Imagination

faits concrets permettent au lecteur de se situer dans le contexte historique et social de l'histoire, et d'analyser plus facilement les personnages et leurs comportements. Si un auteur ne prend pas compte de ces éléments, ils se perd dans son imagination et le roman n'est plus réaliste car, peut-être sans s'en rendre compte parfois, l'auteur embellit les choses, les maquille et les transforme. Le romantisme par exemple, va au contraire du réalisme : au lieu de ne peindre rien d'autre que le réel

desseins ; je partis précipitamment pour m’ensevelir dans une chaumière, comme j’étais parti autrefois pour faire le tour du monde. On m’accuse d’avoir des goûts inconstants, de ne pouvoir jouir longtemps de la même chimère, d’être la proie d’une imagination qui se hâte d’arriver au fond de mes plaisirs, comme si elle était accablée de leur durée : hélas ! je cherche seulement un bien inconnu, dont l’instinct me poursuit. Est-ce ma faute, si je trouve partout des bornes, si ce qui est fini n’a pour

manière de voir le monde. Les romans, puis ce que c’est bien d’eux qu’il s’agit, sont pleins de ressources. Ils permettent une grande liberté d’interprétations, et ont parfois plusieurs lectures possibles différentes. Ils font fonctionner notre imagination, et nous font visualiser des scènes qui bien qu’étant semblables seront différentes chez chacun. Nous allons voir quels sont les avantages à entrer dans leur univers, qu’ils soient fantaisistes ou plus réaliste. Tout d’abord, quand, à la lecture

capable de se souvenir de davantage de choses que la sienne, ou une imagination plus précise que la sienne car ajoute-t-il dans la phrase suivante ces qualités qui s'ajoutent à la raison c'est-à-dire (rappelons-le) à la simple faculté de juger, sont fort utiles à l'esprit, sous-entendu l'esprit soucieux de connaître. III. 2 …qui ne l’empêche pas d’être pleinement homme. A l'opposé, mises à part ces facultés (raisonnement, imagination, mémoire), il ne s'est jamais soucié de sa raison car elle est "tout

figure, le mouvement. J'ai une idée claire et distincte en moi de formes géométriques que je peux construire ds l'espace (triangle possède une certaine essence pas formée par moi mais qui m'est innée). Figures ne me viennent pas des sens mais de mon imagination. Si je peux tirer de ma pensée l'idée de quelque chose alors tout ce qui lui appartient est vrai → preuve existence de Dieu. Idée innée en moi qu'il est souverainement parfait, parmi ces perfections, celle de tjr exister donc il existe = preuve

par son imagination ou son délire. Nous pourrions aussi croire que les troubles sont dus à la consommation d’alcool, mais en portant une attention particulière, on réalise qu’il commence à délirer avant d’avoir commencé à boire sa bouteille de rhum. Tout d’abord, la première hallucination qu’il a, est : « […] j’apercevais des groupes de roseaux plus élevés qui prenaient des figures surprenantes et semblaient par moments s’agiter. » Les figures surprenantes sont le fruit de son imagination et créent

rase-moquette. Ensuite, le coeur nous pèse à en crever, et il faut se libérer du démon ambitieux. C'est ainsi que naissent les artistes : d'un trop-plein d'idées dans le coeur, et d'une inondation d'imagination. Une imagination débordante, sagit-il du bon terme? Une imagination débordante, envahissante. Des ambitions associées, des projets, des idées, un espoir. Un espoir presque idéalisé. Un espoir. Irréel. Des projets qui se noient, et ta tête plongée dans l'eau glacée des songes brisés. Mais

allonge aussi les aventures de son héros tjrs dans le but de passion du lecteur, c'est-à-dire, il met en jeu son imagination Pour conclure nous pouvons dire en effet que le romancier utilise le roman pour décrire la société de son temps grâce a un héro qu’il insère dans la société tout en le confrontant a différentes situation semblable à la société, pour cela il met en jeu son imagination pour passionné son lecteur

son petit frère andréas dans une ville en France. Elle est en quatrième ce que veut dire qu´elle a notre âge. Elle a beaucoup d´ imagination, elle a créé des jeux de roles et elle a inventé une figure qui s´appelle Grande Sorcière Rouge et qui la guide dans la vie. Parfois celle-ci prend possession de Victoria et lui parle dans sa tête. À cause de sa grande imagination, les parents de Victoria l´ont amené chez le psycholoque pour qu´il lui dot que la sorcière n´existe pas et qu´elle doit grandir

qu’il le dépasse. Puis il envisage les données que pouvait fournir l’imagination au sens scientifique, quand elle dépasse les apparences sensibles pour montrer au libertin confiant dans sa raison, les limites de la pensée conceptuelle. Notre imagination se perd dans cette pensée, c'est-à-dire la pensée de Dieu, auteur de la nature. Il conclut avec logique et ironie que l’homme n’est rien ni dans l’espace ni par la pensée. II) Le recours à la rhétorique Chacune de ces étapes est rendue frappante