Hyperbole

récupérer en un an, 3 E. 2.  Vérifier les acquis 1 Réponse a : f est dérivable en 1 et le nombre dérivé de f en 1 est – 1. 2 f ¢(1) est égal au coefficient directeur de la tan2 gente T. f ¢(1) = 3 1. a) x a 2 x 1 b) x a - 2 (avec x ≠ 0) x © Nathan. Hyperbole Term S 3 c)  x a 3 x 2 1 d) x a (avec x > 0) 2 x 2. a) f ¢( x ) = 6 x 2 - 5 1 b) g ¢( x ) = 1 + 2 x 3 c) h ¢( x ) = pour x > 0 2 x a) Pour tout x > 0, 1 f ¢( x ) = 2 ¥ x + ¥ (2 x - 1) 2 x 2x - 1 f ¢( x ) = 2 x + 2 x 4x 2x - 1 f ¢( x ) = + 2 x

     -chiffres : " 200 vaisseaux "                   " 3 flottes … 3 extrémités du monde … "2ème paragraphe : anecdote significative1. - situation avantageuse des français ( citer le texte)    - situation désastreuse pour le prince Eugène2. Hyperbole, importance de l'argent    - 1/2 heure -> 50 millions    - juxtaposition "délivra, battit, écrivit "    -> puissance , rapidité    - billet     -> style direct plus vivant    -> modestie3ème paragraphe : comparaison avec le citoyen romain    pour

Autodérision | Amuser le lecteur  Créer une relation de complicité entre le lecteur et l'auteur ou le lecteur et un personnage | Epique | Exaltation de prouesses et de personnages héroïques - Figures d'amplification (accumulations, énumérations, hyperboles, superlatifs, gradations...) - Vocabulaire générique et profusion de pluriels - Personnification des valeurs héroïques et des valeurs collectives - Champ lexical manichéen (la Bien, le Mal, etc.) | Susciter l'admiration du lecteur face à la relation

incertitude 1) Un travail incessant • Efforts : 1er quatrain : v1/v4 : Chiasme grammatical, met en valeur le mot « combien » (anaphore). Temps : durée / Quantité. - Artiste condamné à recommencer sans cesse son travail : v6 « mainte lourde » hyperbole 2) Image de l’artiste v.1 : métaphore : « poète / fou-bouffon » v.4 : métaphore : « poète/archer-lanceur de javelots »  Chance, notion de hasard v.6/10 : Poète devient sculpteur, travaille sur : Pierre/matière brute/ concret/Inerte/mort

d’Alceste, un homme au caractère violent sans compromis, entier, obsédé par la recherche de la vérité et de l’honnêteté. On peut noter une hyperbole, au vers 14 « mourir de pure honte » marquant l’engagement total de sa pensée sans concession. On notera une autre hyperbole vers 28 dans la bouche du Misanthrope « Je m'irais, de regret, pendre tout à l'instant ». Ces hyperboles qui accentuent son propos et qui le mettent considérablement en valeur sont troublantes, en effet le spectateur se demande si il ne

hommes » : c’est une antithèse. « Tous les hommes ensemble sont à son égard comme s’ils n’étaient point » : c’est une hyperbole. « n’étaient point » : verbe être au sens d’exister « point » : néant (qui n'existe plus). La deuxième idée : Gnathon est comparé à l’animal. L’inhumanité de Gnathon est résumée par sa façon de manger. « Non content de … » : préparation d’une hyperbole. « il occupe lui seul celle de deux autres » : c’est une antithèse. « il oublie » : c’est une ironie qui montre que

général. De plus, Balzac insiste sur la laideur physique grâce au champ lexical du corps qui est associé au champ lexical du monstrueux : l.6 « visages contournés, tordus », l.7 « les poisons dont sont engrossés leurs cerveaux » De plus, les hyperboles et les accumulations accentuent encore l’impression de grandeur et de monstruosité, l.4 « tourbillonne une moisson d’hommes » , l.13 « physionomie cadavéreuse ». b.des êtres dépravés La dépravation de l’être commence chez Balzac par la superficialité

préciser, cf. découpage sur le texte) - présent de narration + émotion de Théramène + discours direct  récit = hypotypose (sons → hyperboles v.1507, 1510 + allitération en F → flammes + mouvements +notations visuelles →  lexique du sang). Bruit puis apparition du monstre marin (v.1507- 1513 à 1522), crescendo rapide, créature apocalyptique et terrifiante (hyperboles + lexique de la peur / terreur + sonorités) II – LA MISE EN SCÈNE D’UN HÉROS TRAGIQUE Registre   épique   (verbes   d’actions

forte «  (hyperbole). Le manque d'education des jeunes gens : « les jeunes gens […] sont feroces, sans mœurs ni politesse » alors que les vieux sont plus « civils » qu'eux. (paradoxe) 2e thème ( ligne 9-17) : La mode paraît aussi ridicule et artificielle à l'observateur : - les femmes se ridiculisent avec in maquillage exessif et une atitude ostentatoire : «  leurs coutume et de peindre leurs lèvres attitude ostentatiore : «  leurs coutume est de peindre leurs levres ( hyperbole ), leurs joues

connaissait pas · Le verbe paraitre fait penser à une apparition tellement elle est belle· « Une beauté » indéfini, elle n’a pas de nom, indéterminé car on ne la connait pas, elle est définie par sa beauté· « L’effet est immédiat, … tout le monde » hyperbole, « tout le monde » = personne ne peut résister, elle a une beauté qui conquière n’importe qui, la beauté de cette femme parait objectiveLigne 2  : · « On doit croire » insiste sur le fait qu’elle veut qu’on croie la beauté de