Hypocrisie Du Vicomte Valmont

polyphonie I-Refus adroit et prolongement de l’incipit1-.Valmont .double visage, libertin/amoureux .impossible car tourvel =/= libertine et merteuil abandonnée= concurrente 2-. 3 femmes .chaque femme a son role, Tourvel encore mystérieuse, Cécile ingénue et Merteuil manipulatrice . 3-.Retarde le refus et précautions oratoires .anticipe les réactions de M, .Flatterie et compliments II-Liens ambigüs Valmont/Merteuil1-.Complicité .Valmotn l’associe à ses projets

demeuré inachevé. Qu’est-ce que Les liaisons dangereuses  ? Le roman épistolaire, écrit en 1782, met en scène deux libertins de la noblesse : la Marquise de Merteuil et le Vicomte de Valmont. L’auteur imagine leurs correspondances et les lecteurs découvrent alors dans ces lettres leurs stratégies de séduction. Les deux personnages, qui se jouent des conventions morales de l’époque, cherchent l’un pour conquérir une femme prude,

victimes |Lettre XCVII | |lettres LXXXVIII à CXXIV |- Typologie des faibles |Lettre CII | | |- Valmont et Merteuil | | |QUATRIÈME PARTIE |- Les jeux de points de vue |Lettre CXXV | |lettres CXXV à  CLXXV

Expression linéaireLaclos, les liaisons dangereusesAmorceCette extrait nous viens du roman épistolaire met en scène deux libertins complices, passes maitres dans l’art de la conquête amoureuse. L’auteur se nomme Laclos c’est un auteur du siècle des lumières mais nous verrons dans cette analyse que ce roman s’inscrit dans le courant libertins.LectureSituer le passage · Le texte se situe dans la lettre numéro 81, dans cet extrait la marquise de Merteuil, une manipulatrice

de la « religieuse folle », il s’est inspiré de sa sœur Angélique, morte folle à 28 ans au couvent de Langres. En quoi la description de la religieuse folle sous le regard de Suzanne est-elle une façon pour l’auteur de critiquer l’Eglise et son hypocrisie ? I. Un tableau vivant de la religieuse folle. II. La critique de l’Eglise. I. Un tableau vivant de la religieuse folle :1. Une description placée sous le signe du désordre :· D’abord, rien n’est contrôlé par la jeune femme, comme en témoignent

correspondance scandaleuse avec son ami et ancien amant, le vicomte de Valmont, un libertin riche, beau, charmant, plein d’esprit, mais impitoyable et éhonté, vivant dans l’oisiveté et cherchant toujours à acquérir plus de gloire en séduisant des femmes naïves de la bonne société, elle lui demande de conquérir, déshonorer et pervertir la jeune Cécile, afin de ruiner le mariage de Gercourt qui tient à la virginité de sa future épouse (lettre 2). Mais Valmont refuse, et attise ainsi l'irritation de Mme de Merteuil

appartiennent à l’aristocratie, plus précisément à la noblesse d’épée, héréditaire et ancienne. Elle est plus prestigieuse et se distingue de la noblesse de robe, plus récente et acquise grâce aux fonctions judiciaires et parlementaires. Chevalier, vicomte, marquise, la hiérarchie nobiliaire est bien représentée dans le roman, et l’on constate que le degré d’autorité et de pouvoir des uns sur les autres coïncide avec cet ordre social. La Présidente de Tourvel quant à elle appartient à la haute

autoportrait pour expliquer à Valmont qui elle est vraiment. Cette lettre, sans rapport avec l'action du roman, est cependant très importante. En effet, Mme de Merteuil tombe le masque et nous donne en quelque sorte la clef nécessaire pour comprendre ses agissements, ses comportements. Dés lors, plus aucune ambiguïté ne demeure, tout ce qu'elle dit, tout ce qu'elle fait est calculé. Une femme libre qui revendique son indépendance : c'est pourquoi elle reproche à Valmont son ton "doctoral" et

sans grandeur. Des personnages de « méchants » comme le vicomte de Valmont et la marquise de Merteuil dans Les liaisons dangereuses de Choderlos de Laclos sont d’une extrême richesse, notamment la marquise. En effet, tandis que Valmont le libertin semble converti à l’amour pur par Mme de Tourvel, et donc répond aux critères du héros qui s’est trompé de voie et trouve la vérité à l’issue de son parcours, la marquise est constante dans son hypocrisie et sa méchanceté, et va jusqu’au bout de son destin

épistolaire par excellence qui illustre le mieux la dénonciation de l’hypocrisie est probablement « les liaisons dangereuses » de Choderlos de Laclos. La correspondance entre deux êtres très hypocrites et manipulateurs, Mme de Merteuil et le Vicomte de Valmont, aboutit à la perdition de tout leur entourage mais, finit par rattraper leurs auteurs, l’une défigurée et déchue, l’autre blessé mortellement. Ce n’est probablement pas un hasard si cette correspondance est régulièrement jouée au théâtre.