Hyperbole

l’Homme et en effrayant son imagination Commentaire de la fable I- Evocation imagée et progressive des deux infinis A- L’infiniment grand * D’abord ce que l’homme voit * Ensuite ce que l’homme imagine * Amplification progressive  * Hyperbole * Le fait de prendre l’homme comme point de référence (que l’Homme contemple, …) souligne la petitesse de celui-ci par rapport au Cosmos  B- L’infiniment petit * Présenté comme un autre prodige * On part du ciron (petit acarien parasite du

rapprochemt inhabituel, inversemt réact°+ comportemt héros comiq. 2)Invers° des institut° * Aucun appareil répressif. Pas de jutificat° à cette absence-> réponse logiq. * Importance savoir, connaisances (hyperbole) 3)Invers° fonctionnel/ esthétiq. * Marché: lieu trad. commerce, ici esthétiq.: gde recherche olfactive & visuelle. II-Monde idéal & merveilleux 1)Luxe & Richesse * Palais royal: nb formules

vers le personnel et l'affectif), la rhétorique des passions plus persuasive que convaincante, la pression psychologique exercée contre le médecin, ses attaques « ad hominem » et ses excès de langage surtout, dans la prosopopée de la tirade finale (hyperboles insultantes : « chien enragé », « monstre »). La thèse, que soutient le narrateur ressort du jugement catégorique exprimé à la ligne 12. Passionné, violent dans ses prises de position, excessif dans ses paroles, il est enclin à la dramatisation

questions oratoires - Implication du locuteur : marques de la première personne, modalisateurs, marques de jugement. - Rythmes éloquents amples, périodes - Lexique chargé de valeur (Bien/Mal, etc.)- Procédés d’insistance et d’amplification (hyperboles, superlatifs, gradations, rythmes croissants) - Amples périodes - Champs lexicaux de l’héroïsme, de l’exploit, du merveilleux- Expression du doute (modalisation, interrogation) - Ruptures de la narration et jeux sur la focalisation - Champs

portrait du libertin ; éloge de l'inconstance amoureuse ; éloquence et persuasion I) Dom Juan, portrait du libertin A- La liberté, valeur inestimable → ligne 1 = se lier à quelqu'un est une entrave → ligne 5 = s'attacher met fin à la liberté ; hyperbole 'mourir jeune' et oxymore → liberté de sortir des conventions (hostilité au mariage...) → comparaison hyperbolique à Alexandre le Grand B- L'amour de la Beauté → champ lexical du regard et du désir (l. 127, 130 et 138) → mise en avant

jugement. - Rythmes éloquents amples, périodes - Lexique chargé de valeur (Bien/Mal, etc.) Louer ou blâmer. ____________________________________________________________ _______________ Epique - Procédés d’insistance et d’amplification (hyperboles, superlatifs, gradations, rythmes croissants) - Amples périodes - Champs lexicaux de l’héroïsme, de l’exploit, du merveilleux Donner aux êtres, aux choses, aux événements une dimension qui les dépasse (héroïsation). ____________________________________________________________

comique de caractère : la caricature Mme P est rendue ridicule : colérique et aveugle . L'auteu utilise l'hyperbole -->colère exagérée Hyperbole + mots péj = portraits pej des perso présents faits par Mme P Elle valorise Tartuffe Elle coupe la parole des perso -> ... C EST LA DUPE Le comique de caractère est lié au comique de mots ( hyperboles mots pej ) Le comique de situation : Dorine insulte Mme P Mme P avait pouvoir et tte la parole . Le tps de parole revient à Damis

importance de la naissance | ▪ classicisme poussé à l’extrême (hyperbole, utopie, …)▪ morales▪ codes strictes ▪ retour aux vraies valeurs de l’aristocratie Euphémisme | ▪ antithèse de la préciosité = liberté à tout prix, quitte à être damné Ex : Don Juan ; Les précieuses ridicules (Molière) | 2) Etude du texte ▪ description de l’éducation de Melle de Chartres par Mme de C. ▪ champ lexical de la beauté redondant ▪ gradation, hyperbole, exagérations, accumulations => sagesse, qualité morale

fontaine. Le champ lexical du malheur : (« malheureux » (l.5), « affligé » (l.5), « douleur » (l.5) et « deuil » (l.26) ), témoigne de sa souffrance. Ces mots, employés tout au long de l'extrait, soulignent sa mélancolie. De plus, au moyen d'une hyperbole, il insiste sur l'étendue de son mal : « Il se clama mille fois malheureux et affligé » (l.5). Parallèlement, sa peine est si grande qu'il est animé par le désir de mourir. Le dépassement de l'échéance et la haine de sa dame provoquent chez lui un

chiasme (vers 2 et 4), une hyperbole ("enfants prodige"). -Forme et structure: Il s'agit d'un poème en vers libre.La métrique ainsi que la musicalité sont insignificatives. Le poème ne présente aucune partie (strophe...), il y a donc qu'une seul partie dans ce poème. J'observe qu'il y a un emjambement vers 1-2. Conclusion: Ce poème a un style particulier avec l'absence de structure (pas de strophe, qu'une seule phrase). Il y a présence de figure de style ( Chiasme et hyperbole), de champs léxical (