Ieng Sary

seulement une poignée d’anciens Khmers rouges peuvent être traduits en justice pour les crimes commis entre 1975 et 1979 (tels que « Khieu Samphan (chef de l’État), Nuon Chea (l’homme le plus puissant après Pol Pot), Ieng Sary (vice-premier ministre), Khieu Thirith (épouse de Ieng Sary, ministre et membre du comité central), Thiounn Mumm (ministre) et Keat Chhon (ministre). »)14 puisque plusieurs moururent entre temps (tels que « Pol Pot, Son Sen (ministre de la défense et responsable du Santebal,

vivait avec sa femme, libre et au grand jour, près de la frontière thaïlandaise. Accusé de crimes contre l'humanité, crimes de guerre et génocide . IENG SARY alias "Frère numéro 3" - 83 ans Le numéro trois du mouvement était vice-premier ministre et ministre des Affaires étrangères du régime des Khmers rouges. D'origine vietnamienne, Ieng Sary est considéré comme l'exécuteur des basses œuvres de Pol Pot, dont il était le beau-frère, notamment lors des purges massives à l'intérieur du mouvement

guerre s'est achevée en 1998, quand les structures politiques et militaires Khmer Rouge ont été démantelées.  2. Tentative d’un tribunal Un premier procès, eu lieu dès le mois d’août 1979, 7 mois après la chute du régime khmer rouge, où Pol Pot et Ieng Sary furent condamnés à mort par contumace . Toutefois ce procès n’a pas été reconnu par la communauté internationale, car outre son caractère expéditif, il servait surtout à légitimer le gouvernement en place et l’occupation du pays par l’armée vietnamienne

depuis le 30 mars 2009. Devait suivre le procès de Nuon Chea (de son vrai nom Long Bunruot), le numéro deux du régime, considéré comme le plus violent, puis ceux de Khieu Samphan (ex président du Kampuchéa démocratique) et de Ien Sary (ex ministre des affaires étrangères) et de sa femme. Le fonctionnement du TKR est émaillé d’incidents. Le premier procureur international, le canadien Robert Petit a démissionné en regrettant l’intervention des « autorités non judiciaires ». Des

Conflit de Sabah · Conflit malien · Guerre civile syrienne · Crise de la dette dans la zone euro · Tournoi des Candidats Morts récentes : André Fontaine (17 mars) · Olivier Metzner (17 mars) · Frédéric Graziani (14 mars) · Paul Rose (14 mars) · Ieng Sary (14 mars) Mars 2013 • Éphéméride du jour • Wikinews • Modifier Le saviez-vous ? Olivier de Serres fut le tuteur de son neveu pendant 6 ans, 9 mois et 22 jours au cours desquels il consigna dans son livre de raison la dépense correspondante

Certains, dont le bras droit de Pol Pot, se regroupent dans la région de Païlin qui fût peu sûre pendant de longues années. Le 17 février 2009, un procès a lieu jugeant : Douch, directeur de la prison S 21, Ieng Sary, ministre des Affaires Etrangères de la Kampuchéa Démocratique, Ieng Thirith, ministre des Affaires Sociales et Khieu Samphan, Président de la Kampuchéa Démocratique. Seul Douch reconnaît ses actes, les autres nient toujours leurs responsabilités sur ces atrocités. Aujourd’hui

prévoit (article 11, § 1er) que le gouvernement cambodgien n'amnistiera ni ne graciera quiconque est passible de poursuites ou reconnu coupable à raison de crimes visés dans l'accord, mais reconnaît, implicitement, l'amnistie accordée en 1996 à Ieng Sary, un des principaux dirigeants des Khmers rouges, évoquant la déclaration du gouvernement cambodgien selon laquelle «jusqu'à présent... il n'y a eu qu'un seul cas, en date du 14 septembre 1996, où il a été fait grâce à un individu reconnu cou pable

notamment le cas de l'exode des boat people vietnamiens (voir III) et plus encore du génocide au Cambodge. - Le génocide perpétré par les Khmers rouges au Cambodge et la révélation des goulags tropicaux Le régime communiste de Pol Pot et Ieng Sary a été responsable de la mort en 4 ans de près de 2 millions de Cambodgiens (25% de la population du pays) dans un hallucinant projet génocidaire de purification sociale destiné à détruire le peuple noir (intellectuels, habitants des villes jugés