Imagination

effectivement sur une double subjectivité. De ce constat peuvent découler plusieurs conséquences : Imagination et liberté : Si l’artiste peut s’affranchir du réel sensible, il lui est alors possible d’évoquer des contenus nés de son imagination. Il n’est plus limité par la barrière du réel. Par exemple, Arthur RIMBAUD écrit Le Bateau ivre alors qu’il n’a jamais vu la mer, tout est le fruit de son imagination (faculté à reproduire d’êtres, de situations qui n’existent pas ou qui sont absents. Capacité

des toits mais dès l’empire romain, elles vont, au fil des siècles, prendre forme et devenir des œ uvres sculptées à part entière. Unique et chargée de mystère, chaque gargouille a pour reflet notre position de spectateur et fait voyager notre imagination : que représente-elle, quelle est sa fonction : nous prévenir d’un danger ou nous en écarter, ou simplement nous divertir ? Dans un premier temps, j’analyserai les œ uvres que sont les gargouilles : leur création, leur support et composition ainsi

de la poésie il dit que Aragon pense pour transmette sa poésie il ne devient plus un poète. II- Prenons un recul sur le sujet abordé, A- Le poète met son Art au service d'une cause : poésie engagée. Il utilise sa pensée plus que son imagination, La poésie engagée est un genre de poésie qui se met au service d'une cause (politique, culturelle ou encore religieuse) et invite le lecteur à la réflexion ou à l'action en faveur de celle-ci. Le lecteur se retrouve donc à utiliser sa penser a

Cette force soumet tout objet de désir à l’imagination, elle « le soumet à son imagination» c’est-à-dire qu’elle va présenter à l’imagination ce que l’on désire et ainsi l'idéaliser, le rêver. Comment nommer la fonction précise de cette force ? Il s’agit, semble-t-il, de la capacité que nous avons de nous représenter quelque chose même en son absence. Cette capacité de représentation permet, grâce à notre imagination, de mettre en images ce que l’on désire. Ainsi on comprend que cette force venue

obtient que de ce qu'on espère, et l'on n'est heureux qu'avant d'être heureux. En effet, l'homme avide et borné, fait pour tout vouloir et peu obtenir, a reçu du ciel une force consolante qui rapproche de lui tout ce qu'il désire, qui le soumet à son imagination, qui le lui livre en quelque sorte, et pour lui rendre cette imaginaire propriété plus douce, le modifie au gré de sa passion. Mais tout ce prestige* disparaît devant l'objet même ; rien n'embellit plus cet objet aux yeux du possesseur ; on ne se

encore pire avec ses enfants qu’il aimerait pouvoir serrer dans ses bras, ce manque de contact physique semble être l’obstacle le plus difficile à supporter pour Jean-Dominuque Bauby. Il semblerait également que l’auteur utilise beaucoup son imagination pour garder le moral. En effet il s’imagine acteur (l‘hôpital devient même le célèbre studio « cinecitta« ), metteur en scène (dont le héros serait atteint d’un Locked-in-syndrome) et même personnage historique (accompagnant l‘impératrice dans sa

l’existence ,il dit qu’il est certain d’être quelque chose, supposant que tout ce qu’il a acquis auparavant soit faux, il pense alors être quelque chose, de non encore découvert dont personne ne lui aurait jamais donné l’idée, il juge même son imagination comme étant fausse puisque l’imagination provient des choses déjà entendues ou vues, il ne veut pas être influencé par ce qu’il sait déjà et souhaite rechercher au plus profond de son âme ce qu’il est, si ce n’est une chose pensante. «  j’ai reconnu

desseins ; je partis précipitamment pour m’ensevelir dans une chaumière, comme j’étais parti autrefois pour faire le tour du monde. On m’accuse d’avoir des goûts inconstants, de ne pouvoir jouir longtemps de la même chimère, d’être la proie d’une imagination qui se hâte d’arriver au fond de mes plaisirs, comme si elle était accablée de leur durée : hélas ! je cherche seulement un bien inconnu, dont l’instinct me poursuit. Est-ce ma faute, si je trouve partout des bornes, si ce qui est fini n’a pour

savoir qui serait le dernier à survivre, crient finalement leurs douleurs, leurs désespoirs et surmontent les difficultés ensemble. e) La fin est-elle conforme aux évènements historiques ? L’auteur a décidé d’écrire son roman au gré de son imagination, en effet il ne s’est pas appuyé sur la vraie histoire du Bounty. Seulement un homme anglais survit avec les tahitiennes dans la réelle légende alors que dans L’Ile, un tahitien et un britannique ont échappé au massacre ainsi que les femmes. La

demandais même si elle n’était pas de bout en bout le produit de mon imagination. Ou alors un long rêve si réaliste que j’avais fini par l’affubler des oripeaux de la réalité. » Haruki Murakami – Au sud de la frontière, à l’ouest du soleil – p.69 Dans cette citation, Hajime, personnage principal de l’histoire est troublé par ce qu’il vient de vivre. Il se demande même si ce qui lui est arrivé n’est pas le fruit de son imagination. Il a l’impression d’être fou, d’avoir inventé cette histoire. Effectivement