Il N Y A Point De Liberté Sans Lois Ni Ou Quelqu Un Est Au Dessus Des Lois

1Les sources du droit Les sources du droit sont nombreuses et diffuses. Plusieurs raisons expliquent ce constat, qui tient à l’accroissement constant du rôle du droit comme régulateur social, à la multiplication, à côté des instances traditionnelles, de nouveaux lieux de fabrication du droit et au développement à côté du « droit dur » d’un « droit mou ». Face à ce foisonnement il est nécessaire d’ordonner les sources du droit et donc de les présenter dans leur hiérarchie. Sources internationales

important d’étudier la jurisprudence que simplement étudier les lois -La jurisprudence est importante à étudier car elle est la fondation du système juridique. La jurisprudence vas permettent d’étudier l’objectif et les rôles des lois. 2 : La jurisprudence est considérer à la fois comme une philosophie et une science. A ton avis, laquelle de ces deux description est la plus appropriée? Motive ta réponse. D`après moi la jurisprudence est à la fois une philosophie car elle exprime les éléments fondamentale

constitutionnalité : 1° La juridiction constitutionnelle) II. Le cas français A. Le contrôle de constitutionnalité des lois avant l’application de la réforme de 2008 - Constitution du 27 octobre 1946 : articles 91 à 93 - Constitution du 4 octobre 1958 : articles 61 et 62 (Version antérieure à la révision du 23 juillet 2008) - Discours de Michel Debré au Conseil d’Etat, 27 août 1958 - 71-44 DC, 16 juillet 1971, Liberté d’association B. Le rejet du contrôle diffuse - L’affaire Arrighi - Conclusions

être catégorique ou hypothétique (plus fréquent en droit). (Catégorique : tu ne tueras pas. Hypothétique : tout condamné à mort aura la tête tranchée : condition + conséquence) Distinction des normes juridiques et des autres règles Le droit est un système autopoiétique. La pyramide, hiérarchie des normes : on a différents degrés de normes, la Constitution est supérieure à la loi. "Validité", c'est l'appartenance au système juridique (une norme "valide") Hans Kelsen, juriste autrichien : "La

Frères, Paris, 1875, disponible à : • volume 1: http://books.google.com/books? id=BAUvAAAAMAAJ • volume 2: http://books.google.com/books? id=bgUvAAAAMAAJ • volume 3: http://books.google.com/books? id=vwUvAAAAMAAJ • volume 4: http://books.google.com/books? id=EwYvAAAAMAAJ • volume 5: http://books.google.com/books? id=7AYvAAAAMAAJ volume 6: http://books.google.com/books? id=ewYvAAAAMAAJ • volume 7: http://books.google.com/books? id=oZsGAAAAQAAJ • Ce tirage au format PDF a été fait le 18 septembre 2010

Dossier de documents pour les Travaux Dirigés Premier semestre 2015-2016 BIBLIOGRAPHIE Principaux manuels : Jean-Paul ANDRIEUX, Introduction historique au droit, Vuibert, 2006. Bernard BARBICHE, Les institutions de la monarchie française à l’époque moderne, XVIe-XVIIIe siècle, PUF, « Premier Cycle », 1999. Brigitte BASDEVANT-GAUDEMET et Jean GAUDEMET, Introduction historique au droit, XIIIe-XXe siècles, LGDJ, « Manuel », 2e éd., 2003. Régine Beauthier, Droit et genèse de l’Etat, Edition

Dans "les politiques", Aristote donne la définition de l'homme : "l'homme est par nature un animal politique" '1252). Pour Aristote, donner une définition c'est dire la nature d'un être, et la nature de quelque chose (= sa fin). La finalité de l'homme est de vivre en societé politique (polis = cité donc ~citoyenneté). On va pouvoir définir chez Aristote l'espèce : Aristote = fils de medecin, cela va l'interesser d'analyser les choses d'une facon matérialiste (symptomes). Il va s'interesser aux

article être au-dessus de la force politique. Le gouvernement doit le respecter. Cette phrase fait dorénavant jurisprudence : Donner parfois plus de droit à certain étudiants qu’aux autres car ils ont plus de difficultés. C’est la discrimination positive. La hiérarchie normative : Reprenons l’article 1 de la constitution qui est la norme suprême. Une loi aussi unique et inégalitaire peut-être reprise et interdite sur le fondement de la primauté de la constitution. Le droit est à la fois un corps

Rapport à la Convention, au nom du Comité de salut public, sur les principes du Gouvernement révolutionnaire, Robespierre, 25 décembre 1793 (5 nivôse an II)  Aborder un texte de Robespierre, c’est se situer dans un contexte bien particulier : celui de la Terreur. Dans la continuité de la Révolution française, la Terreur est un moment de forte action révolutionnaire, et plus fort encore, une sorte de période de dictature, de terrorisme, qui s’étend du 5 septembre 1793 jusqu’à la chute de Robespierre

[6]. Cette conférence, à laquelle 47 états prennent part, adopte la Convention sur certaines questions relatives aux conflits de lois sur la nationalité. Les critères d'acquisition de la nationalité varient d'un pays à l'autre. La nationalité s'acquiert normalement à la naissance par filiation (on parle de « droit du sang », jus sanguinis), mais aussi à la majorité du fait que l'on est né sur le territoire national (on parle de « droit du sol ») et qu'on y a séjourné jusqu'à sa majorité. Un