Hymen

injuste marâtre je pressai son exil, et mes cris éternel l'arrachèrent du sein et des bras paternels. Je respirais, Oenone; et depuis son absence, mes jours moins agités coulaient dans l'innocence soumise a mon époux, et cachant mes ennuis, de son fatal hymen je cultivais les fruits. vaines précautions ! cruelle destinée! par mon époux lui même a trézène amenée. J'ai revu l'ennemi que j'avais éloigné. Ma bléssure trop vive aussitôt a saigné. ce n'est plus une ardeur dans mes veines cachées; c'est venus

avec une richesse de ressources. Il marque les conditions idéales climatiques, aux lignes 6-7 « L’ardeur de l’été y est toujours tempérée par des zéphyrs », ligne 15 avec l’antithèse « Les hivers y sont tièdes » et ligne 8 avec la personnification « hymen du printemps et de l’automne, qui semblent se donner la main» qui traduisent le temps idéal pendant toute l’année. Les habitants apparaissent donc comme étant comblés. Mais malgré cette abondance, ils méprisent le luxe, la richesse et préfèrent

climat. En effet, nous avons une description des hivers : "Les hivers y sont tièdes" (l.4) et "tempérée" (l.5). Le mot "aquilons" nous renvoie directement aux vents du nord et donc une absence de saisons extrême "Ainsi toute l'année n'est qu'un heureux hymen du printemps et de l'automne" (l.6-7). De plus nous remarquons que la nature est montrée comme riche notamment la nature méditerranéenne :"Les chemins y sont bordés de lauriers, de grenadiers, de jasmins et d'autres d'arbres toujours verts et toujours

dépens de ma tête ; Le mépris insolent des offres d’un grand roi Aux mains d’un ennemi livrait Médée et moi. Je l’eusse fait pourtant, si je n’eusse été père : 17 L’amour de mes enfants m’a fait l’âme légère ; Ma perte était la leur ; et cet hymen nouveau Avec Médée et moi les tire du tombeau : Eux seuls m’ont fait résoudre, et la paix s’est conclue. Pollux Bien que de tous côtés l’affaire résolue Ne laisse aucune place aux conseils d’un ami, Je ne puis toutefois l’approuver qu’à demi. Sur quoi

dernière partie du texte, du vers 1299 à la fin. Cependant, on peut relever le champ lexical du sang, de la famille, dès le début du texte, et il se prolonge tout le long. Par exemple « fille », « mère », « sang », « famille », « frère », « père », « hymen », « époux »… Il faut également relever la tristesse et la force des mots qu’elle emploie, la façon dont elle explique son désespoir. On trouve par exemple une opposition entre la joie, le bonheur qu’avait Clytemnestre en amenant sa fille à Achille

-perfidie =caractère perfide…. Votre perfidie prouve votre mauvais caractère.. -Objet=désigne son amour…. L’objet de mes vœux me délaisse… -le sexe=l’ensemble des femmes… ce sexe peut être parfois perfide… -hymen = correspond a mariage, personnage grec dieu du mariage…notre union serait un hymen perpétuel.. -dévot = personne religieux a l’excès…. Tous ls dévots du monde ne me feront pas changer d’avis.. ..

enfant innocent. Elle doute soudain de la nécessité d’épouser Pyrrhus. Dans le passage des vers 25 à 30, Andromaque rapporte les dernières paroles de son mari Hector, il évoque sa fidélité et son amour qui les unissait « Gage de ma foi-un heureux hymen-tu chérissais le père ». L’enfant apparait dans ces paroles comme la mémoire vivante d’Hector « mon fils comme gage de ma foi ». Andromaque aime sont fils comme elle a aimé le père. Ce passage évoque les liens d’amour et de fidélité indissoluble

juger l’autrui. Ensuite, la dévotion en tant que telle a été utilisée de mauvaise manière en contrôlant des personnages du récit. On peut très bien voir l’effet que cela a fait sur Orgon, qui était prêt à donner sa fille à Tartuffe. «Unir par votre hymen Tartuffe à ma famille. Il sera votre époux, j’ai résolu cela; Et comme sur vos vœux je… » (p.89 v.28) Dans cet extrait, Orgon veut réunir sa fille avec Tartuffe, même en sachant que sa fille a déjà un amant et sans vraiment prendre compte de ce qu’elle

risque deux fois sa vie duel, bataille  sans enchaînement logique. La vraisemblance : querelle liée au dénouement : Rodrigue a tué son père mais il obtient la bénédiction royale pour épouser Chimène cela est jugé immorale et impudique. . « Cet hymen différé ne rompt pas une loi Qui sans marquer de temps lui destine ta foi. Prends un an si tu veux pour essuyer tes larmes » (acte 5, scène 7,v. 1819-1821) Les bienséances : ce fut surtout le comportement de Chimène qui fut jugé malséant et

reconnaît Cupidon à son arc. Baroque : Mouvement Agitation générale : ailes, nuages, agitation des drapés, diagonale dynamique. Personnages en courbes et torsions : aigle, jupiter (S), Junon (position des pieds), Paon + ellipse de la roue, hymen, amour (bras + jambe), léger déséquilibre d’Henri IV, cupidons ! Profondeur donnée par arrière pla, trouée. Couleurs Touches de couleurs vives : contrastes fortes : rouge et or, bleu profond, rouge de l’écharpe, chairs colorées. Vivacité, brio