Imiter Le Réel

seul certaines fables de La Fontaine , et par exemple pour les contes Pinocchio ) - La culture scolaire cf VOLTAIRE Candide -La cultures populaire : partagée par tous : Victor Hugo ( Les Misérables ) des ouvrages qui fournissent un modèle à imiter : -Un personnage auquel on peut s'identifier qui incarne les valeurs fondamentales.( Honore d'Urfé , l'Astrée ) -Une ascension sociale ( Helena Rubinstein de Michèle Fitoussi) -le courage face à l’adversité ( Le scaphandre et le papillon

TROMPE-L'ŒIL DE CHEVALET L'art du trompe-l'œil de chevalet consiste à provoquer l'illusion de la présence d'objets réels par des effets de perspectives, de contrastes d'ombre et de lumière marqués, et de traitement fouillé des textures des objets imités. Ceci n'est possible que grâce au respect et à l'application de certaines règles : 1. Respect de l'échelle : on traite à l'échelle n°1, soit grandeur nature. 2. Faible profondeur de champ : cette dernière doit être la plus faible possible et créer

l’artiste. L’art a pour source le réel, mais aussi la sensibilité de l’artiste, qui perçoit sa propre représentation de la réalité. L’art est la base de la culture et naît de l’expression de l’imagination. L’imagination est une part de la conscience, qui est un savoir intérieur qui nous permet de saisir ce qui se passe en nous et autour de nous. La réalité est l’opposé de l’imagination, c’est ce qui est concret. On peut donc se demander si l’art modifie notre perception du réel, c'est-à-dire modifie notre

lolita, une fille vraiment jeune, mais déjà sexy, aux manières aguicheuses, mais à l'air faussement naïf... En voici la photo : [pic] Il y a 20-30 ans, les petites filles jouaient à la poupée Barbie à 10-11 ans, on leur offrait une dînette pour imiter maman avec sa vaisselle. Elles s'habillaient en chemise à col « Claudine », robe à dentelles, socquettes blanches, se tenaient sagement à l'école et à la maison. On leur lisait les contes de Perrault, elles écoutaient « Chantal Goya » ou regardaient

moitié du XIXesiècle qui avait pour but de valoriser l’art poétique par la retenue et l'impersonnalité et le rejet de l'engagement social et politique de l'artiste. Le Parnasse apparaît en réaction aux excès lyriques et sentimentaux du romantisme imités de la poésie de Lamartine et de Musset (voire aussi les romanciers et dramaturges tels que Nerval et Hugo), qui mettent en avant les épanchements sentimentaux aux dépens de la perfection formelle du poème. > La religion du Beau Grâce à la perfection

Chaplin ressemblait trop à Hitler et ont donc censuré ses films. Chaplin en profite également pour régler son compte à Mussolini et les scènes opposant Hynkel et Napaloni sont parmi les plus drôles du film. Dans les discours du film Chaplin veut imiter les discours d’Hitler en les caricaturant. Pour cela, il mêle les langues (anglais, allemands, jeux de mots, bruits et grognements qui symbolisent sa haine des juifs). On retrouve également la soumission du public et des généraux qui applaudissent

elle n'a qu'une crainte : qu'il veuille devenir également chevalier. Etant isolé il grandit simple et ignorant, il ne connait même pas son propre nom,. Mais un jour, Perceval aperçoit de brillants chevaliers dans la forêt. Emerveillé, il veut les imiter et revêtir leur armure étincelante. Il gagne alors la cour du roi Arthur où il est accepté pour y apprendre le maniement des armes. Sa mère en meurt de desespoir. Il fait son enseignement militaire avec Gornemant et il apprend les lois de la chevalerie

un poème cherche à imiter un bruit. Ici elle est exagérée (on la retrouve également chez Racine). Evocation légère du rythme du train. Construction en chiasme (v.4 et 5). --> effet de prolongement et de rupture. Conclusion: C'est ds le souvenir qu'il écrit sa poésie. Repères autobiographiques d'une grde précision. A cause de ce voyage ce poème est très dynamique (enfant ardent et passionné par le voyage, l'ailleurs). poésie de Cendrars = fondée sur une expérience réelle. Témoigne son goût de

de contradiction entre Borromini et Bernini est leur interprétation des possibilités et limites de l'imagination. Pour Bernini : Son imagination tend à embrasser toutes les formes du réel et du possible. Pour Borromini : Son imagination s’affranchit de toute expérience de la nature. Elle ne cherche jamais à imiter le vrai, elle cherche à s’exprimer en formes utopiques d’un point de vue naturaliste ou statiques, mais réalisables par le biais d’une fabuleuse virtuosité technique. Borromini: En

scène est libre d’utiliser ou non les conseils de l’auteur. La première chose que l’on peut remarquer, c’est que le roi est polygame, ce qui n’est pas habituel dans une pièce de théâtre. Cela montre que le royaume du roi n’est pas ancré dans le monde réel : c’est une autre société. Cela donne avant même qu’elle commence un coté comique (parodique) à la pièce. Selon Ionesco, tout le monde connaît au moins 2 femmes la vie et la mort Le titre de la pièce pourrait laisser penser que l’on est dans le registre