Hume Rien à Première Vue

voler en éclats dans des situations où l'affectif domine et brise la prétention de la volonté à une autonomie. Je me sens alors étranger à moi-même, je ne me reconnais plus dans mes actes; j'ai le sentiment qu'un autre agit à ma place. Toutefois, même pris dans le tourbillon de l'affectif, je suis encore moi. Mon identité n'apparaît peut-être plus de manière flagrante mais cette manière de céder à l'affectif et à ses emportements est encore la mienne. En d'autres termes, j'ai une manière propre d'être

I N T R O D U C T IO N G E N E R A LE Qu’est-ce que nous allons faire pendant ce cours ? 1. étudier la pensée économique 2. faire de l’histoire Définissons plus précisément ces termes. L’Histoire L’histoire en tant que domaine de connaissances articulé, n’a guère plus de deux siècles. Notre connaissance a donc fait d’énormes progrès en peu de temps. Exemples : • les conditions de travail au 19ème • la diffusion des technologies. L’histoire n’est jamais neutre. Cela ne veut pas dire que l’histoire

politique économique nationale apparaissent en Angleterre au cours du XVe siècle à une époque où les grandes découvertes provoquent un afflux de métaux précieux et un élargissement des débouchés commerciaux. A partir du siècle suivant et jusqu'au milieu du XVIIIe siècle, les auteurs mercantilistes - Thomas Mun (1571-1641), Antoine de Montchrestien (1575-1621), ou encore Josias Child (1639- 1690) - cherchent moins à expliquer les phénomènes économiques qu'à définir des mesures d'Intervention étatique

juridique : Kelsen et l'heritage kantienLe positivisme juridique : Kelsen et l'héritage kantien Alexandre Viala Dans Revue interdisciplinaire d'études juridiquesRevue interdisciplinaire d'études juridiques 2011/2 (Volume 67)2011/2 (Volume 67), pages 95 à 117 Éditions Université Saint-Louis - BruxellesUniversité Saint-Louis - Bruxelles ISSN 0770-2310 DOI 10.3917/riej.067.0095 Distribution électronique Cairn.info pour Université Saint-Louis - Bruxelles.Distribution électronique Cairn.info pour Université

une première définition               Approcher le problème de la vérité suppose en premier lieu de briser l’identification « non philosophique » entre vérité et réalité. Nous avons tendance à juger que ce qui est vrai est ce qui est réel. Pourtant, on ne peut qu’admettre la différence suivante : supposons que je regarde le soleil, je dirai sans hésitation qu’il est réel ; mais quel sens y aurait-il à dire que le soleil est vrai ? Lorsque j’affirme que quelque chose est réel, je ne fais rien d’autre

1838 par Mill. Jeremy Bentham fondateur de la doctrine utilitariste. Utilitarisme en plus d’être une philosophie morale était un vaste mouvement intellectuel, politique et social dont Mill fut la figure de proue. Attention à la vision caricaturale de l’utilitarisme en l’associant à instrumental ou utilitaire. But de l’utilitarisme : « naturaliser la morale » (p.5), traiter des questions éthiques de manière rationnelle en se basant sur l’expérience humaine. // Critique de la raison pratique (1788). Utilitarisme :

............ 6 Section 1 : La critique hégélienne des doctrines non spéculatives de la vérité ........................................................... 11 A) La critique du renoncement à la vérité. ................................ 12 1) La grandeur et les limites du scepticisme grec. .................... 12 2) L’inquiétude hégélienne à l’égard du scepticisme moderne. 20 3) La philosophie kantienne ou la peur de la vérité. ................ 26 B) la critique hégélienne des vérités dogmatiques

genre philosophique, une méthode de pensée qui permet au lecteur d’accéder par lui-même à cette philosophie. 1. Métaphysique : définition. Sens le + large : entreprise qui s’efforce, par les voies de la raison, de connaître les 1ers pcps de ttes chs : philo 1 ère . Chez Descartes : l’entreprise métaphysique se confond avec la volonté de donner 1 fondement absolu à tout le reste de la philosophie, ce qui, à l’époque, se confond avec le système de ttes les sciences possibles. 2. 1 ère méditation

Qu’est-ce qu’être soi-même ? La question du sujet est une q° qui a une histoire et cette histoire est celle de la construction autonome de l’individucàd le fait que chaque homme puisse se penser comme possédant un monde intérieur qui lui est propre, une capacité à accroître ses connaissances pour mieux décider de ses choix de vie et enfin une liberté de conscience et d’action qui permettrait à l’individu d’ê pourvu de droits inaliénables que tous régimes π devraient

inhérents à la nature humaine, indépendamment des structures sociales dans lesquelles il est (ou n'est pas) inséré. Ces droits sont le droit à la liberté et le droit à la propriété. Du droit à la vie découlent le droit de légitime défense contre toute agression, le droit à la sûreté et le droit de résistance à l’oppression. La définition de la liberté individuelle la plus courante est celle de l'article 4 de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 : « La liberté consiste à pouvoir