Hyperbole

détermination à s'opposer aux inégalités subies __ l.2-4 Champ lexical du pouvoir Son ton est polémique voire agressif lorsqu'elle dénonce la violence des hommes à travers l'emploi de ce champ lexical “souverain empire” l.2 “empire tyrannique” l.5 Hyperboles Permettent de deviner la colère de l'autrice face au comportement masculin excessif, elle semble d'ailleurs répondre à la question initiale posée à la ligne 1 __ l.3-5 “observe” et “parcours” Longue phrase, verbe impératif à valeur injonctive Elle

nous dit que « les richesses de ce monde sont périssables ». « Deux moutons s’enfoncèrent……..deux autres moutons…….sept ou huit périrent, d’autres tombèrent. » Le style de l’auteur est sobre. Il raconte une histoire simple qui se termine par une hyperbole, une exagération qui met en relief la situation dramatique : « cent jours de marche, il ne resta que deux moutons ». Le message est le suivant : rien n’est permanent sauf la vertu et l’attachement aux personnes que l’on aime. Même devant des

Dialogue opposant le scythe ==> discours prétentieux, accumule les figures de style : "cette ruine" (hyperbole), "ces pauvres habitants" (personnification) et Sage ==> Dialogue épuré, exempt de figure de styles, tous les mots employés sont au sens propre. Vers 21-28 La fontaine décrit le scythe tentant d'imiter le sage Plusieurs procédés utilisés pour signifier l'absurdité du scythe : hyperboles "à toute heure"; "universel abattis", "sans observer temps ni saisons" ==> Le scythe ne comprend

'' girofles, cannelles Met en valeur, profusion (gradation) et les caractéristiques sont au pluriel Raffinement, s’ouvrir vers l’extérieur (épices qui viennent d’Orient) Grandes places en pavés, dimension des bâtiments : élevé jusqu’aux nues = hyperbole Décoration architectural, abondance qui continue à régner (fontaine) Justice = il n’y a pas de monuments de la défense = contradiction avec la société du XVIII '' paix civile, bonne entente = aucun délit, respect Palais des sciences = attachement

des actions "innocentes" : critique de la société qui ne doit profiter des faiblesses de la femme (aucun droit au niveau des lois) - Hyperbole "le plus grand de tous les maux" - "qui ne peuvent faire notre bonheur sans renoncer aux avantages les plus précieux de la société": les femmes ne peuvent pas céder à leurs désirs sans être punies (paradoxe) - Hyperbole "les plus précieux" - Ironie de Diderot qui fait comme si les hommes avaient besoin de l'autorisation "Cela dépendra je crois, un peu

com/notion/contenu.html" \l "antithese"[->3]];[l'émotion] naît de l'emploi [d'un vocabulaire affectif];[la répétition] produit [un effet comique];[l'interjection] exprime [l'admiration];[les hyperbolesHYPERLINK "http://www.espacefrancais.com/notion/h.html" \l "hyperbole"[->4]] traduisent [la violence des sentiments];[le vocabulaire dépréciatif] renforce l'impression de [misère].Consultez les figures de style[->5].IV- Articuler la démonstration:La rédaction du commentaire exige les qualités de logique d'une argumentation

précise de l’état d’esprit de la belle St Yves  « Confuse et charmée, idolâtre de l’ingénu et se haïssant elle-même » On a aussi affaire ici a deux contraire : Confuse ≠ idolâtre ; Charmée ≠ haïssant  « Son habit était d’une simplicité extrême : Hyperbole. Cette simplicité inhabituelle de la Belle St Yves laisse penser qu’elle se dévalorise. Elle se refuse de plaire. Elle est humiliée de honte.  « Elle voyait […] bienfaiteur « : dégout de sa propre personne » Funeste bienfaiteur : oxymore  « Elle

elle veut un beau langage et oriente donc Arlequin. Se souci des accessoires. Dernière réplique : Cléanthis corrige et reprend Arlequin => mise en scène qui se construit avec un public : les anciens maîtres. Elle est aussi bonne comédienne : hyperboles, superlatifs => langage de séduction. b) Jeu d’Arlequin Investissement moindre de la part du personnage. Il est incapable de jouer le rôle en continu et quand il est acteur il redevient vite spectateur (qui s’applaudit lui-même). On comprend

souligne les hyperboles : « ils meurent de fatigue, sont assourdis par le vacarme » Ensuite, Érasme ne décrit plus l'école en particulier mais les maîtres qui font les classes .Il écrit d'abord que les maîtres sont violents avec les élèves : « ils épouvantent leurs marmots tremblants, qu'ils déchirent ces malheureux à coups de férule, de verges et de fouet » De plus, l'auteur met en évidence que les maîtres ne se prennent pas très bien pour faire apprendre les écoliers grâce à une hyperbole : « Eux

passe sous silence des événements, ce qui accélère considérablement la narration. Hyperbole (féminin) : Comme l’euphémisme, l’hyperbole est une figure très connue. Elle consiste à mettre en relief une idée au moyen d’une expression exagérée. L’hyperbole est donc une exagération exprimée par l’accumulation, par l’emploi d’intensifs ou par l’emploi de mots excessifs. Ainsi, la phrase « Je meurs de faim » est une hyperbole. Ironie (féminin) : L’ironie est une figure très courante qui consiste à affirmer