Idiome

frontières linguistiques, car la compréhension est aisée pour tout le monde. L'avantage de ce type de graphie est compensé par un inconvénient : c'est le manque d'économie. Le nombre de signes détermine le nombre de mots. Bien sûr, n'importe quel idiome possède un lexique nombreux. Mais si l'on prend l'exemple du chinois, il possède plusieurs milliers de signes qui correspondent chacun à un mot différent. 2. L'antiquité Dans l'antiquité, on retrouve cela dans les hiéroglyphes [chacun des signes

ville, un hospice, une maison de maître ou d’artisan. Toute ville se doit de posséder ces divers types de bâtiments. Chacune possède pour le faire et le mettre en scène (et en vision) un style particulier, exactement comme chacune possède en propre un idiome ou un dialecte. Dans ce cadre-là, tous connaissant les règles syntaxiques, sémantiques et stylistiques, chacun est aussi libre de bâtir à sa guise que le locuteur de la langue est libre de proférer les paroles qu’il désire dès lors qu’il respecte

société parisienne. Il s’agit « d’étudier les issues du labyrinthe parisien, savoir les usages, apprendre la langue », [l. 7]. Paris est donc un pays presque étranger pour le provincial. Lui est un provincial qui a ses propres mœurs et son propre idiome. b. le social: Pour réussir Rastignac doit tisser des relations sociales « Si d'abord il voulut se jeter à corps perdu dans le travail, séduit bientôt par la nécessité de se créer des relations » l. 37-38] Les relations des Rastignac sont très

croissante du rapport salarial ; qu’elle est de plus en plus déconnectée des fluctuations cycliques de l’économie nationale ; et qu’elle tend à se concentrer sur des territoires diffamés et isolés où l’érosion d’un sens de « lieu commun » et l’absence d’un idiome collectif de revendication exacerbent l’expérience et les effets de la déprolétarisation et du dénuement ».(p.10) 3. Les idées clés : a) Rappel historique Afin de pouvoir comprendre la nouvelle pauvreté, l’auteur revient sur le contexte des

lequel s’expriment les personnages, il pouvait légitiment être « canayen », et il l’est avec abondance. M. Grignon en saisit bien les intonations pittoresques. Seulement la mesure n’est pas son fort, et parfois, sans nécessité, il transcrit de cet idiome des types vulgaires et avilis. « Commenceraient-ils à me lâcher, les v’limeux? pensa l’avare. » – « Elle engraisse ma terre, la bonguienne, elle engraisse. » – « S’il fallait qu’il me remette mon argent, ça parlerait ben au maudit. » Je serais désolé

(6 %), dans le nord on parle le tamasheq, la langue des Touaregs berbères, ainsi que l’arabe hasanya (ou maure); ces deux langues sont parlées par 5 % de la population malienne. Toutes les autres langues sont parlées dans le Sud, où les nombreux idiomes locaux sont plus ou moins enchevêtrés. Le peul ou fulfulde est parlé par 17 % de la population; cette langue s’apparente aux langues des Wolofs et des Toucouleurs. Mentionnons aussi le dogon, le sénoufo et le samo, parlés par 12 % de la population

..........................................16 Introduction : Un peuple oublié au cœur des intérêts géostratégiques du Proche-Orient Les Kurdes forment un peuple bien identifié, en tant que groupe ethnique, disposant de ses propres idiomes, d'une culture ancestrale, et d'un espace géographique relativement bien déterminé ; ils réunissent ainsi tous les caractères permettant de s'affirmer en tant que nation. Pourtant, ils sont à l'heure actuelle, sur l'échiquier géopolitique, les pions

manifeste, généralement simplifiée et modélisée (comme je l’ai déjà écrit) sous l’angle réducteur de la situation linguistique [3] Autant par la linguistique fonctionnelle que par une... [3] . C’est le fonctionnement de l’ensemble et l’interaction des idiomes et pratiques en présence (en réalités et en statuts symboliques) qui doivent prendre le pas sur des descriptions partielles accolées et sur des théorisations très, trop partielles comme la diglossie bien évidemment. Le paysage linguistique appelle

Nous avons vu deux hommes dans Tertullien; nous rencontrons aussi deux écrivains. Tant qu'il est fidèle à ses premières croyances, son génie brille de tout son éclat. Profond et original, il sort des règles ordinaires du langage pour se créer un idiome nouveau. Il éblouit par la beauté de ses images; il tonne, il renverse par la solidité de ses arguments. Aussi long-temps qu'il est dans la vérité, il ne connaît point d'égal; mais du moment que l'esprit de Dieu s'est retiré de lui, comme autrefois

s’illuminent de chœurs étincelants ; les purs lyriques abondent, et l’inspiration hellénique devient l’éducatrice du monde intellectuel latin. Puis, les races vivent, luttent, vieillissent ; les langues se modifient, se corrompent, se désagrègent ; d’autres idiomes naissent d’elles, informes encore, et finissent par se constituer lentement. Après les noires années du moyen âge, années d’abominable barbarie, qui avaient amené l’anéantissement presque total des richesses intellectuelles héritées de l’antiquité