Idéal Baudelairien

exprime des sentiments, mais des sentiments esthétiques Sujet : Le poème exprime l'admiration esthétique et spirituelle du poète pour les peintres évoqués Situation : Le poème appartient à la première partie des Fleurs du Mal, intitulée Spleen et Idéal, C'est le 6° poème, il se trouve donc en tête du recueil et il contribue à situer dans quelle perspective esthétique Baudelaire entend se placer. Situation d'énonciation : 10 strophes impersonnelles, puis une strophe où intervient la première personne

le suggèrent les adverbes d’intensité, l’effet expressif est créé par la diérèse, « mystérieuse ». L’amour se rattache à un idéal de vie dont le programme est inscrit dans le refrain avec le procédé de l’enjambement qui met en avant chacun des termes. Parmi ces cinq termes, il y en a plusieurs qui sont dans les autres poèmes du recueil, le lexique est typiquement baudelairien. Les strophes font écho à chacun des termes. Chaque chose semble à sa place, strophe 2, nous notons l’ordre du poème qui suit

plus précise. – "rivages"... "arbres" ... tamariniers". 3° § Mais surtout le poète passe du monde physique et de la vie des sens à la vie de l' "âme". La fusion des perceptions aboutit à l'extase de son "âme". Le parfum a ouvert la voie d'un univers idéal qui parle à l'âme plus qu'à la sensibilité. II° PARTIE La description de sa rêverie conduit Baudelaire à la définition du bonheur. 1° § L'impression de sérénité est associée à celle de refuge et de chaude protection. indices d'énonciation : "ton"

mal: Spleen et idéal Spleen: anglais « rate » angoisse profonde, dégout de la vie, de toutes choses, mal être intérieur sans cause définie, mélancolie : melos: noir et kholias:bille tristesse fuite du temps... un cri qui pèse, lourd qui dure... Idéal: conception par l'esprit de la perfection de ce qui est insurpassable. Exotisme, exil, trop beau pour exister, inspiration, pureté, idéalisé. Élévation: nature est un idéal, de puissance

oppositions (l’oxymore « feu clair » et l’antithèse « le langage des (…) choses muettes ») pour nous ramener à notre condition d’hommes, esclaves de nos vices et de notre société. Ce poème constitue donc une bonne évocation du fameux « spleen baudelairien », qui repose sur la conscience que le monde est injuste, que la société telle qu’elle est n’est qu’un échec, et sur la conviction que rien, absolument rien, ne pourra y changer quelque chose, toute tentative pour ce faire portant la germe de son

ELEVATION Charles Baudelaire Introduction C'est le troisième poème de la section "Spleen et Idéal" après l'Albatros, qui relate la chute du poète et le malaise à vivre chez les hommes, voilà le poème inverse. Le titre est polysémique: l'élévation est le mouvement d'ascension, la supériorité. Dans la liturgie, c’est le moment de la messe où le prêtre lève l'hostie. Ce poème, composé de cinq quatrains d'alexandrins aux rimes embrassées, met en scène le mouvement d'élévation du poète qui vit dans

Analyse du poème « La musique » Résumé du poème : L’être est envahi par une force qui le dépasse, qui le contrôle. Lecture du poème….. Place du poème dans le recueil : Idéal et Spleen Analyse du poème  Champs lexicaux : 1) Sentiment indicible : donc fait un jeu de rapprochement, comparaison ce qu’il éprouve – ce qu’éprouve un bateau pris par la mer : v1 : « comme », vers 6, vers 13, vers 9-10 2) Le corps : (vers 5,9 et 13) mouvement auquel il participe : vers 4, vers

Poèmes divers de BAUDELAIRE, situé en appendice des FLEURS DU MAL. Caractériser : "Je n'ai pas pour maîtresse une lionne illustre", est un poème de douze strophes de quatre vers, avec des rimes plates : AA BB. Il est caractéristique des thèmes baudelairiens tels la pauvreté et la dualité de la femme. Tout laisse à penser que la figure féminine, évoquée par le poème, est celle d'une femme réelle. Il s'agit d'une jeune prostituée juive surnommée « Sarah la louchette » avec laquelle Baudelaire aura

Français – 1ère – Lycée Fragonard Objet d'étude n°1 : « La poésie du XIXe siècle au XXIe siècle » Les Fleurs du mal, Baudelaire / Parcours : « Alchimie poétique : la boue et l'or » Lecture linéaire n°3 : « Spleen », LXXVIII, « Spleen et idéal ». Le Cri, 1893, Edward Munch (1863-1944), Musée national de l'art, de l'architecture et du design de Norvège. Situation/caractérisation du passage - Dernière pièce d'un cycle de quatre poèmes intitulés « Spleen », cette célèbre composition

symbole de l’idéal pour Baudelaire. 2. La passante, un symbole de l’idéal -Elle allie des caractéristiques classiques à la classe du modernisme. Robe à crinoline. Beauté morale qui se joint à la grâce du corps. Sentiment d’avoir rencontré un idéal incarné mais insaisissable « passant », « balançant », … . La femme particulière qui passe devient la Beauté. V.10 = un regard qui fait renaitre (mais pas galanterie car il est vraiment revivifié). 3. Un être ambigu -Charme dû au mystère entourant