Hyperbole

Figures d’amplification ou d’insistance L’hyperbole Cette figure de style consiste à amplifier une idée pour la mettre en relief. Il s'agit d'une exagération. C'est souvent le contexte qui permet de dire s'il y a hyperbole ou non. La langue familière utilise souvent des hyperboles. Ex : Briller de mille feux, pleurer des torrents de larmes, mourir de soif, avoir trois tonnes de boulot... L’anaphore Cette figure de style caractérisée par la répétition d'un terme en tête de vers, de groupes

lui qui jouait le rôle d'alceste. Alceste > postion intransigeante, critique de l'hypocrisie sociale. Alceste est victime d'un emportement c'est un redresseur de tord. Le motif de la querelle > "disproportion" du crime commis avec la peine voulue (hyperbole) son intransigeance repose sur la volonté de sincérité a tout prix. on peut peut être voir sous cette volonté beaucoup d'orgueil et un désir d'exclusivité comme avec célimène "je veux qu'on soit sincère" il veut corriger les autres, critique de

entre eux. Euphémisme Consiste à remplacer une expression qui risquerait de choquer, par une expression atténuée. Le procédé inverse est l'hyperbole. Permet de ne pas choquer. Hyperbole Figure consistant à employer des expressions exagérées pour frapper l’esprit. C'est souvent le contexte qui permet de dire s'il y a hyperbole ou non. Produit un effet d'exagération. Accumulation Énumération qui crée un effet de profusion. Parallélisme Rapprochement de phrases ou de propositions possédant une structure

atteindre, blesser, inspirer de l'amour. Hyperbole dans la structure syntaxique (phrase): « M. de Nemours fût tellement surpris de sa beauté que […] il ne peut s'empêcher de donner des marques de son admiration » ligne 14. Vocabulaire hyperbolique: « étonnement » ligne 13, « un murmure de louange » ligne 16, « qql chose de singulier » ligne 18, « parfaire beauté » ligne 33, « adorait » ligne 36 et « extraordinaire » ligne 43.Toutes les hyperboles donc le sentiment d'un conte de fée.

liés à la souffrance, comme la mort, la maladie, la séparation, la douleur. On peut le reconnaître par : • Les champs lexicaux de la souffrance et de la mort. • Les métaphores et les comparaisons qui renforcent l’expression des sentiments. • Les hyperboles et oppositions qui intensifient l’émotion. • Les ellipses narratives qui laissent deviner l’horreur de la situation. • La ponctuation expressive : questions oratoires, exclamations… Le registre tragique Il est lié au genre théâtral de la tragédie

les dangers et ont le poils hérissés dans ces cas là. C)Une présence mortuaire angoissante. -Champ lexical de la torture et de la mort : «Menace » , « prison » « tombeau » « mort » « gémissement » -Hyperbole « haleine de mort » → traduit d'une angoisse et accentue l'atmosphère stressante. -Hyperbole «  un froid de mort » → de même ici on nous rappelle encore par cette expression , la mort omniprésente. Cela continue a renforcer l'angoisse. D)Un écho de torture passé - »parfois » → adverbe → sorte

Le poison « vers 12 » Structure du poème : utilisation très rare d’heptasyllabes et d’alexandrins Aspects techniques  Figures de style : v.4 métaphore v.9 oxymore v.11 métaphore + personnification v.14 personnification + hyperbole v.15 personnification + métaphore v.16 oxymore v.17 métaphore ou personnification v.18 personnification v.19 métaphore (charrier : transporter dans un liquide) v.20 métaphore Rimes : Problématique : L’auteur est-il

On le trouve l'origine dans· la poésie épique (t'épopée). mais aussi dans le théâtre ou le roman chaque fois que l'intensité d'un conflit est' soulignée avec force. • Lexique du combat • Procédés de l'amplification (hyperboles, symboles, antithèses) • Hyperboles, antithèses, amplifications à JI Le registre pathétique • Exagération Il caractérise une attitude de raillerie, de moquerie devant des êtres et des situations qu'il prend pour cible. Il peut être employé dans

roman porte également la marque de ce mélange des genres. - cet idéal se manifeste dans l'écriture littéraire à travers des figures d'accumulation , d'opposition(antithèses, oxymores qui traduisent la complexité du monde) ou d'amplification (hyperboles, anaphores, etc.). - esthétique où dominent l’irrégularité, le mouvement, la métamorphose et les contrastes de formes ; cette esthétique repose sur l’imagination, elle utilise volontiers les discours figurés et codés (symboles, allégories, etc

« Mourante vie » v9 oppositions entre les deux termes= oxymore. - Chiasme v7 (ABBA) « Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés » qui montre que la peste étend ses ravages sur tous les animaux. - V5 « L’Achéron » est le fleuve des enfers : hyperbole sur le nombre des victimes «  Capable en un jour d’enrichir l’Achéron »v5 - champ lexical de la mort qui montre l’étendue des ravages de la peste. « Mourante mouraient » - parallélisme v14 « plus d’amour partant plus de joie », entre v10 et 14 enchaînement