Hume Principe De Causalité

Le terme grec est kathêkon, traduit en latin par Cicéron par officium, lui-même traduit enfin en français par devoir (ou fonction). Pour les stoïciens, le devoir signifie ce qui convient, ce qui est approprié, ce qui est conforme à la nature (le principe éthique premier des stoïciens étant de « vivre conformément à la nature »). Il faut à ce titre remarquer qu’une telle conformité à la nature ne concerne pas uniquement l’action humaine : plantes et animaux accomplissent aussi en un certain sens des

contraintes et dit « oui » à son devoir : il affirme sa volonté. Le libre-arbitre chez Descartes c’est cette capacité que nous exprimons en nous, à prendre une décision à faire un choix, et ce indépendamment de toute détermination ou bien de toute causalité extérieure. Pour le soldat, si je n’ai pas connaissance claire et distincte de mon devoir, ma volonté sera moins ferme et aura moins d’effet. Au contraire elle sera plus agissante qu’elle sera accompagnée d’une idée claire et distincte c’est-à-dire

raffinements de la vie mondaine et la conversation spirituelle, qui en fit plus tard un invité fort recherché, des dames en particulier, dans la bonne société de Königsberg. Devenu privatdozent en 1755 grâce à une Dissertation sur les premiers principes de la connaissance métaphysique, il commença une longue carrière d'enseignement à laquelle il ne devait mettre un terme que plus de quarante ans plus tard, en 1797 ; enseignement aussi copieux (jusqu'à cinq heures par jour) que divers (sciences

catégorie d’unité : car sans cela par exemple nous ne pourrions pas voir UNE chose. Pour voir UNE chose, il faut que nous ayons en nous la concept d’unité. (Les empiristes au contraire eux pensent que TOUT vient de l’expérience, ce qu’expliquera HUME : à force de voir une chose unie, une unité, on apprend ce qu’est l’unité. Toute la philosophie de Kant est de réfuter cela : si depuis qu’on est petit on voit une chose, c’est car on avait le concept d’unité avant). Ma raison peut aller plus loin :

Quelles sont ses caractéristiques ? Où se trouve le siège de la conscience ? Y a-t-il un siège de la conscience? Quel est son mode d’existence ? Comment peut-elle exister à partir d’entités non-conscientes ? Quelle est sa fonction ? A-t-elle une causalité propre et, si oui, de quelle nature ? Quelles relations la conscience entretient-elle avec les autres phénomènes de la réalité, physiques et mentaux ? En résumé, il s’agit de décrire la conscience, de découvrir sa cause et de déterminer son rôle

psychologie associationnisme : le concept d’association est repris et développé par les successeurs de Locke. " • Davie HUME propose 3 lois d’associations : " - la loi de ressemblance -> tendance que l’on a a associer des choses qui se - ressemblent. la loi de contiguïté dans le temps et dans l’espace, ces pensés simultanés crée des pensées complexes la loi de causalité " David HARTLEY : " les objets causent de petites vibrations nos nerfs, puis dans le cerveau, produisant des

Principe d’individualisme méthodologique (agrégation des comportements individuels → explication phénomènes collectifs) et de rationalité des agents (individus cherchent à maximiser leur utilité ou satisfaction et entreprises leur profit)iii. Analyse dynamique

qui concernent essentiellement le respect dautrui. La logique de la morale Le cas dont traite la morale est toujours semblable un sujet, m par une certaine intention, accomplit un acte qui produit certaines consquences. Quest-ce qui doit fournir le principe de lvaluation Les consquences, lacte lui-mme, les intentions, ou mme le sujet Pour les utilitaristes, il faut considrer les consquences pour Kant et les morales religieuses, il ne faut considrer que lacte et lintention pour Nietzsche, il faut considrer

humaine basée sur le doublé instinct-institution. A l’époque aux USA dans le monde universitaire au niveau économique, c’est une époque plutôt conformiste et le principal manuel d’économie politique était du à un révérant Chapin. Il nous dit que les principes fondamentaux de l’économie politique reposent sur des maximes évidentes, il faut avoir du bon sens et bien connaître la langue anglaise. On trouve des passages par exemples : « il est évident à la plus superficielle réflexion que le créateur a soumis

causes : cause finale, cause matérielle, cause mécanique et cause formelle (Métaphysique). Toutefois, toutes les sciences ne recourent pas à la causalité finale – bien qu’elles aient pu le faire dans leur histoire. Ex. : la Terre tourne autour du Soleil. Les sciences astronomique et physique ont expliqué pourquoi et elles ne se sont servies que de la causalité mécanique : le Soleil attire la Terre par l’intermédiaire de son champ gravitationnel, mais la Terre est dotée d’une vitesse suffisamment grande