Iconographie

danse macabre. Sa définition la plus simple est une danse sous forme de farandole d’un cadavre décharné ou d’un squelette couplé avec un vivant. Chaque vivant représente les différents états de la société, selon une hiérarchie bien établie. Cette iconographie exprimerait l’égalité de tous face à la mort. Selon certains historiens à l’origine, la Danse avait plutôt l’aspect d’un long cortège qui se transformera, par la suite, en une sorte de ronde. En parlant de « Danse Macabre », il faut penser que

et autonomie dans le travail /10 Qualité des réponses /10 Qualité des textes personnels (résumés, descriptions, analyses et jugements) /10 Réutilisation du vocabulaire technique dans l’analyse de la planche /10 Mise en page et iconographie (illustrations) /10 Bibliographie /5 Socle commun : Compétence 1 (français) : écrire (rédiger des textes brefs, cohérents et ponctués). Manifester sa compréhension des textes par des moyens divers. Dégager l’essentiel d’un

entièrement couvert de peintures qui ont été réalisées dans la seconde moitié du XVIIIe siècle et la première du XIXe siècle par des peintres itinérants dont les noms nous sont connus. Ces peintures se rattachent aux traditions post-byzantines mais leur iconographie reflète également les idées véhiculées par la Réforme et la Contre-Réforme. Les canons de la peinture byzantine sont réinterprétés dans un style graphique et décoratif pour créer une peinture au caractère naïf et frais. Au début du XIXe siècle

représentés les anges musicien portant les symboles de la Passion (la colonne et le fouet de la flagellation, la croix, la couronne d'épines, la lance et l'éponge). Au gâble du panneau central, la figure du Christ montrant ses plaies, suggérant une Iconographie du Jugement Dernier. Stylistiquement ce polyptyque est plus proche du la Polyptyque de Pise que de celui des Dominicains d’Orvieto, en particulier dans des détails tels que les figures plutôt maigres, les mains longues et gracieuses, les volumes

accueille donc volontiers son redoublement iconographique à des fins didactiques. Au XVIIIe siècle, Oudry propose de nouvelles illustrations6, plus naturalistes. Grandville en 1838, puis Gustave Doré en 1867 proposent successivement une nouvelle iconographie. Au XXe siècle, Benjamin Rabier suivi deChagall proposent, à leur tour, leur vision des Fables. 

une victime, ce qui se rapproche plus du contenu du roman. Il commet des crimes malgré lui. Il y a aussi l'arrivée du deuxième monstre, une version féminine de la créature et donne une dimension érotique de la créature. Dans ce film, il y a une iconographie plus importante, avec le motif des tombes, des cryptes, des morts-vivants. En 1939, il y aura un troisième film, Le fils de Frankenstein, toujours avec Boris Karloff dans le rôle de la créature. Il sera très différent, très stylisé, mais qui entre

des fois aussi par ses semblables. En effet, les personnes vaniteuses sont très peu acceptées et très mal perçues. Alors souvent les symboles jaunes sont apparus dans l’histoire comme des marques de rejet. Judas est rejeté chez les chrétiens, son iconographie est souvent jaune. L’étoile portée par les juifs était jaune, c’était un signe de rejet social et d’infériorité, comme une punition à leur condition de juifs. De même en France on peignait les portes des traitres d’une croix jaune. Ils étaient

qui discriminent les homosexuels. Homophobie sociale et culturelle : normes sociales et culturelles qui favorisent l’hétérosexualité au détriment de l’homosexualité. Privilèges inconscients. Valeurs sociales, religieuses, culturelles, livres, iconographie qui excluent les homosexuels. Homophobie intériorisée des homosexuel(les) : les homosexuel(les) eux-mêmes intériorisent les préjugés, les normes sociales homophobes et en viennent à se dévaloriser, voire à se détester eux-mêmes, et à dévaloriser

Les sujets : - Art religieux basé sur l'Ancien et le Nouveau Testament (thèmes reconnaissables sans raffinement ni érudition). Les tableaux religieux sont peints à la manière de scènes du genre. - Les scènes de genre très fréquent (une iconographie caravagesque qui reflète sa vie désordonnée). Sont représentés : des scènes de caverne, des parties de carte, des beuveries, des concerts, des rencontres avec des bohémiennes, la vie populaire et pittoresque. - Les scènes mythologiques

Moyen-Âge : de l’antiquité tardive à l’an 1000. Taschen. Köln. 3-8228-8105-8 Beau livre détaillant de manière très complète les rares témoignages existants du Haut Moyen-Âge. Pas toujours très structuré et passe rapidement sur l’héritage byzantin. Iconographie superbe et renseignement tirés des dernières fouilles archéologiques. © J.Y. Antoine