Illusion Groupale

buvaient l’humidité qui pénétrait au-dedans et faisait suer les murs de la cave au grenier. » Les œuvres de Maupassant, et tout particulièrement celle-ci, trahissent la personnalité sombre et pessimiste de l’auteur. Le bonheur apparaît comme une illusion qui s’échappe dès qu’on la touche du doigt. Tel un mirage. « La vie, voyez-vous, ça n’est jamais si bon ni si mauvais qu’on croit. »

destin et doit en rendre compte au public « Ma vie appartenant au public » Il met en évidence son attitude contradictoire non sans humour et lucidité (l 6)«après ces belles réflexions » Champ lexical de la tromperie, dissimulation : « pour me faire illusion », « pallier »   II.Les explications de l'homme, les raisons d'ordre privé  Chateaubriand commence par protester ses bonnes intentions : - construction restrictive « ne que », « le dessein formel » - il ne mettra personne en cause - il n'écrit

légères remarques ouvertes : mon adhésion totale au plaisir de la lecture des Propos sur le Bonheur d’Alain pour la première. Quant à la seconde : et si la “maîtrise” n’était qu’une passionnante et vitale illusion? Bonne Soirée à Tous. « Et si la maîtrise n‘était qu’une passionnante et vitale illusion ? », mais la maîtrise, quelle qu’elle soi, n’est-elle pas toujours relative et, dans ce cas, même si elle peut être jugée comme réelle par celui qui affirme en disposer, peut toujours être estimée illusoire

situe dans la première partie du roman, peu après la description du repas de son mariage. Le pendant du repas de noces inversé puisqu’à ma rudicité de l’un s’oppose à l’aristocratie de l’autre. Problématique: Comment ce texte met-il en scène les illusions d’Emma ? En quoi ce texte manifeste-t-il le bovarysme d’Emma ? I- Le bal : une scène idéalisée A- Une scène filtrée par le regard d’Emma Toute la description est organisée par le regard d’Emma avec les verbes de perception visuelle

Intro : Extrait des Faux-Monnayeurs d'André Gide, précurseur des nouveaux romanciers sans s'en affirmer. Ce passage est tiré du chapitre 7, "point médian de notre histoire" où le narrateur fait un bilan sur les évènements et passe en revue ses différents personnages ainsi que leur évolution. Problématique : L'évolution de Bernard est-elle hors de contrôle ? 1 Hors de contrôle fictif du narrateur et de l'auteur 2 Sous contrôle du personnage 3 Un contrôle partiel Ce passage est du tiré

A l'inverse du phénomène de magnétisme de la première rencontre, l'effet produit est ici la rupture brutale, le réveil et le désenchantement: Au moment où je reconnus La fausseté de l'amour même Re/connaitre (vérité) s'oppose à res/sembler (illusion) "Fausseté" de l'amour même nie l'amour unique "La Chanson du Mal-Aimé" se donne donc d'emblée comme un poème de fin d'amour et même de fin de tout amour, coïncidant avec une période de désenchantement qui ne prendra fin qu'avec la rencontre

soi-même pour satisfaire nos aspirations. Mensonge particulier, car au fond nous savons que la « vérité est ailleurs »… Ici en effet, le sujet de l’illusion n’a pas le dessein de se tromper lui-même (ce qui le différencie du mythomane.) II ] ILLUSION ET CONNAISSANCE A – L’IDEALISME DE PLATON 1) L’allégorie de la caverne Platon imagine que l’homme connaissant est comme un être prisonnier et attaché dans une caverne. Ses chaînes sont telles qu’il ne peut

« Le mieux est de nous quitter ». Aussitôt Boubouroche se ravise, admet ses torts, se fait pardonner par Adèle et retourne sa colère contre le voisin de pallier : « Vous êtes un vieux daim et une poire ». Leçon : la passion amoureuse se joue de, « illusionne », au point de perturber la perception de l'évidence la plus grande. Boubouroche a vu l'amant dans le placard, mais pour les beaux yeux d'Adèle, il ne voit pas l'évidence : qu'il est quotidiennement trompé par la femme qu'il entretient. Comment

croyance et on sous-tend ainsi deux grandes idées : toute croyance serait illusoire et il existerait des croyances qui ne le seraient pas. C'est la nature même de la croyance qui fait l'objet de cette question. La croyance ne serait-elle pas pure illusion du fait qu'elle vienne du domaine du donné, qu'elle n'est pas en soi ce qui est ? Pourtant, une croyance ne peut-elle pas être fondée sur une vérité, et n'est-elle pas une possibilité dans l'absolu ? Ce qui reviendrait à remettre en cause son caractère

L’illusion comique, Corneille (1636) Intro : - Comédie - Esthétique baroque (car thèmes : illusion, métamorphose) - Montre que la vie est un theatrum mundi (= théâtre du monde) - Extrait acte II, scène 2 - 2 pers. = Matamore & Clindor - Le capitaine fanfaron dresse un portrait élogieux de lui-même Pbq : En quoi cet extrait est révélateur d’une esthétique baroque qui se met au service d’un portrait ? Plan : 1) Montrer l’esthétique baroque du txt 2) Cette esthétique se met au service