Illusion Groupale

La liberté est-elle une illusion ? MISE EN GARDE je ne veux pas de copie d'internet. La problématique doit être LA VOTRE : vous devez l'avoir construite vous-même. Le brouillon ne doit pas être rédigé: je ne dois voir apparaitre que des notes succinctes. Vous devez me le rendre avec le devoir. CONSEIL Travaillez les textes que je vous ai donnés (ceux-là seuls peuvent être mentionnés). Pour bien les comprendre, répondez aux questions qui y sont associées. On peut distinguer 3 groupes de textes :

la publicité, la bande dessinée, etc. se sont parfois tournés vers une culture du regard éclaté, morcelé sur l’univers qui nous entoure. La représentation opposa donc souvent rupture à continuité, conscience de la fuite de la réalité à illusion du réel… Cette illusion mimétique, point de mire des monteurs du cinéma classique et de nombreux romanciers au fil de l’histoire littéraire fut remise en question à de nombreuses reprises durant le vingtième siècle. Cette réalité dont l’accès se dérobe sous

attentivement », « assez droit »  pas idiot  Montre qu’il est capable d’évolution -"le plus simple" -« innocemment »  foi aveugle, pas d’esprit critique -Cunégonde = "la plus belle"  la seule qu’il ait vu -4 bonheurs : 1) Illusion de la noblesse 2) Cunégonde : illusion de la beauté 3) Pangloss : absence d’esprit critique -« de toute la terre »  ignorance, absence de relativisme  Voltaire donne le ton : il critiquera l’optimisme à travers Candide tout au long du conte Conclusion Cet

La Morte (1887) de Guy de Maupassant Quelle désillusion attend le lecteur et le narrateur ? Quels sont les éléments qui donnent à ce conte l’apparence d’un cauchemar ? Le narrateur ainsi que le lecteur ont un désillusion profonde : on peut s’attendre à des retrouvailles enflammées pleine d’amour et de romance entre le narrateur et son épouse défunte. Celui-ci rêve de lui parler mais elle n’a que faire de lui et change l’inscription de la tombe, qui était à l’origine une déclaration d’amour

En somme, chacun d’entre nous est dépositaire de deux héritages : l’un, « vertical », lui vient de ses ancêtres, des traditions, de son peuple, de sa communauté religieuse ; l’autre « horizontal », lui vient de son époque, de ses contemporains. C’est ce dernier qui est, me semble-t-il, le plus déterminant, et il le devient un peu plus encore chaque jour ; pourtant, cette réalité ne se reflète pas dans notre perception de nous-mêmes. Ce n’est pas de l’héritage « horizontal » que nous nous réclamons

interrogations, notre réflexion s’organisera autour de trois grands moments. Dans un premier moment nous analyserons l’idée, l’amour comme sens de notre vie. Nous interrogerons la consistance de l’amour pour voir si elle ne réduit pas en fin de compte à une illusion. Enfin nous nous interrogerons sur la nature complexe de l’amour Il existe trois types d'amour. L'éros qui est l'amour physique. Philia qui est l'amour venant de l'amitié. L'agape qui est l'amour entre un homme et une femme. Aujourd'hui tous

consensus permettrait de distinguer ce qui est réel, de ce qui est fictif ou illusoire, mais on peut se demander si ce n’est pas qu’une représentation possible parmi d’autres, si ce n’est pas une simple convention et même une pure construction ou grande illusion d’un collectif pris au piège des apparences ? 3) Donc la réalité, ce serait aussi ce qui concerne l’être et pas seulement l’apparaître. Donc la réalité, ce ne serait pas ce dont on peut tous faire l’expérience empirique et sensible, mais ce qui

investir une « relation objectale ». Intervient alors la notion de « mère suffisamment bonne », il est important que la mère et l’enfant s’émancipent de cette fusion afin que l’enfant se constitue comme sujet. 2) L’illusion Winnicott appelle illusion le fait que l’enfant pense former, avec sa mère, une seule et même personne du fait que ses besoins sont satisfaits quasi instantanément. Winnicott dit « l’amour que la mère porte à son enfant, et son identification étroite avec lui, lui font percevoir

ces temps compliqués qui sont les nôtres, où les violences symboliques et les mensonges sociaux ont atteint de tels degrés de ruses que même les plus malins s’y laissent prendre, en ces temps paradoxaux où les utopies sont moribondes mais où les illusions sont reines, prendre un peu de temps pour relire tout ce que Georges Palante et Jules de Gaultier ont à nous dire sur le principe du bovarysme ne peut que nous être profitable."(Stéphane Beau)   ***   "... le terme de Bovarysme, contrairement

INTRODUCTION :::::L’histoire est comme Janus, elle a deux visages : qu’elle regarde le passé ou le présent, elle voit les mêmes choses. Maxime Du Camp, Paris. VI, p. 315. L’objet de ce livre est une illusion exprimée par Schopenhauer, dans cette formule que pour saisir l’essence de l’histoire il suffit de comparer Hérodote et la presse du matin. C’est là l’expression de la sensation de vertige caractéristique pour la conception que le siècle dernier se faisait de l’histoire. Elle