Idéal Démocratique Et Inégalités

Gallimard 2002, page 18). La démocratie ne date pas d’aujourd’hui, elle se discute depuis l’Antiquité grecque pour être reprise dans les années 1791. Cette époque correspond à une transition démocratique par le monde. Cela nous porte à nous demander quand peut-on reconnaître une société, un pays démocratique ? Diane Ethier3, a analysé les indicateurs théoriques dégagés par les auteurs les plus significatifs de la décennie 1980, elle a recensé les principes et types de changements susceptibles de

provisoire et donc insatisfaisante de l’inégalité, plutôt que de l’égalité, en partant du constat évident de la différence entre individus et groupes : il y a inégalité, selon P. Giraud, lorsqu’une différence se transforme en avantage ou en inconvénient au sein de la vie sociale. Etre grand ou petit est une différence qui devient une inégalité lorsqu’il s agit de postuler à un emploi de joueur de basket ou de jockey. Le Gouvernement de la République, conformément à la loi constitutionnelle du 3 juin

à comprendre les causes économiques et politiques de l'ampleur des inégalités de richesse aussi bien entre les nations qu'à l'intérieur des nations elles-mêmes, dans le but de proposer des solutions pour réduire ces inégalités. Contrairement aux "anti-mondialistes", l'auteur affirme que ce n'est pas la mondialisation, mais une révolution des techniques de production qui est à l'origine de la "formidable explosion" des inégalités contemporaines. Il dresse une étude du développement des nations sur

de ce qu'allait devenir les sociétés modernes occidentales, et plus particulièrement la France qui aspirait à une société plus égalitaire depuis 1789. Tocqueville estimait que lorsque les conditions tendaient à s'égaliser alors un gouvernement démocratique se mettait en place, mais une démocratie peut être libérale ou despotique. Cette opposition Tocqueville la remarque entre une démocratie française qui peine à accorder bon nombre de liberté à ces citoyens, et une démocratie américaine libérale

comprendre et accepter les inégalités justes nécessaires pour que chacun par la compétition accède à une place spécifique dans la société. Jusqu’en 1960, on pouvait parler d  »élitisme républicain » puisque les valeurs républicaines qui rendaient possible la mobilité sociale par l’école ne s’attachaient qu’à seulement une partie de la société : les plus favorisés. En rendant l’école gratuite, on tentait de rendre concret l’égalité des chances en atténuant les inégalités économiques. Tandis que l’on

I) justice sociale et égalité. Objectif : on s'interrogera sur les fondements des politiques de lutte contre les inégalités en les reliant à la notion de justice sociale ; on appellera à ce propos que toute conception de la justice pourra-t-on la question : « l'égalité de quoi ? ». A) les différentes conceptions de l'égalité. On distinguera les égalités des droits, égalité des situations et égalités des chances. 1er niveau : une égalisation des droits, ou égalisation juridique : tous les

qu'il y a bien un sens à associer liberté et égalité. En effet, dans tout état démocratique, il n'y a de liberté civile que si tous les citoyens sont égaux en droits. Ainsi, la liberté de chacun repose sur le fait que tous ont les mêmes droits et les mêmes devoirs. Par exemple, Rousseau, dans son œuvre intitulée Du Contrat social, explique que les hommes concluent entre eux un «pacte social» censé effacer les inégalités naturelles (c'est à dire, par exemple, l'âge, la forme physique, la couleur de

nécessaire à une harmonie entre les rapports sociaux. Ce sont ces valeurs de liberté et de travail qui ont contribué au développement de l'individualisme dans notre société, augmentant le niveau de vie du plus grand nombre mais également les inégalités. Ce dysfonctionnement ou injustice sociale remet en question la cohésion sociale et l'efficacité du système. Dans les années 70, cette crise du travail a été marquée par une perte de repères idéologiques et un relâchement du lien social. Pour la

description). (Idée à vocation politique). Lorsqu'une pensée cherche à justifier ou à critiquer les institutions politiques, cette pensée est elle-même politique. L'idée politique peut constituer successivement une description de la cité réelle ou idéale, une justification des institutions ou l'instrument d'une critique du pouvoir et lorsqu'une idée politique paraît avoir été transposée dans la réalité institutionnelle, il semble qu'il existe toujours un décalage entre la théorie et la pratique.

l’organisation collective de la production ne suffit pas car ce qu’ils veulent en plus c’est une organisation démocratique de la société. Ils disent que grâce à la Terreur de 1793, les prolétaires n’accéderont plus au pouvoir, surtout pas sur la base de la démocratie. Paragraphe : Quel idéal commun aux socialistes et aux communistes ? Quels sont les points de divergences sur la façon d’atteindre cet idéal politique ? Nous savons que le communisme est une organisation politique, sociale, fondée sur