Hyperbole

(deux voyelles qui se suivent prononcées en deux syllabes. La fable (ou l'apologue) est efficace auprès du peuple car : -Elle a le pouvoir de «réveiller» le peuple, de le captiver, d'attirer son attention. -Elle procure «un plaisir extrême» (= hyperbole) -Elle est adaptée au destinataire : les Athéniens comme les hommes du XVII ont conservé une âme d'enfant, ils aiment toujours qu'on leur raconte des histoires. Le discours efficace – la fable – est mis en évidence par l'emploi du discours rapporté

coup de foudre comme « je me trouvai enflammé tout d'un coup [...] » (ligne 14) ou encore « l'amour me rendait déjà si éclairé » (ligne 22). Quelques fois, le narrateur utilise des hyperboles tel que «  la maîtresse de mon cœur », pour exprimer l'incapacité de contrôler ses sentiments et son amour. Tout ces hyperboles montrent la douleur du narrateur . Leur rencontre se fait par deux approches, tout d'abord le regard « elle me parut si charmante que moi » mais également par la parole « elle me

sautai dessus et lui portai un coup terrible qui lui décolla presque la tête..." Idem pour Jünger et pour Homère. Les hyperboles accentuent ce côté héroïque: "Partout Achille s'élançait, furieux, avec sa javeline, égal à un dieu..." pour l'Illiade, et il en est de même pour le texte de Cendrars, avec par exemple la scène de la décapitation. Généralement, le ton épique et les hyperboles s'accompagnent. Il y a aussi les images, comparaisons et métaphores que l'on retrouve dans les textes d'Homère et de

Texte 1 : Gargantua , Rabelais (1534), « Prologue de l’auteur » Rabelais : - 1483/1494 – 1553- Humanisme de la Renaissance- Médecin , Écrivain (1532)- Admirateur d’Érasme : Parodie + Satire- Chrétien- Pantagruel (1532) ; Gargantua (1534)Gargantua  : - Roman Humaniste- L’éducation- Rire et savoirTexte 1 :- Prologue- Rabelais parle aux lecteurs- Registre Satirique- Pbm :- Intro : Alcofribas Nasier, le « chroniqueur » des aventures de Gargantua, est

aînés ; nous avons ici une opposition de « lumière » (ligne5) et « obscurités » (ligne 4). Nous constatons que les aînés ont essayé de préserver et de poursuivre les lumières avec « vers la lumière » (ligne 5). Il y a une hyperbole avec « siècle » (ligne 5) suivit d’une autre hyperbole dans lequel Zola souligne les défauts avec «plus » (ligne 5) et « plus » (ligne 6 » mais nous avons aussi du vocabulaire mélioratif avec « honnêtes » (ligne 5) et « solide » (ligne 6). Zola fait liste de l’héritage des

prison et tout va bien Tous ces éléments donnent une idée de démesure. * Hyperboles : * « en moins de 4 heures » (l.2) -> le pays est très grand * « le portail était de 220 pieds de haut et de 100 de large » (l.4) * « supériorité prodigieuse » (l.5) * « deux files chacune de mille musiciens » (l.13) * « édifices publics élevés jusqu’aux nues » (l.24-25) Ces hyperboles accentuent l’effet de démesure. Cet effet est aussi marqué par l’énumération :

d’imposer alors ses réformes, conformément au droit romain. ▪ l’art de persuader : les hyperboles, les figures de style, l’art de l’allusion : style périodique fondé sur des allitérations (fortis fidosque…), des énumérations ouvertes (pericula, repulsas, iudicia, egestatem ~ gratia, potentia, honos, diuitiae) ; des chiasmes : « uiget aetas, animus ualet » renforcé par une rime interne ; des hyperboles marquées par une interrogation rhétorique : « quid reliqui habemus praeter miseram animam ? »

dans geste / scène. - Anaphore "il faut voir" : l.11, Elle a tout le temps les 'regards furtifs mais pénétrant" de Valmont. B - Eloge du "déshabillé" - Sujet des phrases vêtement : montrent Mme De Tourvel à Valmont. - Adjectif mélioratifs --> voir hyperbole : Valmont apprécie Mme de Tourvel. - Paradoxe sur dérivation : la beauté se suffit à elle même. C - La rencontre sensuel. - sens : Vue, toucher, ouie ---> Etreinte réciproque + indices des sentiments de Mme de Tourvel et Valmont sur de lui. II -

tous ses traits étaient réguliers », « grâce et charmes ». définition d’un canon de beauté à l’époque. Blancheur signifie qu’elle ne fait pas de travaux manuels, qu’elle n’est pas dehors à travailler la terre. Éloge de sa beauté marqué par des hyperboles : « beauté parfaite », « grande beauté », utilisation d’expressions hyperboliques « il fut surpris », « il en fut surpris avec raison », répétition pour insister, enfin comparaison élogieuse : « elle donna de l’admiration dans un lieu où on était

«rafraîchissant, tiède» métaphore du mariage, métaphore filé «hymen=mariage» beauté de la nature: énumération arbuste évoque un jardin 3. La profusion de la nature pluriel exprime la générosité de cette nature hyperbole: couverte, exagération répétition d'or et d'argent Ce texte fonctionne bien comme la réécriture du mythe de l'âge d'or II. La représentation d'une société idéale C'est une société qui présente des caractéristiques d'utopie, comme