Il Faut Cultiver Son Propre Jardin

l'homme ? => ce sujet appelle une discussion. Si les arts et la littérature peuvent modifier notre vision de l'homme, il faut étudier comment ils le font, par quels procédés. On peut aussi vérifier les limites du pouvoir de la littérature et des arts sur les représentations que nous avons de l'homme et de nous-mêmes en tant qu'êtres humains. Quelle que soit la réponse il faut définir, « arts », « littérature », « vision de l'homme ». Problématisation : La question posée sous-entend que les arts

trois grands maux : le vice, l'ennui et le besoin. Mais ce roman est aussi une critique de la société : le fanatisme religieux, l'esclavage, l'absurdité de la guerre... Enfin, Candide nous donne une leçon finale : « Il faut cultiver notre jardin » ; Voltaire veut nous dire qu'il faut cesser les discours philosophiques qui ne mènent à rien, afin de privilégier une vie calme fondée sur le travail. → Un roman d'aventures Candide est un roman d'aventures car il vit beaucoup d'aventures, vient à bout

Cunégonde et la vieille. Il épouse Cunégonde devenu affreusement laide, malgré le refus de son frère. Candide achète, avec ses derniers diamants d'Eldorado une métairie. Tous sont réunis et à l'exemple d'un bon vieillard turc du voisinage, ils vont cultiver leur jardin. Il y a bien eu une réussite puisque Candide a obtenu ce qu’il voulait : se marier avec Cunégonde. Ils ont finit par être heureux malgré tous les malheurs qu’ils ont vécus. 2) Travail sur les personnages et les thèmes récurrents

...................................................................29 4. Candide et la liberté ...................................................................................................................................37 5. Eldorado et le jardin de Candide................................................................................................................41 F. La Providence selon Voltaire et Rousseau .............................................................................

est de ne pas se préoccuper des problèmes des autres et par conséquent, de se concentrer seulement sur ses propres problèmes. 10/ Candide a fait l’acquisition d’une petite propriété qu’il exploite avec tous ses anciens compagnons d’infortune. Le travail apprend à chacun hormis Pangloss qui lui n’a guère évolué que le bonheur est à la mesure de ses efforts. Il faut donc cultiver notre jardin. Sur cette morale s’achèvent le conte et l’apprentissage du jeune Candide. En conclusion de cette réponse

intermédiaires En effet pour déterminer la richesse créée par un pays, il ne faut pas additionner les CA réalisés par chaque agent économique car cela reviendrait à comptabiliser plusieurs fois les mêmesbiens et services (en effet, une matière première comme le caoutchouc intervient dans le cycle de production de plusieurs entreprises). C’est pourquoi, pour obtenir une mesure réelle de la production d’un pays, il faut cumuler non pas les productions de chaque unité économique mais les valeurs «

illustre les échanges entre Candide et Martin. Il est possible de constater que Candide est maintenant en mesure d’interroger, d’écouter et surtout de se poser des questions. Ces échanges prouvent son évolution puisqu’il est maintenant capable d’avoir sa propre opinion. Maintenant qu’il est conscient des enjeux du monde réel et qu’il sait que le mal existe, il peut se remettre en question et développer un jugement. Ensuite, à la fin de sa formation le héros est accompli et a compris le sens de la vie : «

apportera beaucoup pour ses créations à venir. Il fonde avec Amédée Ozenfant le purisme, courant artistique héritier du cubisme. Le purisme est un courant d’artistes représentant des objets de la vie courante. En 1917 il s’installe à Paris et ouvre son propre atelier d’architecture avec son cousin Pierre Jeanneret. Pendant plus de 10 ans il va réaliser de grands projets dont la réalisation de deux grandes villas : la villa « Stein » et la villa « Savoye ». Il est souvent critiqué en raison de ses projets

qu’est le monde réel et qui est très loin de l’enseignement de Pangloss. Le texte est très riche en superlatifs : on peut faire un lien entre le genre littéraire de Candide, le conte et ses superlatifs : c’est le registre merveilleux. En faite il faut prendre ses superlatifs de manière d’ironique notamment a la fin du texte. C’est Pangloss qui enseigne que c’est le meilleur des mondes mais cela est évidemment faux car il enseigne la nigologie. Il est facile de faire un lien entre les superlatifs

« haute en couleur, fraîche, grasse, appétissante » belle fille mais peut-être pas intelligente. Attire homme car belle, femme-objet de consommation immédiate ironie du faux-éloge. ° Le fils du baron : faux-éloge « paraissait » pas d’existence propre, perfidie ironique, père digne de rien. ° Pangloss : Pan = tout, gloss = langue parle bcp mais ne pense pas bcp, nom suspect + « Oracle de la maison » : métaphore, hyperbole. Conclusion : Texte avec apparence du conte mais qui en fait enfaite