Héroine Tragique Caractéristiques

Molière Édition de Jean-Luc Vincent LIVRET PÉDAGOGIQUE Arrêt sur lecture 1 p. 23-27 Pour comprendre l’essentiel p. 23-24 Un acte d’exposition Le personnage de Sganarelle ouvre la pièce. Relevez dans la première scène de l’acte I les caractéristiques de ce personnage. Dans la première scène, Sganarelle apparaît d’emblée comme un personnage qui aime parler et se donner de l’importance. Face à Gusman, il prend plaisir à développer un discours fleuve, qui le met en valeur auprès de l’écuyer

Madame Marie-Madeleine de Lafayette en 1678 et publié chez l'éditeur Claude Barbin. Elle nous y dépeint les intrigues sous-jacentes de la cour du Roi Henri II, en 1558, en une toile d'un clair-obscur constant, menant son histoire par le biais d'une héroïne torturée par ses passions, auxquelles elle ne cédera jamais, même lorsque l'occasion lui en sera enfin présentée. Publié anonymement pour préserver « le brouillard » mystérieux duquel l'auteur aimait se parer, et d'autant plus qu'il n'était pas bien

mondaine. La vie à la Cour et les salons. L’œuvre : Singularité du roman de Mme de La Fayette dans la production romanesque du XVIIe siècle. L’intrigue de La Princesse de Clèves : deux époques en miroir. Le titre : un personnage féminin exemplaire, tragique et emblématique. Une chronique du temps d’Henri II, un roman « psychologique », le roman d’une moraliste : passion et raison, les ravages de la jalousie, être et paraître, vérité et dissimilation. Situation du passage : Quatrième partie. Mme de

armées de Napoléon. Elle est diff de toute autre cité : Pétrarque la qualifiait d’autre monde. Spécificité qui tient à la situation géographique lagunaire de la ville. Relation particulière avec la mer. On ne trouve pas des fortifications caractéristiques d’autres centres urbains de la Renaissance. Venise : frontières aquatiques. La mer est l’expression de la protection de Dieu. Venise aurait été construite par une volonté divine + qu’humaine. Le peintre Bonifazio de’Pitati va bien résumer cette

révolté, avide de liberté, o Trois éléments obligatoires: la mort, la femme, le héros. de Molina crée le personnage En Espagne En 1630 : au cours d’un siècle extrêmement religieux Décrit un être déchu incapable de résister à ses passions : extrêmement tragique Puis il y a de nombreuses réécritures, environ 3000 - DJ d’Hoffmann - Pouchkine, Dumas, Baudelaire dans un poème… Il y a toujours les invariants qui forment le scénario Donjuanesque permanent - un homme : DJ - un groupe de femmes - Le mort Au centre

pour lui que le me suis perdue » 3) un personnage tragique a) symbole de la tragédienne b) un choix cornélien c) sadisme de V. et pitié du lecteur d) sa mort Cécile de Volanges 1) un personnage comique a) produit stéréotypé d’une éducation cloitrée b) le regard des deux roués c) personnage traditionnel de comédie amoureuse 2) un personnage tragique a) manipulation des deux libertins b) ironie tragique c) la mort 3) un personnage indispensable a) à

Chapitre 24, la médiocrité des personnages après la mort de Camille, 4 années où ils se rendaient, le jeudi soir, que craintivement dans la maison en deuil. Chapitre 31, le poison, 15 jours. Le temps est ici utilisé pour montrer le côté tragique de l’histoire, mais aussi vers la fin de l’histoire le temps s’accèlere pour créer une athmosphère d’urgence et de pièges qui va se ressérer sur les deux amants. On peut dire que le temps est un élément très important de ce roman car il permet de

« visqueux, vaste, marre, noirâtre » (séparés typographiquement)· métaphore filée ciel et espace l8-9-10, s'oppose métaphore « marre » l10 et marée l11 : ironie du poète, se moque langage poétique, oscille entre attirance et dégoût· toutes les caractéristiques d’un monde : rondeur (« les cieux d’en dessus s’affaissent sur les cieux d’en dessous »), présence « cieux », eau (« marre ») et terre (« sachet visqueux et noirâtre »)· moquerie du poète : « proprement » l9 (jeu de mot : huître=aspect plutôt

« tout un corps d'une chair épaisse et ferme ». Laurent a beau avoir refusé le destin successoral paternel, il n'en est pas moins « fils de paysan », paysan lui-même. C'est un immigré de la province, un « rural », avec son morphotype et ses caractéristiques conventionnelles. Zola reprend un certain nombre de clichés qu'on trouvera développés en 1887 dans La Terre, son quinzième roman des Rougon-Macquart : la matérialité, l'épaisseur sanguine, l'âpreté au gain qui suscite la ruse, l'intelligence

ont la complaisance de venir se dérouler, où arrivent, on ne sait comment, les conspirateurs pour déclamer contre le tyran, le tyran pour déclamer contre les conspirateurs, chacun à leur tour ? (...) Il résulte de là que tout ce qui est trop caractéristique, trop intime, trop local pour se passer dans l'antichambre, c'est-à-dire tout le drame, se passe dans la coulisse. Nous ne voyons en quelque sorte sur le théâtre que les coudes de l'action ; ses mains sont ailleurs. Au lieu de scènes, nous avons