Héros Un Individu Parfait

 Il est alors un récit qui raconte l'épopée de héros  imaginaires pour ensuite se transformer en une oeuvre fictive écrite en prose au XVIe siècle.  Le roman évoluera ensuite au cours des siècles. Au XIXe siècle, les mouvements : réaliste,  romantisque et naturaliste ont une grande place. La société en est le sujet principal. Il  continuera d’évoluer jusqu’à nos jours en passant par différentes phases.  Selon Stendhal : ”Excepté pour la passion du héros, un roman doit être un miroir”  Faudrait­il alors

personnage de roman est-il toujours un individu qui affronte la réalité sociale pour réussir ? Le Héros à toujours été l‘une des figures les plus fortes de la littérature. D’abord dans la Grèce Antique, par exemple, avec des personnages accomplissant des épopées héroïques comme le furent ceux de Homère dans L’Iliade et L’Odyssée; le récit d’agissements et de hauts-faits d’un tel personnage fut longtemps le thème principal de nombreuses oeuvres. L’absence de Héros apparaissant souvent inconcevable

femme auprès du héros n’est souvent pas connu. Dans des sociétés anciennes où la guerre était un état fréquent, voire normal, le héros guerrier incarnait l’excellence. Du héros grec, qui au sens strict est un être à demi divin, lumineux, surclassant les êtres du commun, au protagoniste du western ou à l’idole du sport, subsiste une parenté, même si celle-ci s’avère parfois lointaine. L’étymologie du mot "héros" est obscure mais évoque celui qui protège et fait la guerre. Le mot grec hêrôs ("chef de guerre"

des hommes de l’âge d’or. Comme souvent, la représentation des origines, idéale et magnifiée, se trouvait ainsi opposée à la tristesse des temps présents, au risque de nous contraindre à évaluer le monde dans lequel nous vivons à l’aune d’un modèle parfait ( stricto sensu, incomparable ( et de dévaloriser ainsi le réel au profit d’un arrière-monde chimérique. Il est vrai cependant que le contexte socio-économique de la Béotie, où vivait l’auteur, n’incitait guère à l’optimisme, en cette époque troublée

(dualisme, rationalisme, concept spirituel, idéalisme) pour s’en donner des nouvelles qui valorisent le corps, les instincts, les désirs, les passions et surtout la vie ici et maintenant. Pour être un nihiliste actif, il faut faire « mourir Dieu (parfait) » et l’être humain est imparfait, fautif: Dieu est à l’origine de morales d’esclaves qui nient le monde sensible (vie terrestre) et promettent le bonheur dans l’au-delà. B. La philosophie et la religion En dévalorisant le corps, ont produit le Dernier

concerne les personnages, dans les romans réalistes chaque individus possèdent des caractéristiques différentes, mais toutes humaines et vraisemblables ; bien que leur statut social soit très varié. L’auteur ne cherche pas à créer un héros. Dans le récit de Bel-Ami, Guy de Maupassant met en scène un dénommé George Duroy, homme ambitieux et séducteur qui veut grimper dans l’échelle sociale, ce personnage possède toutes les particularités du héros réaliste, un comportement humain vis-à-vis de la société

« La monstruosité » La monstruosité a plusieurs formes que ce soit l’abomination, la difformité, l’atrocité, le crime, ou encore l’inhumanité, elle est souvent perçue comme péjorative, et rarement comme autre chose. Un monstre est un individu ou une créature dont l'apparence, voire le comportement, surprend par son écart avec les  normes  d'une  société . Le monstre est, au sens large, perçu comme inspirant la peur, le dégoût, l'empathie

propres expériences en tant que lecteur. Dans un premier temps, je tiens à écrire une citation d’Albert Camus, dans « Lhomme Révolté »: « les héros ont notre langage, nos faiblesses, nos forces. Leur univers n’est ni plus beau, ni plus édifiant que le nôtre. Mais eux, du moins, courent jusqu’au bout de leur destin et il n’est jamais de si bouleversants héros que ceux qui vont jusqu’à l’extrémité de leur passion. » - Le premier roman dont je vais parler se nomme « les Ames Vagabondes ». C’est un

5), « Ne pouvait être que le Duc de Nemours » (L.6). L’auteur prend le motif de la mise en valeur chevaleresque de l’homme devant la femme en faisant passer le duc « par-dessus quelques sièges » (L.6). L’entrée en scène du Duc, rompt l’ordonnance parfaite du bal. Le désordre extérieur est à l’image du désordre intérieur de la princesse. B) Les points de vue Plusieurs points de vue différents se détachent de cette scène de bal. L’extrait commence par un point de vue externe. «  L’on admira sa beauté

l’histoire de héros miséreux, vivant en marge de la société et à ses dépens ; gens des basses classes, ordinairement, ou déclassés, filous de toute espèce, voyous des rues, bandits de grand chemin, bohémiens, voleurs, capitaines de compagnie, courtisanes, étudiants. Au cours d’aventures souvent extravagantes supposées plus pittoresques et surtout plus variées que celles des honnêtes gens, qui sont autant de prétextes à présenter des tableaux de la vie vulgaire et des scènes de mœurs, le héros entre en