Illusion Perdues Le Regard Des Personnages

lecture du roman : C'est l’histoire d’une jeune fille, Jeanne. L’auteur nous raconte toutes les étapes de sa vie : Jeanne l’adolescente insouciante, qui vit dans ses illusions, à travers les romans à l’eau de rose où elle rêve d’un prince charment qui viendra un jour l’emmener sur son cheval blanc. Ensuite vient Jeanne la jeune femme perdue, qui affronte ses désillusions. Les déceptions se succèdent, elle se rend compte que la vie n’est pas celle des romans chevaleresques qu’elle aimait tant. Enfin,

avait le goût des lettres. Le jeune homme exerce le métier de clerc de notaire dans cette étude où Jules Janin était déjà « saute-ruisseau » (jeune clerc de notaire ou d’avoué chargé de faire les courses). Il utilisera cette expérience pour créer le personnage de Maître Derville et l’ambiance chahuteuse des « saute-ruisseau » d’une étude d’avoué dans le Colonel Chabert. ------------------------------------------------- Les œuvres de jeunesse C’est en fréquentant la Sorbonne que le jeune Balzac s’éprend

humaine, Balzac cherche à donner la vision la plus exacte possible du monde parisien du XIXème siècle à travers la vie de plus de 2500 personnages. Dans son œuvre, le romancier historien dresse le panorama de la ville, nouvellement capitaliste, et qui évolue principalement autour du Faubourg Saint-Germain. En outre, dans Bel Ami, Guy de Maupassant évoque son propre regard sur cette société à travers les yeux de Georges Duroy, un jeune homme qui tente par tous les moyens de se bâtir un avenir. Parce que

s'exprime à travers un langage symbolique de couleurs, de sons, de mouvements... Dans le café de nuit, le jeu des couleurs (jaune sale, rouge brutal...) tend à donner l'impression d'un univers souillé, d'une déchirure morale; le jeu des formes (personnages aplatis, rapetissés, semblables à des spectres, espace déformé) fait sentir, revivre l'irréalité de cet univers, l'impression d'ivresse et de vertige. "Dans mon tableau le café de nuit, j'ai cherché à exprimer que le café est un endroit où l'on

se revendiquer détaché de toute illusion. L’esprit de tout un chacun est fait de telle sorte qu’il est capable de se persuader de maintes choses infondées, plus ou moins vraisemblables, mais qui influent si fortement sur la conscience qu’il devient difficile de différencier le vrai du faux parmi ces choses. L’expérience des illusions peut se révéler tour à tour joyeuse et douloureuse, drôle et pathétique... rendant compte des multiples sens de ce terme, « illusion », que de nombreux auteurs ont utilisé

d'action à l'aide d'une suite successive d'images. Le cinéma, de quelque nature qu’il soit, n’est qu’une illusion d’optique destinée à recréer le mouvement. Comment l’illusion est-elle crée ? QU’EST CE QUE VOIR ? La vue est une sensation immédiate. Les expressions dans la langue française témoignent de toute une variété de façons de se rapporter au monde : “jeter un coup d’oeil”, “fixer du regard”... Elle est notre rapport le plus immédiat au monde, et je crois qu’il faut étudier cette immédiateté

réprobation morale : calomnie, dédain outrage. · les comparaisons grotesques, parodies de Paul et Virginie : l’exotique manceniller, arbre trompeur dont l’ombre ne laisse pas deviner le feuillage vénéneux. Le faux lyrisme romantique, les illusions perdues · apostrophes et injonctions : Emma !, Oubliez-moi !, Soyez toujours bonne ! · Exclamations : Ah ! malheureux que je suis..., Oh !, Je suis fou !, Ò mon dieu ! · interrogation rhétorique et anaphores de Pourquoi...

domaine du fantastique pour peindre la réalité sociale de leur temps, puis nous nous attacherons aux œuvres dites réalistes, sans oublier les études de mœurs présentes dans les romans naturalistes. Le conte et la nouvelle présentent une gamme de personnages moins large que les romans, et les intrigues sont réduites par rapport à celles de ces derniers. Beaucoup d’auteurs ont essayé le conte et la nouvelle, par exemple Flaubert, Zola et Balzac. Leurs contes et leurs nouvelles véhiculent généralement

Les voyageurs de l’impérial (roman 1942)-La semaine sainte( roman, 1958) – La rose et le Réséda ( poésie , 1943) Intrigue : Aurélien 1944 Le roman a pour intrigue principale l’histoire d’amour impossible entre Aurélien et Bérénice, deux personnages qui déjà par leurs prénoms se démarquent de la société moderne dans laquelle ils se rencontrent. Page 28 « Bérénice la vraie » Poussés par leur entourage, ils tombent amoureux. Mais le nœud de l’intrigue est bien l’impossibilité, l’aspect chimérique

registre traditionnel pathétique. On peut le voir grâce aux clichés des rimes « rose/morose » « mer/amer » Evocation d’une scène sensuelle «  se pâme » qui rime avec « femme » + évocation des parti du corps «  sein » « main » « lèvres » Le poète a perdu son cœur = registre pathétique B. L’épique Changement de registres entre quatrain (pathétique) et tercets (épique) Scène de violence entre l’homme et la femme : « cœur assiégé » : comparaison entre la femme et ennemi guerrière Verbes d’action, énumération