Hyperglycémie

manque d’oxygène au niveau surtout cérébral | |Diabète insulinodépendant |Malaise par hypoglycémie, désorientation temporo-spatiale | | |Mais patiente en hyperglycémie régulière même sans alimentation (12 mmol/L) | |Anorexie totale |amaigrissement, déshydratation extra puis intracellulaire. Infection pulmonaire et ou urinaire. | |

Surveillance d’apparition d’effets secondaires : Hypotension orthostatique, sédation ou somnolence, risque de rétention urinaire, constipation, réactions anxieuses, variation de l'état thymique,    syndrome malin du neuroleptique, prise de poids, hyperglycémie, tachycardie modéré. Syndrome extrapyramidal l (tremblement, akynésie, hypertonie) Rôle prescrit traité en collaboration -faire les transmissions écrite, noter l’heure à laquelle Mr x a eu son injection, et noter de façon précise les réactions

agressions ischémiques secondaires qui vont majorer l'oedème cérébral et aggraver le ponostic +++ : Hypotension arterielle Hypertension intra cranienne, notamment au moment des soins (aspiration trachéale, kiné, .. ) Hypoxémie, Hyperthermie, Hyperglycémie Elles sont d'autant plus délétères qu'il y a un attente de l'autorégulation cérébrale. SURVEILLANCE DU TRAUMATISE CRANIEN GRAVE Clinique Score de Glasgow (CSG) toutes les 4 à 2h + Test pupiilles avec la lumière Radiologie Scanner, IRM

Accompagner, la psychoéducation -> informer la personne sur sa maladie. Pas trop d’activité physique. Diabète sucré non insulinodépendant (type 2) Affection chronique caractérisée par une glycosurie (présence de sucre dans les urines) provenant d’une hyperglycémie (excès de sucre dans le sang). Ce diabète est dû à une insuffisance ou à un ralentissement de la sécrétion par le pancréas d’insuline, hormone nécessaire à l’utilisation du glucose pour répondre aux besoins énergétiques cellulaires. Soif très

exogène HYPOKALIEMIE Apports insuffisants IS (Addison) ou ttt par antialdostérone Pertes digestives, rénales Hémolyse, chimiothérapie Hyperaldostéronisme Exercice intense Médicaments : Diurétiques thiazidiques, corticoïde IR importante Hyperglycémie Alcalose métabolique (EC IC) Acidose Rhabdomyolyse K+<3 mmol/l ou > 5.5 mmol/L = Urgence : Prévenir un médecin Mercure Bibliographie • LES ESSENTIELS EN IFSI. Biologie fondamentale UE2.1 et 2.2. Masson. Carole Siebert, Katy Le Neures • Apports

suffixesuffixesuffixesuffixe qui ne peut jamais être employé seul. qui ne peut jamais être employé seul. qui ne peut jamais être employé seul. qui ne peut jamais être employé seul. Exemple:Exemple:Exemple:Exemple: hyperglycémie = hyperglycémie = hyperglycémie = hyperglycémie = augmentation du taux de glucose dans le sangaugmentation du taux de glucose dans le sangaugmentation du taux de glucose dans le sangaugmentation du taux de glucose dans le sang hyperhyperhyperhyper---- est le préfixe

clinique Domaine 1 · Diabète de type 2 lié à une insulinosécrétion insuffisante ou a une insulinorésistance des organes cibles se manifestant par asthénie, perte de poids, soif intense, polyurie, hypoglycémie, hyperglycémie · Douleurs lombaires chroniques liées au vieillissement se manifestant par des douleurs · Hypothyroïdie liée à une production insuffisante d’hormones

l’institution d’un régime dépourvu de phénylalanine. Le diabète, sous sa forme de diabète sucré, est une maladie de la nutrition, au cours de laquelle l’organisme ne peut assimiler complètement les sucres, qui s’accumulent alors dans le sang (hyperglycémie) et, franchissant la barrière rénale, passent dans les urines, où ils sont aisément mis en évidence (glycosurie). L’hypoglycémie, à l’inverse, est un abaissement du chiffre normal de la glycémie sanguine. Malgré les malaises souvent impressionnants

plus apte à réaliser la nucléation. La réaction ne peut donc pas avoir lieu. Les seuls effets indésirables pouvant apparaitre lors de l’absorption de ces deux éléments sont : - une trop forte quantité en sucre pouvant entrainer écœurement et hyperglycémie (dangereux pour les personnes diabétiques) - des troubles gastriques entrainant notamment de l’aérophagie jusqu’à la dissipation totale du dioxyde de carbone.  Conclusion La réaction obtenue entre le coca-cola et les mentos est

du pancréas qui produisent de l’insuline. En absence d’insuline, l’organisme n’arrive plus à utiliser le sucre comme réservoir d’énergie car le sucre reste dans le sang et ne peut plus entrer dans les cellules. La glycémie augmente et devient hyperglycémie. Cet excédent de sucre doit être éliminé : le sucre passe alors dans les urines par l’intermédiaire des reins qui ne le filtrent pas. Un diabétique de type 1 non diagnostiqué urine et boit beaucoup plus souvent et en grande quantité afin d’éliminer