Imagination

nous nous demanderons donc comment le poète a recréé par des mots l’ivresse du voyage. Pour cela, nous constaterons d’abord le caractère lyrique du poème, puis nous étudierons ensuite le thème du voyage et enfin nous verrons que ce voyage en imagination permet à Supervielle toutes les audaces. I). Un texte lyrique. « Je, mon coeur » (v. 3, 14) sont des mots intimes. On peut apercevoir tout au long du texte des sentiments joyeux aux vers 3, 4, 5, 8, 11, 13. Il a retrouvé ces sentiments grâce

s’imaginer résister au charme de sa femme. Guidés par leurs rêveries, les poètes entrainent facilement le lecteur dans un monde irréel, fruit de leur imagination. Baudelaire accoudé à sa fenêtre décrit Paris dans « Paysage », au début tel qu’il voit la ville puis petit à petit, il se laisse emporter par son imagination et représente la ville comme il aimerait qu’elle soit, idyllique. Devant une personne nécessiteuse qui fait la mendicité dans la rue, Baudelaire la voit différemment

protagonistes et de ce qui les entoure afin de se jouer la scène dans sa tête. Ainsi, il peut se créer selon son imagination et son caractère des portraits qui ne seront pas forcément les mêmes que ceux des acteurs. Le texte lui impose des détails visibles du décor et des héros grâce aux descriptions tout en lui donnant la liberté de les adapter et de laisser libre cours à son imagination. Dans l’œuvre de Victor Hugo, Ruy Blas décrit rapidement la reine dans son monologue : « Elle avait un petit diadème

aussi du monde qui l'entoure, de la nature. L'art peut alors être qualifiée de représentation de la nature aux yeux de l'artiste. Cependant, il ne se résigne pas à une simple imitation, car l'art est avant tout la maitrise d'une technique et d'une imagination qui rendront l'oeuvre originale même si elle s'inspire à la base d'un modèle précis. Par exemple, la photographie peut être considérée comme une imitation de la réalité, mais pas comme une copie. L'artiste y apport une certaine esthétique et des

se posait la question. « Que viennent faire des haricots dans un tableau qui représente la guerre. ». Donc on peut penser que Dali voulait simplement laisser aller son imagination et voulait dessiner des haricots. On peut imaginer que Dali aimait peut être mangé, que c’était un de ses plaisirs et donc en laissant aller son imagination, et qu’il pensait à manger en dessinant son tableau. Donc non, l’art n’est pas représentatif d’un conflit, il peut simplement suivre la mode du moment et laisser court

promesse à l'univers de cette marque qui est le monde des bonbons sans toutefois rentrer dans le positionnement même de Carambar (mais dans un soucis de cohésion tout de même avec cette même marque). En outre, nous savons que les écoliers ont une imagination débordante, par conséquent, en mettant cette eau de toilette, les enfants (cible) auront l'impression de participer, de vivre dans le monde, l'univers renvoyé par telle ou telle odeur. Toujours, dans un soucis de cohésion avec Carambar, le ton

semblent jouer un rôle déterminant dans la fabrication de nos désirs. Nous pouvons donc nous demander au fond en quoi nos désirs sont les nôtres et s'il est envisageable d' assumer des désirs que nous n'avons pas produits, ni même provoqués? Notre imagination, de plus, semble jouer un rôle considérable. Elle accentue cette forme de dérive que provoque en nous le désir et qui nous emporte bien souvent là où ne nous voudrions pas réellement aller. Dès lors, l'imagination, par la passivité qu'elle fait

surabondance de vie. » lignes 9 à 11. A la fin de l’extrait on peut constater que tout ce mal être est due aux bouillonnements d’énergie que René avait en lui. Aux lignes 2 et 3, il fait une métaphore pour dire qu’il subit son imagination ; « D’être la proie d’une imagination qui se hâte d’arriver au fond de mes plaisirs.» Il utilise également des oppositions qui se manifestent par le physique. D’abord, il a des rougeurs « je rougissais subitement » ligne 12, ensuite, il cri « je poussais des cris

constamment à la recherche d’un monde chimérique. Dans le langage courant, est idéal ce qui atteint le plus haut degrés de perfection, ce terme désigne donc un monde invisible, inaccessible mais que le poète est parfois capable d’entrevoir, dans son imagination, dans une femme, dans un parfum… Rechercher l’idéal est pour Baudelaire un moyen de fuir le Spleen. Néanmoins, dans «La géante» nous pouvons voir qu’il y a un idéal de beauté qu’on ne pourra jamais atteindre. Pour Baudelaire la femme

plaisir plus grand que « la satisfaction de ce qu’on possède ». Donc, selon lui, le bonheur est dans le désir et l’imaginaire. On peut donc dire que le texte dégage des enjeux essentiels qui sont : la fiabilité de nos désirs, fonction de notre imagination et la nature humaine. Afin d’analyser au mieux l’extrait, nous découperons le texte et nous supposerons que la pensée de Rousseau s’organise en trois parties distinctes : D’abord, du début jusqu’à la ligne 3, il est dit que le désir fournit un