Hybride Lexical

pathétique : émouvoir fortement, provoquer la pitié. Les procédés privilégiés sont : le champ lexical de la douleur et de la souffrance, le choix d’un point de vue subjectif (recours au « je »), apostrophes, exclamations, figures d’insistance (répétitions, anaphores, hyperboles). Le registre lyrique : susciter une émotion poétique, communiquer des sentiments personnels. Les procédés privilégiés sont : le champ lexical des sentiments, la présence des marques de la première personne, le recours aux images

éminences », « des petits », « il y a peu de jours », « autres traces », « rase la surface », « très longues », « moins creuses », « un peu boiteuse ». Explication Le champ lexical de verbe de perception suivant : « Vu », « aperçu », « remarqué », montre la précision de son regard à l’égard de milieu. Le champ lexical de la nuance : « Petit chien », « sillon léger et long », « petites éminences », « des petits », « il y a peu de jours », « autres traces », « rase la surface », « très longues

thèmes, la mer (élément concret) et l'amour (sentiment de  l'ordre de l'abstrait)   1. deux champs lexicaux primordiaux ·      "la mer" (six fois), relayée par "l'eau" au singulier ou au pluriel  (4 fois)   ·      "l'amour" (huit fois), "aimer" (1 fois) "amoureux" (une fois), relayé par "le feu" (métaphore précieuse de l'amour devenue traditionnelle)  (3 fois) et des mots du même champ lexical : "enflammer", "brasier", "brûle", éteint son feu)   2. la façon dont ils sont entrelacés ·     

liberté associée à la ville - Baudelaire se rend compte de cet aspect de la ville à sa fenêtre (romantique) - « Les tuyau, les clochers, ces mâts de la cité »: métaphore qui associe la ville à un navire naviguant sur l'immensité de la mer - champ lexical du ciel: « astrologue », « clochers », « ciel », « cieux » 3)Idéalisation de la ville - mouvement amorcé dans la première strophe: volonté d'évasion traduite par la métaphore « Les tuyau, les clochers, ces mâts de la cité », la récurrence du

yeux vétuste et insalubre .Les couleurs présentes , principalement le gris , du jaune fade , le noir des ténèbres , nous dépeignent un tableau triste , sombre , terne et sans vie . Tout participe à l’idée de négligence et de pauvreté avec un champ lexical qui est celui de la saleté, de la dégradation et de la misère. Paradoxalement dans ce lieu sans vie, on note une certaine dynamique, un mouvement dans la description de Gervaise .Son regard semble balayer les lieux à la façon d’une caméra. Elle va

Il serait tout comme leurs attitude et comportement. Le poète l’évoque avec des substantifs dépréciatifs tels que « la schlague », « le fouet », « mes pieds », « mes poings » « des mots » qui forment un champ sémantique de la violence. Ce champ lexical illustre très bien l’engagement du poète contre la guerre et ses méfaits. De surcroît, l’itération de la préposition « Avec » forme un système anaphorique qui renforce et exagère l’évocation du monument consacré aux dirigeants.             A l’issue

montre un « avant » et un « après » - Page 129 : « maintenant »/Page 131 : « bien des années plus tard » - Actualisation qui sert de correction au texte. Procédé qui offre au passage une cohérence propre. - On peut observer un champ lexical de l’association, de « la pair ». - Bipartition de certains éléments qui montre une cohérence interne du texte, comme si le passage arrivait à condenser deux choses apparemment antinomiques : « Discipline conventuelle contrastait

Nom: Date : Prénom : Le champ lexical 1) Donne un champ lexical aux listes de mots. marguerite - crocus - jonquille - œillet   chemise - short - jupe - caleçon   violon - trompette - cymbales - flûte   la France - la Chine - l'Australie - le Brésil  2) Trouve quatre mots appartenant à chaque champ lexical. Légume   Métier   Sport  

aspect mélancolique. « Coupe-gorge » évoque qu’on y risque sa vie (Camille sera assassiné, mais ailleurs) et l’idée de la mort est confirmée par la comparaison avec une « galerie souterraine », et des « lampes funéraires ». On distingue aussi un champ lexical inquiétant annonçant l’image récurrente de la fosse : « au fond », « trous », « trouent l’ombre », « au fond » (répété ), « s’enfonçaient » et « profondes ». Ces dernières notations peuvent déjà annoncer la noyade de Camille, surtout si l’on considère

lecteur est mis dans la même position que le personnage principal. Le lecteur arrive dans l'univers du roman, comme Etienne Lantier arrive à Montsou. (découverte des lieux et des autres personnages) Un espace hostile. a) Nuit: champ lexical de l’obscurité : « nuit sans étoiles, d’une obscurité et d’une épaisseur d’encre » « noir », « ténèbres », « noircis ». b)_ Route sans repère, solitude et cadre déshumanisé:_ « aucune ombre d’arbre ne tachait le ciel » « sensation de l’immense