Hume Euthanasie

. « Euthanasie d’exception »  Notion proposée par le Comité consultatif national d’éthique afin de permettre, dans certains cas exceptionnels, de provoquer la mort d’un malade. On se souvient que l’avortement ne devait être pratiqué dans les hôpitaux que pour répondre à une situation exceptionnelle. Il remplace aujourd’hui, aux frais de la Sécurité sociale, la contraception dans un grand nombre de cas. Euthanasie  L’euthanasie est une action ou une omission dont l’intention première vise

souffrances morales et physiques intolérables. On distingue deux types d’euthanasie : l’euthanasie active qui est le geste d’un tiers qui donne la mort et l’euthanasie passive qui est l’arrêt des traitements qui abrège la vie. Etymologiquement, « euthanasie » vient du grec Eu Thanatos qui signifie « bonne mort, mort douce sans souffrance ». Pour ou contre l’euthanasie ? Dans un premier temps nous analyserons la législation dans différents Etats face à l’euthanasie puis nous parlerons de la religion

signifie « bien » et du terme thanatos qui signifie « mort » et signifie bonne mort, c'est-à-dire mort dans de bonnes conditions. Distinction • euthanasie active : une thérapeutique est administrée dans le but d'abréger la vie du patient. • euthanasie passive : un traitement est arrêté, ce qui a pour effet d'abréger la vie du patient. • euthanasie indirecte: administration d'un produit mortifère dont la conséquence non recherchée est la mort du patient. • aide au suicide (ce qui est différent

débat sur l’euthanasie active en France, c’est-à-dire de la mort activement provoquée, sans souffrance physique, à un moment choisi et dans des conditions décidées par le malade conscient, lucide, ayant réfléchi, discuté avec ses proches. Cette euthanasie active, où c’est le geste d’un tiers qui donne la mort est interdite en France. Un accident de la route, en septembre 2000, rend aveugle, muet et tétraplégique Vincent Humbert. Il écrit en novembre 2002 au Président de la République d'alors

En France, l’acharnement thérapeutique est interdit par la loi Léonetti de 2005, car c’est une atteinte a la dignité du patient, et ses conditions sont contraires a toute éthique. Au travers de notre travail, nous essairons de définir l’acharnement thérapeutique, ainsi que sa légitimité. Nous aborderons aussi ses limites au décours des exemples et des questionnements posés. Le terme d’acharnement thérapeutique est complexe a définir. SI le corps médical , les gouvernements et les communautés

de la route, le 24 septembre 2000, Vincent Humbert (tétraplégique, muet et quasiment aveugle mais conservant toute sa lucidité) ne supportant plus cette vie sans espoir de guérison, entreprend de nombreuses démarches pour obtenir le droit d’être euthanasié. Il écrit au Président de la République, Jacques Chirac, auquel il demande un « droit de mourir ». Dans sa réponse personnelle, M. Chirac déclare : « Je ne peux vous apportez ce que vous attendez ». La mère de Vincent Humbert, Marie, annonce alors

d'une maladie incurable afin de lui épargner des souffrances devenues intolérables. Ce n’est qu’à la fin du XIXe siècle que le terme a pris le sens de : procurer une mort douce en mettant fin délibérément à la vie du malade. 1.1 Euthanasie active et euthanasie passive On distingue : - l'euthanasie active, qui implique un acte volontaire commis par un tiers de sa propre initiative ou à la demande du malade ; - l'euthanasie passive, qui consiste simplement dans l'omission de thérapeutiques

provoquer la mort d'une personne atteinte d'une maladie incurable dont le retentissement (moral et/ou physique) est intolérable. Assimilée à un crime en France, l'euthanasie ne fait débat qu'à l'occasion de drames médiatisés. En France, la « euthanasie » est encadrée principalement par deux lois: la loi de 2002 sur le droit des malades et la Loi Léonetti du 22 avril 2005 relative aux droits des patients en fin de vie. L'idée générale est de favoriser les « soins palliatifs dont l’objectif de ces

morales et/ou physiques intolérables. L'euthanasie aujourd'hui: On estime ainsi que, en Europe, la part de la décision médicale dans les décès concerne 40 à 50% des décès. Mais ces pratiques ne sauraient toutes être regroupées sous le terme «euthanasie», dans la mesure où le but visé n'est pas la fin de vie elle-même. Par ailleurs, certaines pratiques sont acceptées par la législation, d'autres non. On emploie le mot aide au suicide pour désigner le fait de fournir un environnement et des moyens

médecins sont exactes ou complètes.11 L’absence de témoin et le flou entre traitements appropriés et euthanasie ouvrent la porte à sa pratique sans le consentement du patient ou des membres de sa famille, comme c’est le cas dans environ 17% des cas en Hollande. Dans une étude publiée cette année sur la pratique en Belgique, 48% (120/248) des infirmiers et infirmières qui ont été impliquée dans une euthanasie - - - Audition du Dr. Bernard J. Lapointe, Titulaire de la Chaire Eric M. Flanders