Il est né le divin enfant

Souverain suprême du Ciel, le Roi des dieux olympiens. Nouveau-né, il fut sauvé par sa mère la déesse Rhéa alors qu’il allait être avalé par Cronos son père. En effet, suite à un triste oracle qui annonçait à Cronos sa fin prochaine s'il engendrait des enfants, ce dernier dévora chacun des six nouveau-nés mis au monde par Rhéa, à l'exception du dernier qu'elle substitua à une pierre enveloppée dans un linge. Cronos ne vit pas le subterfuge et Zeus le futur Roi des dieux  put être sauvé à temps.  Il fut

classées et commentées Les Choéphores 1- Le Choeur est ici porteur d'une représentation archaïque et aristocratique de la justice qui se caractérise par deux éléments : • la foi (accompagnée de crainte) dans la justice divine • le principe de la loi du Talion Foi dans la justice divine; le coupable ne saurait rester impuni : "Le sang répandu sur le sol, comment serait-il racheté ?" "Mais il en est que le plateau de la Justice surprend presque aussitôt dans la clarté; d'autres peines dans l'intervalle

plutôt à l'image de son espèce puisque les attributs divins sont infinis et qu'ils sont finis dans l'individu. Ce mécanisme est exactement ce qu'on appelle un processus d'aliénation c'est à dire de perte de soi dans un autre, cet autre ici étant Dieu. Il s'agit bien d'une perte de soi : la raison humaine s'efface devant l'illusion religieuse (pourquoi partir à la conquête du bonheur terrestre et donc du progrès quand seule compte la providence divine ?), la volonté abandonnée entre les mains de Dieu

des arbres, sans corde, juste à la force de nos bras. En pleine admiration ils me demandèrent de leur montrer comment je faisais. Je leur répondis alors que ce n’était pas possible car je ne n’avais pas envie de le faire comme le dise souvent les enfants qui mentent. Alors le plus grand des deux me dit que je ne disais pas la vérité. Encore maintenant je déteste qu’on ne me croit pas ,même si cela est vrai , alors je les emmena dans le jardin ou il y avait un arbre immense. Je commença à grimpé sur

voyageurs virent, avec affliction, que le mal qui les avait rongés par le passé, avait atteint et souillé le cœur des villageois. S’avançant vers la place publique, les voyageurs observaient, mais seul la déception se lisait sur les visages. Seuls les enfants, qui avaient encore conservés leur innocence, leurs puretés, semblaient bien se porter. Les voyageurs, dotés de sentiments nobles, ne pouvaient permettre que cela continue indéfiniment. Ainsi, Muhammad, s’avança au milieu de la place publique et

épaules par Horus et Isis, métaphore au mythe, et représentation du lien de cette triade, un lien divin qui va au-delà du lien

gauche. Le cheval , l’apparition et la lumière divine au centre. La femme torche à droite. Ils sont reliés par le guerrier au sol à gauche et la femme qui s’effondre à droite. * Le Taureau : Le taureau est un symbole de la force brute de la cruauté. Son regard se détourne de la scène, mais il fixe le spectateur comme pour nous prendre à témoin !  * La Femme portant son enfant mort : Juste devant, une femme hurle sa douleur avec un enfant dans ses bras ce qui fait pensé a une piéta c’est

parvenues jusqu'à nous. Avec Médée, il fut classé troisième derrière Euphorion, le fils d'Eschyle, et Sophocle. Euripide a inventé une nouvelle forme de théâtre, où les situations, avec les conflits qui opposent entre elles les volontés humaines ou divines, l'emportent sur les contenus théologiques, ou mythiques de la tragédie traditionnelle. Il propose une forme nouvelle avec des actions plus complexes, ainsi qu’une inventivité musicale révolutionnaire. Il s’agit de la fin de l'histoire de Jason et

capacités intellectuelles potentiellement illimitées, ils considèrent la quête du savoir et la maîtrise des diverses disciplines comme nécessaires au bon usage de ces facultés. Ils prônent la vulgarisation de tous les savoirs, même religieux : la parole divine doit être accessible à toute personne, quelles que soient ses origines ou sa langue (traduction de la Bible en langue vernaculaire par Érasme en 1516). Ainsi, cet humanisme vise à diffuser plus clairement le patrimoine culturel, y compris le message

sensibilité à la misère et à la souffrance d'autrui et à une bienveillance fondamentale vis à vis du prochain. En l’année jubilaire 2000, le Pape Jean Paul II a décrété que le deuxième dimanche après Pâques serait désormais celui de la miséricorde divine Cette béatitude nous renvoie à un autre passage de l’évangile : La prière du Notre Père Q : Est-ce que le miséricordieux est celui qui accorde le pardon ou celui qui le reçoit ? R : Les deux mon général Si je ne vit pas de l’amour je ne suis