Hypotypose

lecteurs dans ce long poème. Dans La ballade des pendus, François Villon traite le thème de la mort et du pardon. Il décrit durant trois strophes la condition des pendus sans répétition autre que le refrain. Il fait appelle aux sens et crée une hypotypose étrange, puisque la ballade est rédigée du point de vue du pendu. Le lecteur est amené à fixer aux expressions sans détour, à comprendre cette condition horrible. La poésie revêt la forme d’une prière où chaque mot traduit un dédain, une tristesse

il est matérialisé par des images de combats. -masse de client qui déshumanise/animalise/uniformise les hommes. -Zola n’a pas une écriture blanche car il donne beaucoup de détails et de figures de style, il fait une peinture de ses descriptions (hypotypose) : la description des flammes est tellement précise que l’on peut les imaginer. -registre épique avec un vocabulaire de la guerre dans les deux textes. Comparaison avec le champ de bataille, comparaison des clients à des animaux « sauterelles dévorantes »

mettre en relief une idée au moyen d’une expression exagérée. L’hyperbole est donc une exagération exprimée par l’accumulation, par l’emploi d’intensifs ou par l’emploi de mots excessifs. Ainsi, la phrase « Je meurs de faim » est une hyperbole. Hypotypose (féminin) : L’hypotypose est une figure qui se fonde sur l’animation d’une description et qui est destinée généralement à faire voir au lecteur quelque chose. L’hypotypose permet de se représenter une scène ou un objet. Ironie (féminin) : L’ironie

allure théâtrale. L’arrivée à la réception est perçue à travers les yeux de Rastignac et de Delphine ; le lecteur peut suivre le mouvement des personnages grâce au point de vue interne. Nous sommes parmi la foule, comme en direct grâce à une mise en hypotypose. Le bal prend de l’importance grâce à l’hyperbole « les lanternes de cinq cents voitures » ; il devient un grand événement auquel presque un millier de personnes se rendent. Cette soirée adopte un caractère solennel : des hommes apparaissent à cheval

où elle laisse penser que la sorcière ne saurait se satisfaire de la mort de Créuse. L'image utilisée pour évoquer la mort de celle-ci (« Des bras de mon perfide arracher une femme ») confère une dimension visuelle indéniable au crime de Médée (hypotypose) et fait de cette dernière l'équivalent d'une allégorie de la mort. La violence de l'action est soulignée par l'allitération en [r] et l'assonance en [a] (« Des b ra s de mon pe r fide

place à la brièveté de sa colère 6 “ elle se sentit prête à pleurer” verbe de sensation focalisation interne Ce point de vue favorise l’identification du lecteur à la jeune femme 6-11 “ Elle fit des efforts terribles [ … ] la face rigide et pâle” hypotypose des pleurs Cette description exhaustive et détaillée incite le lecteur à la compassion pour Boule de Suif , qui est manifestement victime d’une grande détresse. 6 “ fit des efforts , se raidit , avala ses sanglots “ rythme ternaire + termes évocateurs

l’anéantissement.Ces « échafauds » sortes d’échafaudages, instaurent une verticalité que l’on retrouve dans tout le recueil. Le poète tente à maintes reprises de s’élever vers l’Idéal, mais inexorablement il choit dans la mélancolie, le « spleen ».hypotypose * : du grec « esquisse, tableau » description de façon tellement animée et vivante qu’elle semble mettre sous les yeux du lecteur l’objet de la description. Elle peut se composer de notation de qques mots qui fixent des détails frappants

la mort et s'en trouve transfiguré : « Je meurs trop glorieux, puisque je meurs pour vous ! ». Pendant un instant, il semble retomber dans la peur de la mort et dans le désespoir ("la peur de la mort me fait déjà mourir"). Au cours d'une longue hypotypose ("Je vois le lieu fatal où ma mort se prépare"), il vit en imagination son supplice. Mais c'est encore l'image d'Isabelle qui vient effacer cette macabre vision. L'amour lui permet donc de dépasser la pensée et la peur de la mort.

colère, et donc l’engagement. le poème de Desnos est écrit de manière que le lecteur croie voir se dérouler sous ses yeux, hic et nunc, « ici et maintenant », comme s’il était présent, comme si ce « je » était lui-même. Ce procédé s’appelle hypotypose. Cet effet est atteint grâce au présent de narration (« un pas retentit »), qui, associé ici aux verbes de perception et au discours direct (cf. supra) crée un effet de réel. Cet effet est renforcé par la formule : « Le voici devant la maison

Séquence 2 : Le théâtre du XVIIe et du XXe siècleLes Fausses Confidences (1737)Texte 1 : Acte I, Scène 14 :Introduction : Cette scène est extrait de l’acte 1 scène 14 de la célèbre pièce Les Fausses Confidences du dramaturge français, Marivaux, joué pour la première fois en 1737. Marivaux était un célèbre moraliste français du XIIIe siècle qui s’inspirait beaucoup de la Comedia Del Arte ainsi que la société d’ordres dans laquelle vivait pour écrire ces œuvres