Iconographie Luther

en partie à l'origine de la Réforme protestante du XVIe siècle introduite par Martin Luther en Allemagne et Jean Calvin à Genève. En 1524, Érasme se lance dans une controverse avec Luther en publiant Essai sur le libre-arbitre. Le réformateur allemand y répond par l' Essai sur le serf-arbitre. Les débats portent sur la liberté de l'homme et la manière dont celui-ci l'utilise face à la Grâce divine. Martin Luther, né le 10 novembre 1483 à Eisleben (Saint-empire romain germanique)1 et mort le 18 février 1546

notamment « Le grand schisme », par François Lebrun Martin Luther, moine augustin, 1483-1546, Eisleben, Thuringe, Quatre-Vingt-Quinze thèses, Wittenberg, 1517. Les trois piliers de la doctrine de Luther : - Justification (Salut) par la foi (seule), - Sacerdoce universel (chrétiens, égaux par le baptême sont tous prêtres) - Autorité de la Bible seule comme dépôt de la Révélation 1529 : Protestation de princes allemands contre l’Empereur Luther se réfugie au château de la Wartburg : il traduit le

très critique vis-à-vis de leur société, surtout de l’Eglise catholique, ce qui leur vaudra de multiples représailles. Le courant de pensée naît dans un contexte de guerres de religions, du fait que Luther et Calvin engage un combat contre le dogme de l’Eglise catholique : la Réforme Protestante. Luther voulait que les principes chrétiens découlent entièrement et exclusivement des textes anciens, et non des mauvaises interprétations de L’Eglise. Selon le théologien allemand, croire est nécessaire

religion. Un moine allemand, Martin Luther (1483-1546), déclenche un mouvement, la réforme, qui plonge ses racines dans cette crise spirituelle. Le 31 octobre 1517, il publie les 95 thèses dans lesquelles il dénonce entre autre la vente des indulgences (permettant de réduire son temps dans le purgatoire), et critique les pratiques de l’Eglise. Ces thèses ont d’énormes répercussions et Luther entre en conflit avec l’Eglise : il est excommunié en 1521. Le succès de Luther s’explique par l’anticléricalisme

d’après Zweig était de ne pas avoir pris partis pour une des causes se combattants en son temps, les luthériens et autres révolutionnaires voulant réformer l’Eglise ou l’Eglise elle-même. Il fut lui-même victime de son combat contre le fanatisme, Luther détruisant l’union raisonnable et harmonique que Erasme essayais d’instaurer. 3. Comment expliquer son échec ? Erasme refuse de prendre partis, se voyant comme homme libre refusant d’adhérer a des croyances étrangère au sienne. Il se met « au

? Des croyants pensent que l’on s’est éloigné des fondements de la religion et qu’il faut y revenir. Ceux qui vont affronter les autorités de l’Église démarrent la Réforme religieuse, dont la paternité est attribuée à un prêtre allemand, Martin Luther, en 1517. Selon ses disciples et lui, il faut revenir aux premiers écrits des chrétiens, ceux de l’Antiquité, moins contraignants face aux autorités terrestres. D’autres mouvements naissent, celui du prêtre français Jean Calvin par exemple ou celui

siècle, pousse certains catholiques à se séparer de l'Église romaine. Mais c'est surtout une rupture religieuse qui se met en place. Une volonté de créer une nouvelle religion allant à l'encontre de la chrétienté. À la tête de cette volonté, Martin Luther, moine allemand, qui dénonce les abus du clergé et pense que seule la foi peut donner le paradis aux hommes. Alors excommunié par le pape en 1520 puis par Charles Quint en 1521, il traduit la Bible en allemand pour que chacun puisse la lire, il simplifie

contestent l’enrichissement du clergé, mais aussi l’ignorance des clercs. gravure p.195. En 1517, un moine Allemand Martin Luther publie une série de texte qui critique ouvertement le pape et les abus de l’Eglise notamment la pratique des indulgences. Indulgences : pardon accordé contre de l’argent a des pécheurs, ce qui diminue ainsi le temps passé au purgatoire. Luther est excommunié et crée son propre mouvement religieux : protestantisme. Cette religion s’étend a l’Europe du Nord. En France

pas ses sentiments hostiles à la réforme protestante que l'ancien moine allemand Martin Luther commence à prêcher et il n'hésite pas à l'invectiver (= l'attaquer). En juillet 1521, il envoie même au pape son Assertio septem sacramentorum, rédigée avec l'aide de Thomas More. Cela lui vaut le titre de « Défenseur de la foi » (Defensor Fidei) décerné par Léon X, le soutien d'Érasme et des injures de Martin Luther. Dès lors, le roi d'Angleterre prend le titre d'illustrissimus, c'est-à-dire de « très illustre »

Purgatoire n'est mentionné nulle part dans la Bible. Selon eux l'Église profite de la peur de l'Enfer. Martin Luther vint à Rome sous le pontificat de Jules II. Il fut plus tard spécialement choqué par le relâchement moral du clergé romain et par la pratique de la vente des indulgences, utilisées sans retenue pour financer la construction de la basilique Saint-Pierre. En traduisant la bible, Luther devient le "principal artisan de la Réforme, mais aussi de la langue allemande" écrite. Selon lui, l'indulgence