans son œuvre, mais sous des formes moins aisément identifiables. Pour cette raison déjà, il se justifie de l'aborder en priorité dans le Traité. Mais il y a une autre raison pour laquelle je désire la comprendre telle qu'elle apparaît dans cette œuvre. On sait que le Traité a un statut à part dans l'ensemble des écrits de Hume, non seulement

quelqu'un ou sur quelque chose. Définition des sens : Faculté par la quelle les êtres animés reçoivent les impressions du monde extérieur: vue, ouïe, toucher, goût, odorat. Synonyme de puis-je : Ai-je raison de ? Est-ce que je fais bien de ? 2)- Le sujet présuppose si nous avons vraiment raison de faire autant confiance à nos sens comme la plus part des hommes. 3)- La question se pose parce que pratiquement tous les hommes font confiance qu’à leur sens et ne cherche donc aucune autre vérité

également un postulat qui fonde l'égalité des droits auxquels tous les hommes peuvent prétendre. C'est en effet par définition, par principe, que l'homme est un "être de raison". Cette identité rationnelle de l'humanité garantit la possibilité de normes morales universelles. La raison se présente ici comme une capacité, une faculté, ou encore une puissance, commune à tous les êtres humains. Mais en elle-même, comment la définir ? Le philosophe Hume la conçoit comme un "merveilleux et inintelligible instinct

connaissances est une bonne préparation à toutes les notions de votre programme. Une bonne préparation ne consiste pas en l’acquisition d’un savoir philosophique encyclopédique : il faut toujours être partisan de l’effort suffisant. Vous ne pourriez préparer tous les sujets qui peuvent tomber, puisqu’ils sont en nombre infini ; en revanche, vous devez vous préparer à l’ensemble des notions au programme. Être prêt sur toutes les notions, c’est avoir en tête, pour chacune d’elles, l’idée des débats ouverts à

David HUME (1777) Essais moraux, politiques et littéraires Essai sur le suicide Traduction française de Martine Bellet, professeure d’Anglais au Lycée Ango de Dieppe en Normandie, Juillet 2002. Un document produit en version numérique par Philippe Folliot, collaborateur bénévole, Professeur de philosophie au Lycée Ango à Dieppe en Normandie Courriel: folliot.philippe@club-internet.fr Site web: http://www.philotra.com http://perso.club-internet.fr/folliot.philippe/ Dans le cadre de la collection:

(Permanent, intemporel) ð Principes de plus en plus conceptuels -          Leucippe et Démocrite : les atomes= tout est composé de particules insécables qui se déplacent mécaniquement, depuis tjrs, par pression et chocs mutuels. (Les atomes sont des êtres intelligibles, des idées comparables à des nombres.   2. Emergence du logos dans la vie politique 5e S : mutations politiques= passage d’un régime monarchique         démocratie (inégalitaire : n’ont pas de droit politique les barbares, les métèques

strictement théorique. La question “pourquoi l’univers?” est non seulement très ambitieuse, mais sans doute même déplacée, inappropriée à son objet, comme celle de la couleur appliquée à un sentiment qui en est dépourvu (“la jalousie”). Si les êtres humains sont animés d’intentions, si leurs comportements ont un sens et les objets qu’ils façonnent des buts, pourquoi les phénomènes naturels obéiraient-ils aux mêmes principes? La science ne répond certes pas à la question du but de ces phénomènes, mais en

elle-même ne saurait être définie.» Le même (to auto , idem ) appartient à la liste des «transcendantaux» médiévaux, c’est-à-dire que, dans un autre langage, l’identité est une notion d’ontologie formelle, comme ens ou unum . Elle est transversale à tous les modes du discours; sa généralité et son abstraction sont encore plus élevées que celles des oppositions catégoriales [cf. CATÉGORIES]. Cette prééminence a comme contrepartie une relative indétermination; il y a une difficulté intrinsèque à saisir

raison y est soumise. Si Spinoza n'a pas une conception négative du désir, certains y voient une souffrance : Le désir entraîne une aliénation de la raison : « La raison est, et elle ne peut qu'être l'esclave des passions » (Traité de la nature humaine, Hume, 1740). L'insatiabilité des désirs est source de souffrance, car l'homme ne peut jamais être heureux et en paix : « Tout le malheur des hommes vient d'une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer au repos, dans une chambre » (Pensées, Pascal

1ère partie : Recherche documentaire sur site I/ Le mouvement : "Le prochain siècle sera de jour en jour plus éclairé; en comparaison tous les siècles précédents neseront que ténèbres." citation de Pierre Bayle 1697. Pierre Bayle 1) Pourquoi utiliser la métaphore de la lumière ? Le siècle des Lumières tire son nom dumouvement intellectuel, culturel et scientifique aux multiples manifestations connu sous le nom de Lumières. Il est souvent utilisé dans la littérature historique commesynonyme