Île du Levant

entendait dans les tables d’hôte, la femme paisible et souriante, comme si elle ne comprenait pas. Pour occuper l’après-midi, le ménage visita Guérande. Dans l’église Saint-Aubin, il faisait une fraîcheur délicieuse. Ils s’y promenèrent doucement, levant les yeux vers les hautes voûtes, sous lesquelles des faisceaux de colonnettes montent comme des fusées de pierre. Ils s’arrêtèrent devant les sculptures étranges des chapiteaux, où l’on voit des bourreaux scier des patients en deux, et les faire cuire

L’Épouvanteur ne fit pas un mouvement. — Si on tarde davantage, on aura du mal à passer inaperçus. On ne peut pas rester ici. Il ne répondait toujours pas, et Alice grinça des dents, agacée. — Je vous en prie, monsieur Gregory, suppliai-je. Ne renoncez pas… Levant enfin le regard vers moi, il secoua tristement la tête : — Tu ne mesures pas la perte que nous venons de subir. Cette bibliothèque ne m’appartenait pas, petit. Je n’étais que son dépositaire. C’était à moi de l’enrichir et de la préserver pour l’avenir

renvoie à lui, sa famille, son territoire. Cela pose un problème en matière de succession, car le royaume des francs est un élément du patrimoine. Le partage du royaume. Clovis n’était pas le roi d’une nation. Il est le seigneur de la Francia (Île de France) La Nation (définition de 1881 par Ernest Renan) Ernest Renan fait une conférence à la Sorbonne mais n’avait pas prévenu de quoi elle allait traiter. Il pose la question suivante : Qu’est ce que la nation ? Elle possède deux définitions :

européennes réunies. Dans la partie orientale, donc, l'activité principale était la réexportation des esclaves : une petite partie était acheminée sur les marchés européens, principalement l'Italie, mais la plupart des esclaves gagnaient les pays du Levant. 3. L'esclavage en Europe Document 13 En ce qui concerne l'Europe, au-delà de la provision directe en esclaves à partir des ports principaux de la côte africaine septentrionale, d'autres approvisionneurs indirects étaient l'Espagne du Sud, la

de quitter ses adversaires. 2 Vernet, une autre vision de l’industrie maritime Au xviiie siècle, l’activité maritime offre de nombreux métiers liés à la vie du port. Le navire à quai débarque du blé probablement importé du sud de l’Italie ou du Levant. Près du bateau, un homme crible le grain pour en éliminer les éventuelles impuretés. D’autres hommes, les portefaix, également nommés « gagne-deniers », s’occupent du transport des marchandises. Ils sont reconnaissables à leurs pieds nus. À gauche

l'Histoire l’idée que chaque peuple joue un rôle dans l'Histoire et que les formes des continents n'ont pas eu le même rôle dans l'Histoire. - Le continent européen a un long littoral, c’est dans son extrême sud-ouest qu’elle s’apparente à une presque ile qui s'avance vers l'océan. Cette longueur a conduit les peuples européens à des expéditions. - En Afrique, il n'y a pas beaucoup de fleuve qui traverse d'est en ouest et donc cela rend difficile les expéditions. C’est un continent enfermé sur lui-même

Français appelaient le « Levant » à l’époque coloniale. Elle désigne la zone qui s’étend des « détroits » (Bosphore et Dardanelles) à l’Egypte et à l’Euphrate (Turquie, Syrie, Palestine, Israël, Jordanie, Irak et Egypte) et en somme l’ancien Empire ottoman dans ses frontières de 1914 plus l’Egypte. Cette vison "franco-centrée" avait l’avantage à l’époque coloniale de gommer l’appartenance de l’Afrique du Nord (française à l’époque) au même ensemble culturel que le "Levant". Progressivement depuis

franque, qui allait désormais prévaloir. A cet égard la journée de Dorylée, effaçant celle de Malazgerd, revêt dans l’histoire de l’Asie une importance aussi grande que les journées du Granique ou d’Arbèles. Deux siècles d’hégémonie européenne au Levant vont en découler, deux siècles durant lesquels l’avance turque reculera non seulement devant la conquête franque en Syrie et en Palestine, mais encore devant la reconquête byzantine en Asie Mineure. Remarque intéressante, les Francs et les Turcs,

aillent ou ils voudront, les voici. Ils sont en regle, et ils peuvent partir quand il leur plaira; mais, je suis force de vous le repeter, ils partiront sans vous. —Monsieur le comte de Ludorf a−t−il des commissions pour Naples? demandai−je en me levant. —Pourquoi cela, monsieur? —Parce que je m'en chargerais avec le plus grand plaisir. —Mais je vous dis que vous ne pouvez point y aller. —J'y serai dans trois jours. Je saluai monsieur de Ludorf, et je sortis le laissant stupefait de mon assurance

Ouroudj. — 18 — des guerres maritimes, d’accord en cela avec le Razaouat. « A la suite de la conquête de Midillu (Mytilène), dans l’île de Lesbos, faite par Mohammed II (1462), le sipahis roumiliote Yakoub de Yenidjé Ouardar s’était fixé dans cette île avec ses quatre fils, Ishak, Ouroudj (qui devînt Aroudj), Khidr (nommé plus tard Kheir ed-Din-Barberousse) et Elias. Le premier se fit commerçant ; les trois autres, sous le règne de Bayezid II et de Sélim Ier, se livrèrent à la piraterie en déguisant