Hume Traite Nature Humaine Livre 2 Partie 2 Section 5

φιλεῖν : « aimer », et de σοφία : 1. habileté manuelle ; 2. savoir, science ; 3. sagesse pratique ; d'où : 1. sagesse [en général] ; 2. habileté, ruse [en mauvaise part] ; donc, « la sagesse » -, c'est-à-dire littéralement : « l'amour de la sagesse ») désigne une activité et une discipline existant depuis l'Antiquité en Occident et se présentant comme un questionnement, une interprétation et une réflexion sur le monde et l'existence humaine, ou encore comme un savoir systématique. Différents buts

Agnès Lontrade, Gilles A. Tiberghien, Michel Makarius. Maquette : François Aubral Impression : Service reproduction Paris I Sommaire Thèmes : l’esthétique et la critique L’ESTHÉTIQUE……………………………………………………….…………………...4 Hume…………………………………………………………………………………………7 Baumgarten………………………………………………………………………………… 9 Kant………………………………………………………………………………………....14 Hegel……......……………………………………………………………………………….21 Nietzsche……………………………………………………………………………………22 Valéry………………………………………………………………………………………

CHAPITRE 1 : LA SCIENCE ECONOMIQUE A. Smith père de l'économie avec son livre « Recherches sur la nature et causes de la richesse des nations » parut en 1776. Ricardo écrit lui aussi un livre «  Des principes de l'économie politique et des impôts » en 1817. Production = 100 Revenu = 100 Salaire 80/70 Profit 20/30 consommation80/70 investissement 20/30 Section 1 Les définitions de l'économie : La science économique est la science de l'administration

 la  direction  d’Olivier  Tinland                                                         La  Nature  se  dévoilant  devant  la  Science   Louis-­‐Ernest  Barrias  (1899),  Paris,  Musée  d’Orsay       Sommaire         Introduction…………………………………………………………….....................

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . iv 1. Présentation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . iv 2. Objectifs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . iv 3. Prérequis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

collection cursuc armand colin. Gide rist : histoire des doctrines économique piètre redslob : pensée économique et théorie contemporaine dalloz shumpeter ; histoire de l'analyse économique Histoire de la pensée économique se divise en 2 sous parties : fait et pensée économique : c’est la représentation que les hommes se font de l’économie. * L’idée que l’économie est une science et un concept récent : fin 19ème sc. Le terme de science économique date du 2ème sc, avant on employé le

Droit protège les folies de l’homme. Droit ensemble des techniques que les hommes ont mises au point pour faire en sorte que chacun obtienne ce qui lui ait dû : « Summum quique tribuere » : sans devoir se battre autrement que par les mots. Le droit a 2 sens : Ensemble des règles juridiques (ensemble des normes de la justice), droit objectif. Droit positif (droit en vigueur dans un pays donné à une époque donnée). Pouvoir qui appartient à une personne protégée par la puissance publique. Droit subjectif

Introduction. Les sciences de la nature (physique et biologie) indiquent assez clairement leur objet. Si “nature” vient du latin “natura”, il faut toujours se rappeler de l’origine grecque de la notion. En effet, le terme “natura”a été utilisé par les latins pour traduire le terme grec “phusis”. En outre, c’est du traité d’Aristote intitulé “ta phusika” qu’est dérivé le terme de physique. Longtemps physique et philosophie naturelle ont eu le même sens comme en témoigne le titre de l’ouvrage de Newton

................................................... 5 Introduction .............................................................................. 6 Section 1 : La critique hégélienne des doctrines non spéculatives de la vérité ........................................................... 11 A) La critique du renoncement à la vérité. ................................ 12 1) La grandeur et les limites du scepticisme grec. .................... 12 2) L’inquiétude hégélienne à l’égard du scepticisme moderne

consid re ensuite qu'exister r ellement, in re, et exister en pens e, in intellectu, sont deux choses di rentes au moins a priori 1  et que donc c'est tre plus parfait ou plus grand d'exister r ellement plut t que dans l'id e. Ce degr suppl mentaire 2 de grandeur ou de perfection se trouve n cessairement chez l' tre le plus grand ou le plus parfait ou chez celui tel qu'on ne puisse concevoir plus grand ou plus parfait. Il s'ensuit que cet tre, Dieu, poss de l'existence, qu'il existe bien r ellement