Identité Meurtrière

rappeler l'extrême brutalité de la première guerre mondiale et la sauvagerie que les soldats ont subi durant le conflit . Né le 2 décembre 1891 à Untermhaus l'artiste peintre allemand Otto Dix s'est engagé volontairement durant cette guerre meurtrière. Il combattra en france et en Russie. Il n'hésitera jamais à aller en première ligne. Il participe à la guerre des tranchées en Artois et en Champagne de novembre 1915 à décembre 1916 ainsi qu'a deux grandes batailles sur les bords de la Somme

le taux de mortalité dû à l’immigration est assez fort. Ali Bensaad, le grain de sable qui nous vient du Sahara, Rebonds, 2008, p27 Benjamin Stora, les « harragas », ceux qui brûlent leur identité, Rebonds, 2008, p27 Clarika, bien mérité, album moi en mieux, 2009 François Mussea, Ceuta frontière meurtrière entre l’Espagne et le Maroc, Madrid, Monde libération, 2005, p8 http://www.lesinorocks.com/actualite/actu-article/t/36743/date/2009-03-10/article/welcome-la-polemique-senvenime/ Laurent Gaudé

piège. L'hétérogénéité de sa population aux identités si diverses et plurielles ne résiste pas longtemps aux tensions et pressions internes et externes. Le territoire libanais devient le terrain de conflit entre Israéliens, Palestiniens, Syriens... mais au-delà les grandes puissances occidentales d'alors, les deux "grands" (américains et soviétiques) contribuent à alimenter le conflit. Le Liban se retrouve pris dans une guerre civile particulièrement meurtrière. (voir la chronologie de la guerre civile

mal absolu perpétré » (ligne 52). Ainsi, elle nous explique qu’elle et ses frères ont été emmenés dans ces « marches de la mort » (ligne 7). Le camp d’Auschwitz apparait alors comme une sorte d’antichambre de la mort apparu à cause des « folies meurtrières » (ligne 51) de certains. De plus, Simone Veil évoque la notion d’esclavagisme. En effet, à la ligne 29, elle nous apprend que certains, dont les rares survivants, sont entrés dans le camp en tant que prisonniers asservis. Or, c’est cette servitude

processus l’auteur montre que la guerre déshumanise les soldats et leur vole leurs identités, leurs vies et même leurs sentiments. III) Interprétation de l’œuvre : Ce retable appartient à la Nouvelle Objectivité car il a pour but de montrer la réalité froide et cru de la guerre, Otto Dix a été témoin de ces évènements qui l’ont traumatisé. Il souhaite donc dénoncer la guerre dévastatrice, atroce et meurtrière qu’il a vécue. IV) Ouverture : Pour cette œuvre, Otto Dix s’est inspiré de

me perturbe là-dedans, le fait que l'on s'attache un peu trop à notre histoire, ou plutôt à l'histoire de notre pays. En effet, cela me perturbe car comme Amin Maalouf, célèbre écrivain franco-libanais, l'a dit dans son œuvre intitulé "Les identités meurtrières": « Ce serait même désolant pour un peuple, quel qu'il soit, que de vénérer son histoire plus que son avenir ». Je me suis donc posé la question suivante : «devons nous fatalement laisser de côté, voir oublier notre passé, notre histoire, pour

c'est que les groupes de personnages qui sont décrit dans l'oeuvre s'affrontent directement dans leurs identités sociales. Le premier exemple que je pourrais vous donner est une comparaison entre deux opposés extrêmes, les Wargs et les Humains. Les deux races sont complètement différentes. Leur opposition représente le combat entre l'homme et la bête l'un étant une race d'animaux sauvages meurtrière et sanguinaire. Les autres, les humains, sont représentation de noblesse et d'honneur. Il n'y a, pour

tous conscients en ce moment d’être dans une salle de classe, dans laquelle se trouvent des tables et des élèves, etc.3) Conscience de soi : faculté par laquelle l’esprit se rapporte à lui-même. Nous savons qui nous sommes. Nous connaissons notre identité et nous éprouvons comme étant la même personne au cours du temps.4) Conscience morale : capacité de l’être humain d’agir en prenant en considération le bien et le mal. L’apport majeur de Freud : la théorie de l'inconscient : Freud s’oppose aux philosophies

L’identité : un caméléon… ou les avatars de l’image de soi Abdelaziz El Moufhim Université de Rouen Identité. Une chose étrange que ce mot. Mot qui, en ce début du 21è siècle, véhicule toujours tant de passions, tant de bouleversements. Et chacun y va de ses revendications. Le sacré. Encore et toujours le sacré. Est-ce une fatalité que le sacré soit parfois lié à des formes de violence ? N’est ce pas que, bien plus qu’au sacré lui-même, c’est notre rapport à la culture qui serait ici en cause. Autrement

définitivement se soustraire au jugement des autres, il entreprend de renoncer au monde. Aussi, si la solitude aide à la connaissance de soi, c’est car l’homme peut se défaire d’une identité totalement sociétale et d’une vision matérialiste, où un être se caractérise par ses possessions, et se rapprocher d’une identité plus spirituelle, où il apprécie la valeur du paysage qui l’entoure. D’autre part, être seul et le vouloir signifie avoir du temps. Sylvain Tesson dans son livre Dans les forêts de