Hume Principe De Causalité

Avant lui le mot conscience n’a jamais le sens moderne.)[réf. nécessaire] En particulier, Descartes ne l’emploie quasiment jamais(?) en ce sens, bien qu’il définisse la pensée comme une conscience des opérations qui se produisent en nous (cf. les Principes de la philosophie, 1644). NB: le petit Robert attribue à Malebranche (1676) la définition de conscience comme "connaissance immédiate de sa propre activité psychique", alors de l'Essai de Locke date de 1689. C’est le traducteur de Locke, Pierre

deux. Exemple : Socrate (sujet) est (copule) mortel (prédicat). Une proposition peut être une affirmation ou une négation (c’est la qualité de la proposition). L’opposition entre une affirmation et sa négation est appelée une contradiction. Le principe de contradiction, que nous verrons plus loin, pose qu’une affirmation et une négation ne peuvent être vraies en même temps : on ne peut dire une chose et son contraire. La quantité d’une proposition est ce qui distingue propositions universelles

HÉRACLITE EMPÉDOCLE ANAXAGORE LES ATOMISTES LES SOPHISTES SOCRATE PLATON ARISTOTE DIOGÈNE LES STOÏCIENS ÉPICURE CICÉRON DE LA PHILOSOPHIE RELIGIEUSE DESCARTES Le Doute Distinction de l'âme et du corps Dieu Les Passions 18. SPINOZA 19. LEIBNITZ 20. HUME 21. KANT 22. AUGUSTE COMTE I. II. Le système des Sciences III. La loi sociologique des trois États IV. L'Esprit Positif V. Psychologie sociologique VI. Philosophie de l'Histoire VII. Morale sociologique VIII. La Famille IX. Les deux Pouvoirs X. Le

qu’il n’y a pas une vérité.  ­une remarque importante : ​ la diversité des croyances ne peut justifier, à elle seule, l'idée  qu'il n'y a pas de vérité en morale.     ­ premier argument, l'argument de la tolérance :​  ​ accepter la vérité d'un principe éthique  ce serait faire preuve d'intolérance et d'ethnocentrisme​  ; il faudrait donc reconnaître qu'il  n'y a pas de vérité en morale.  Problème :​  on affirme dans le même moment une vérité morale (il faut être tolérant).     ­ deuxième argument

tant qu'elles s'appliquent sur la matière, dans le devenir, tout en restant inchangée. Mais à la différence de la forme chez Aristote, les lois de la science, elles, revêtent un caractère nécessaire. Par « loi de la science », on entend les principes de causalité présents dans les lois physiques et chimiques. En effet, une même cause produira toujours le même effet. Ces lois s'appliquent à la matière, et sont en quelque sorte présentes en elle. On ne va pas se pencher sur le statut de ces lois, ni

la force est substance, et toute substance est force. La force est dans un état, et cet état se modifie suivant des lois du changement. Cette succession d’états changeants possède un ordre régulier, c’est-à-dire que chaque état a une raison (cf. principe de raison suffisante) : chaque état s’explique par celui qui précède, il y trouve sa raison. À cette notion de loi se rattache également l’idée d’individualité : l’individualité est pour Leibniz une série de changements, série qui se présente comme

devenir comme maîtres et possesseurs de la nature en améliorant nos conditions d'existence et prolonger notre durée de vie grâce à la technique ● Baudrillard la technique prend possession de l'homme ● Ellul : le technicien politique ● Jonas : le principe de responsabilité ● Aristote : pas de construction technique sans connaissance puisque pour créer et réaliser un objet technique nous avons besoin de connaissances théoriques ● Alain : la technique court-circuite la pensée La Raison : ● Kant : comment

bien juger, de distinguer le vrai du faux, le bien du mal. * Par opposition à la foi : la « lumière naturelle », naturellement présente en tout homme. * Par opposition à l'expérience : faculté de fournir des principes a priori (c'est-à-dire indépendants de l'expérience) * Au sens objectif : principe d'explication, cause (exemple : les raisons d'un phénomène). * Argument destiné à légitimer un jugement ou une décision (exemple : donner ses raisons). CROIRE / CROYANCE: 1) Attitude de l'esprit qui affirme

nations échangent-elles ? La question du commerce oppose les penseurs et les économistes depuis au moins le XVIIème siècle. On trouve d'un côté ceux qui plaident pour la liberté des échanges, du commerce (en Angleterre : John Lock, Adam Smith, David Hume ; en France : Turgot, Condillac, Bastiat, Montesquieu). Ces auteurs ont en commun la croyance en le laisser-faire, en l'idée que l'intérêt général est la somme des intérêts particuliers. Cf. citations de Frédéric Bastiat, de A.R.Jacques Turgot

corps, simple portion de matière de l’âme comme siège immatériel de la pensée et du libre-arbitre. Le dualisme[4] homme/nature passerait au cœur même de l’homme. Il faudrait distinguer le corps périssable, corruptible siège des passions, de l’âme principe de la vie et de la pensée. La capacité de penser ainsi que le libre-arbitre seraient les preuves d’une transcendance de l’homme à l’égard de la nature, le monde matériel, comme les êtres vivants seraient sans âmes. Au contraire, l’homme se distingue