Hypotypose

parfaite on le constate avec cet adjectif qualificatif ''joli pli''(L.9) mais quelques mots après la scène devient noir, dramatique notamment par cet adverbe ''brusquement''(L.21) qui indique un changement radicale de l'action en cour. Et avec cette hypotypose ''brusquement […] jette''(L.21 à L.24), qui est sous forme d'énumération. On peut relever plusieurs verbes qui indiquent une chute violente de la baigneuse ''les cuisse fléchirent , elle tombait d'une chute vivante''(L.22). Cette phrase témoigne

| |Gradation |Termes de plus en plus forts |Je meurs, je suis mort, je suis assassiné ! | |Hypotypose |Accumulation de détails concrets, souvent fragmentaires, pour donner l’impression d’un|« Des gens arrivaient hors d’haleine ; des barriques, des câbles, des corbeilles de linge gênaient la | |

brutalité des ravisseurs, des soldats qui l'entourent: (ombre/ flambeaux/ armes/ cris...). La phrase ''levant au ciel ses yeux mouillés de larmes'' montre qu'elle ne regarde pas Néron. Néron fait à Narcisse un tableau de Junie, c'est presque une hypotypose. Plus tard, Néron va essayer de reprendre ces éléments qu'il donne à Narcisse pour justifier son trouble. Il va essayer de comprendre pq il est ds un tel état. Vers 16, il essaye de rationaliser son trouble: ''Quoi qu'il en soit''. Néron est

enfermée dans ce passé troyen, le passé de son couple, de son peuple. Au moyen de plusieurs anaphores (« Songe » x 4, « Voilà » x 2), et d'impératifs de renforcement (« Figure-toi » v. 3, « Peins-toi » v. 9), Racine donne à voir, par une terrifiante hypotypose, le carnage des Grecs dans Troie défaite, et la sauvagerie de Pyrrhus en particulier, selon le strict point de vue d'Andromaque. Elle nous rend perceptible cette couleur rouge de l'incendie et du sang, éclaboussant les victimes comme les bourreaux

une divinité) / l’empoisonnement / les réactions/ l’accablement B) Le contraste entre l’apparence de convivialité et la brutalité de l’assassinat C) Le contraste entre l’affolement de la cour et le flegme (calme d’âme) affiché par Néron D) Une hypotypose : figure de récit où une scène est raconté de manière extrêmement précise. Chronologie II- La subjectivité de Burrhus A) Une énonciation personnelle B) La façon dont les personnages sont nommés C) La dénonciation des courtisans D) Les

funeste dont elle a un devoir de mémoire « Dois-je oublier ». Aussi, deux allitérations avec des dentales sont utilisées « Songe, songe, Céphise, à cette nuit cruelle qui fut pour tout un peuple une nuit éternelle ». De plus, « songe, songe » est une hypotypose qui fait revivre l’incendie de Troie. Non seulement Andromaque a souffert dans le passé, mais elle est également confrontée à un dilemme. Son amour pour son fils est évident et c’est la seule chose qui lui reste. Le lexique de la

Andromaque est une épouse fidèle, une mère aimante mais aussi une princesse. Andromaque cherche à faire partager son désarroi à sa confidente, en lui mettant sous les yeux le tableau de ces horreurs. Le récit de la dernière nuit de Troie constitue une hypotypose. II°Le dilemme tragique d’Andromaque Ultimatum posé par Pyrrhus, Andromaque va donc peser le pour et le contre. Dans la première tirade, Racine embellie la chute de Troie, et cela permet à Andromaque de trouver la force,

contrastivite, denotation, displacement, description, determinism, desambiguisator, dialogue, dilemma, circuit breaker semantic, speech, double direction, double significance, echivoque, effect, component, epenthese, lexical hybrid, hyperbole, hypotypose, homeotelute, glumă, ideal estetic, inferenţă praxiologică, integritate semantico-funcţională, ipocorism, irony, izotopie generică, izotopie speciifică, joncţiune, juxtspunere, light restrictivă, litotă, metateză, naraţiune, obiectul comunicării

vivant, presque poétique, très réaliste parfois, qui nous propose une image des choses si bien représentée que le lecteur croirait la voir dans son imagination. On pourrait considérer que toute la phrase de l'extrait de La Bruyère constitue une hypotypose: nous y voyons en effet des hommes qui « vivent de pain noir d'eau et de racine ». En conclusion on constate que les auteurs cherchent a sensibiliser le lecteurs par différents procédés tels que la métaphore pour la Bruyère , COMMENTAIRE COMPOSE

dernier paragraphe (v. procédé de juxtaposition aux vers 20-21) : exprime un affolement + déstructuration de la syntaxe / rythme du vers (cf contre-rejet du vers 18 • Des êtres, animaux fantastiques = une danse macabre : personnifications et hypotyposes De nombreuses images, comparaisons et allégories font basculer le lecteur vers une atmosphère fantastique, angoissante. Au vers 15, par exemple, " esprits errants " est une image dépréciative qui s'y rapporte. L'oxymore " jour noir " transforme