Imperium

portraits à caractère élogieux du souverain de l’époque. 10/D’après le dictionnaire le Robert, empereur vient du latin imperare qui signifie « commander en maître, ordonner », du préfixe in et du verbe parare, préparer, apprêter. Il a donné le mot imperium, « commandement ». Le titre d'empereur est une déformation d’imperator que portaient les généraux romains victorieux acclamés par leurs troupes. Il s’agit donc d’un homme auquel sont attribués des fonctions de commandement, de cette délégation de

majeure partie des historiens comme la date de fondation du Saint Empire romain, même si Otton ne veut pas fonder de nouvel empire. Avec le couronnement d'Otton, le Saint-Empire avait obtenu sa légitimation temporelle, et sacré en tant que nouvel Imperium Romanum. Le Saint Empire Romain germanique : Cet Empire a éxisté du XVIe siècle au XVIIIe siècle, et est un regroupement politique de terres d’Europe occidentale et centrale au Moyen Âge, dirigé par l'Empereur des Romains mais aujourd'hui disparu

privée et de droit de la famille principalement. Plébiscite : (définition différente d'aujourd'hui) Normes édictés par le concile de la Plèbe. Edit impériaux : texte de protée générale à valeur contraignante que l'empereur prend en vertu de son imperium. ≠ édit du préteur : Il peut prendre ses édit n’importe quand tandis que le préteur les prend lors de son entrée en fonction. Décrets impériaux : décision particulière rendues par l’empereur qui vont peu à peu avoir valeur jurisprudentielle.

|conjuration | | |égalité géométrique |magistrats |clémence | | |armée / citoyens-soldats |imperium | | | |tributum |potestas | | |

le mandat fondé soit sur l’auctoritas c’est-à-dire l'autorité conférée à l'empereur en raison de son titre et l’impérium c’est-à-dire le pouvoir commandement Les édits étaient des textes a porté général promulgué par l’empereur en vertu de son impérium, ils proclamaient une disposition générale à valeur contraignante. Les décrets étaient des jugements rendus par l’empereur ou son conseil, ils avaient une valeur limitée en cas d’espèce mais l’auctoritas lui conférait une valeur plus générale

prendre 4 formes : l’édit, le décret, le mandat et le rescrit. L’édit est un acte juridique qui porte sur tout le territoire et toutes les catégories de personnes. Il était promulgué par l’empereur en vertu de l’un de ses pouvoirs et notamment son impérium proconsulaire. Les décrets est un jugement rendu par l’empereur ou par son conseillé. Le mandat était un ordre donné par l’empereur à ses magistrats à ses fonctionnaires. Le rescrit est une réponse écrite apporté par l’empereur à une question de

structures plus lâches et des territoires éparpillés. Généralement la notion d'empire sous-entend une conquête. Par opposition, une fédération, même si elle est multi-ethnique, est fondée sur le consentement de tous. Le mot empire vient du latin imperium, un mot désignant le pouvoir des consuls, puis la structure politique de l'Empire romain, fondé en 31 avant J.C.. Pendant plusieurs siècles, le terme d'Empire ne s'appliqua qu'aux États qui se considéraient comme héritiers de l'Empire romain, par

Sénat. Il est assisté par un adjoint, le maître de cavalerie. Les autres magistrats lui doivent obéissance. Le consulat : IL faut avoir 42 ans. La désignation se fait par les conciles centuriates, mais l’investiture qui doit conférer auspicium et impérium se fait par les comices curiates. Les consuls exercent le pouvoir un mois chacun, de façon alternée, ou se répartissent les fonctions civiles et militaires. La charge de consul va fait l’objet de démembrements successifs à cause de l’arrivée d’autres

territoire. Les citations de l’auteur qui appuient sa thèse : « … le territoire envisagé en lui-même n’est aucunement un objet de maîtrise de l’Etat, mais son étendue détermine simplement le cadre dans lequel est d’exercer la puissance étatique ou imperium… » « La territorialité n’est une partie spéciale du contenu de la puissance étatique, mais uniquement une condition et une qualité de cette puissance. » Document 3 : Le nom de l’auteur est Max Weber, le titre de l’ouvrage est Le savant et le

des coutumes ne serait pas menacée, il convient également de s’interroger sur l’intervention royale, et de se demander si celle-ci ne représente pas une instrumentalisation du rôle de gardien des coutumes, dont jouit le roi, afin d’accroître son imperium dans le domaine législatif, lui permettant ainsi d’assurer la définitive prégnance de la monarchie sur le territoire français. Par ailleurs, du point de vue de la doctrine du droit, il sera intéressant d’analyser les conséquences que peut avoir