Hé Croyez Vous Le Pouvoir Madame

pauvre Cécile ! Oh ! j'ai été bien honteuse ! Mais tu y aurais été attrapée comme moi. En entrant chez Maman, j'ai vu un Monsieur en noir, debout près d'elle. Je l'ai salué du mieux que j'ai pu, et suis restée sans pouvoir bouger de ma place. Tu juges combien je l'examinais ! «Madame», a−t−il dit à ma mère, en me saluant, «voilà une charmante Demoiselle, et je sens mieux que jamais le prix de vos bontés.» A ce propos si positif, il m'a pris un tremblement tel, que je ne pouvais me soutenir ; j'ai

la pauvre Cécile! Oh! j'ai été bien honteuse! Mais tu y aurais été attrapée comme moi. En entrant chez Maman, j'ai vu un Monsieur en noir, debout près d'elle. Je l'ai salué du mieux que j'ai pu, et suis restée sans pouvoir bouger de ma place. Tu juges combien je l'examinais! “Madame”, a-t-il dit à ma mère, en me saluant, “voilà une charmante Demoiselle, et je sens mieux que jamais le prix de vos bontés.” À ce propos si positif, il m'a pris un tremblement tel, que je ne pouvais me soutenir; j'ai

l’homme qu’hier vous vîtes du balcon. – Hélas! qui pourrait, dis-je, en avoir été cause? Sur lui, sans y penser, fis-je choir quelque chose? – Non, dit-elle, vos yeux ont fait ce coup fatal, Et c’est de leurs regards qu’est venu tout son mal. – Hé! mon Dieu! ma surprise est, fis-je, [sans égale]: [13] Mes yeux ont-ils du mal, pour en donner au monde? – Oui, fit-elle, vos yeux, pour causer le trépas, Ma fille, ont un venin que vous ne savez pas. En un mot, il [dépérit], le pauvre misérable;[14]

la pauvre Cécile! Oh! j'ai été bien honteuse! Mais tu y aurais été attrapée comme moi. En entrant chez Maman, j'ai vu un Monsieur en noir, debout auprès d'elle. Je l'ai salué du mieux que j'ai pu, et suis restée sans pouvoir bouger de ma place. Tu juges combien je l'examinais! " Madame " , a-t-il dit à ma mère, en me saluant, " voilà une charmante Demoiselle, et je sens mieux que jamais le prix de vos bontés. " A ce propos si positif, il m'a pris un tremblement tel, que je ne pouvais me soutenir; j'ai

pauvre Cécile ! Oh ! j'ai été bien honteuse ! Mais tu y aurais été attrapée comme moi. En entrant chez Maman, j'ai vu un Monsieur en noir, debout près d'elle. Je l'ai salué du mieux que j'ai pu, et suis restée sans pouvoir bouger de ma place. Tu juges combien je l'examinais ! «Madame», a−t−il dit à ma mère, en me saluant, «voilà une charmante Demoiselle, et je sens mieux que jamais le prix de vos bontés.» A ce propos si positif, il m'a pris un tremblement tel, que je ne pouvais me soutenir ; j'ai

de la pauvre Cécile! Oh! j'ai été bien honteuse! Mais tu y aurais été attrapée comme moi. En entrant chez Maman, j'ai vu un Monsieur en noir, debout près d'elle. Je l'ai salué du mieux que j'ai pu, et suis restée sans pouvoir bouger de ma place. Tu juges combien je l'examinais! "Madame", a−t−il dit à ma mère, en me saluant, "voilà une charmante Demoiselle, et je sens mieux que jamais le prix de vos bontés." À ce propos si positif, il m'a pris un tremblement tel, que je ne pouvais me soutenir; j'ai

effet pittoresque dans Paris. Chacun de ces murs est tapissé d'espaliers et de vignes dont les fructifications grêles et poudreuses sont l'objet des craintes annuelles de madame Vauquer et de ses conversations avec les pensionnaires. Le long de chaque muraille, règne une étroite allée qui mène à un couvert de tilleuls, mot que madame Vauquer, quoique née de Conflans, prononce obstinément tieuille, malgré les observations grammaticales de ses hôtes. Entre les deux allées latérales est un carré d'artichauts

du Comte. ROSIMOND, fils de la Marquise. DORIMÈNE. DORANTE, ami de Rosimond. MARTON, suivante d'Hortense. FRONTIN, valet de Rosimond. La scène est à la campagne dans la maison du comte. - 4 -ACTE I SCÈNE PREMIÈRE. Hortense, Marton. MARTON. Eh bien, Madame, quand sortirez-vous de la rêverie où vous êtes ? Vous m'avez appelé, me voilà, et vous ne me dites mot. HORTENSE. J'ai l'esprit inquiet. MARTON. De quoi s'agit-il donc ? HORTENSE. N'ai-je pas de quoi rêver ? On va me marier, Marton. MARTON. Eh vraiment

sais pas où est mon père. Voilà madame Louis. SPATER. - Madame Louis, non, je ne me trompe pas ? BLOT. - Später s'en charge. RIPOIX. - Les voilà à peine qui arrivent. LOUIS. - Monsieur Später ? Monsieur Später, oui. Je suis madame Louis, oui, nous nous sommes vus, l'an dernier, c'est cela, et en octobre encore, lors de votre présentation de projet. Cela m'avait beaucoup plu. 3 À peu de chose près, l'an dernier, oui, je me rappelle de vous, évidemment. Madame Louis, c'est ça. Je fais partie

et Marie Mancini, la nièce du cardinal Mazarin. Il aurait aussi cherché à concurrencer Corneille, en cours d’écriture sur le même thème. Le caractère tragique de cette pièce naît de l’affrontement de deux impératifs inconciliables, l’amour et le pouvoir. Titus ne peut compromettre sa mission à la tête de Rome au nom de l’amour qui l’attire à Bérénice. L’extrait étudié, qui fait partie de l’Acte IV, reflète bien ce déchirement tragique qui tiraille le protagoniste Titus dans son affrontement avec