Idée Apologue

meilleur » une morale simple, et courte qui semble être toujours vrai. Jean de la Fontaine, a une écriture particulière, les héros de ses apologues sont pour la plupart des animaux. Dans la plupart des fables, celles d’Esope, comme celle de La Fontaine, il y a généralement des allégories (qui sont des figures de rhétoriques consistant à exprimer une idée en utilisant une histoire ou une représentation qui doit servir de support comparatif). L’utilisation des animaux montrent donc des comportements

fables de La Fontaine ou les contes de Saint Exupéry. Mais toutes ces œuvres chargées d’émotion, ont-elles traversées les siècles parce qu’elles enseignaient une morale ou parce que leurs personnages et leurs aventures étaient attractives ? Les apologues sont-ils un meilleur moyen d’enseigner que les essais, véritables puits de connaissances écrits sans aucune figure de style? La Fontaine écrit : « une morale nue apporte de l’ennuie/Le conte fait passer le précepte avec lui ». Selon lui l’enseignement

adhérer qqn à sa thèse par un raisonnement ou des preuves. - Persuader c'est faire adhérer qqn à sa thèse en ayant recours aux sentiments du locuteur. -Délibérer, c’est débattre de deux opinions différentes en vue de prendre une décision. - Apologue : du grec "apologos"= récit détaillé. un récit bref, sous forme allégorique. l'apologue contient un enseignement moral et a une portée didactique. Le récit a un double sens avec une argumentation indirecte ce qui implique un jeu avec le lecteur

cette descente du silence, le pigeon regretta son ambition, et la tranquillité de son colombier. «Il expire plein de douleur, condamnant sa vaine ambition et regrettant le doux repos de son colombier où il pouvait vivre en sûreté avec son ami.» Cet apologue de Fénelon nous conseille donc de réfléchir à deux fois, consulter autour de soi, avant de se lancer dans un projet précipité afin d'éviter les surprises, et les regrets. Dans la fable de La Fontaine, «Le Loup et le Chien», un loup, rachitique

La fable est-elle un bon moyen d'éducation ? Intro I – Oui, la fable peut être un bon moyen d'éducation (ne pas noter de titre!) [idée principale du I] La fable peut tout d'abord s'avérer un moyen efficace d'éducation, raison pour laquelle elle est souvent employée au cours de la scolarité des enfants. [idée principale de sous-partie 1] Il s'agit en effet d'une forme littéraire courte et agréable pour des enfants : la fable est un récit bref et plaisant, qui présente une histoire vivante et

morale (implicite ou explicite) est présentée, et vous la (re)formulerez. La réponse doit être structurée et rédigée et s’appuyer sur des références précises aux différents textes. Réponse rédigée par une élève… Ce corpus nous propose trois apologues, écrits à différentes époques. Que se soit « Le Prud’homme qui sauva son compère » écrit au XIIIème siècle, la fable « L’Huître et les Plaideurs » de Jean de la Fontaine écrit au XVIIème siècle ou Zadig de Voltaire écrit au XVIIIème, tous ont pour

l'ouvrage de réflexion. Le récit plaisant est une solution pour un lecteur qui n'aimerait pas les ouvrages de réflexion : grâce à ce type de récit l'auteur peut délivrer plus facilement un enseignement. Ces récits plaisants sont des apologues, qu'on retrouve sous forme de fables comme celles de La Fontaine par exemple. Il s'agit en fait de récits courts qui ont une visée argumentative. Il y a plusieurs critères qui peuvent contribuer à donner un côté plaisant au texte. Tout

fable est parfaite d'un bout à l'autre. La morale , ou plutôt la leçon de prudence qui en résulte , est excellente. C'est un de ces Apologues qui ont acquis la célébrité des proverbes, sans en avoir la popularité basse et ignoble. Rien ne forme autant le goût que la comparaison entre deux grands écrivains dont la manière est différente. Transcrivons ici cet Apologue mis en vers par Boileau , et qui termine sa seconde épitre. " Un jour, dit un auteur, n'importe en quel chapitre, Deux voyageurs

: « La Fable, pour la Fontaine, n’a été le plus souvent qu’un prétexte au récit, au conte, à la rêverie ; la moralité s’y ajuste à la fin comme elle peut. » (Lundis, VII) À quoi tient davantage le « pouvoir des fables », et plus généralement des apologues : au récit ou à la morale ? Quelle partie de l’apologue vous semble la plus importante ? Vous appuierez votre réponse sur des exemples précis, et notamment sur les documents ci-dessous. • Invention Vous composerez la préface pour une nouvelle

ésopique « Le roseau et l’olivier », même si La Fontaine choisit, à la différence d’Esope, de donner la parole aux deux personnages. Les Fables de Jean Anouilh, parues en 1962, sont donc un hypertexte des deux hypotextes précédemment cités : les apologues d’Esope et les Fables de La Fontaine. Le travail sur l’intertextualité est au centre de l’œuvre de Jean Anouilh. Jean Anouilh reprend l’histoire du Chêne et du Roseau telle que développée trois siècles auparavant par La Fontaine, mais la reprend