Imperium

Magister militum Princeps senatus Pontifex maximus Préfet de Rome Imperator Légat Licteur Institutions et lois Constitution romaine Sénat romain Assemblées Magistrats Cursus honorum Auctoritas Droit romain Mos majorum Citoyenneté Imperium Potestas modifier Consultez la documentation du modèle Articles détaillés : Histoire de la Rome antique, Culture de Villanova et Italie préromaine. Naissance du patriciat[modifier | modifier le code] Article détaillé : Fondation de Rome. Contrairement

(assemblées) ratifient le texte sénatorial et en font une loi, ajout de la sanction. Par ailleurs, n’ayant conservé qu’un fragment on ignore si la lex de Imperio Vespasiani faisait partie d’un document qui conférait en bloc les pouvoirs impériaux : imperium consulaire, proconsulaire et puissance tribunicienne, ou si ce document avait été élaboré pour apporter des précisions sur les attributions de l’empereur. Quoiqu’il en soit, la partie du texte que l’on conserve aujourd’hui se compose de 8 clauses

poser c'est qu'ils seront à l'origines des Patriciens et que cette aristocratie patricienne se réserve le pouvoir consulaire. Ces deux consuls vont récupérer le pouvoir des anciens rois puisqu'ils sont titulaires de l'imperium (distinction imperium militiae et imperium domi). Les deux consuls ne sont en fonction que pour un an et à l'origine ils ont chacun la totalité des pouvoirs mais les exercent à tour de rôle (à l'origine de la République, ça changera par la suite). Roulement sur un mois pour l'imperium

tel ou tel droit. o Ce faisant, la loi domine véritablement le jus, et joue un rôle décisif dans ce que l'on appelle la Juris dictio (Action de dire le droit).  Cette action de dire le droit était originellement dévolue aux rois. La puissance (Imperium) des Consuls, contrairement à celle des rois qui précédaient la Révolution de 509, n'est pas arbitraire, puisque la juris dictio des Consuls est subordonnées à une règle supérieure : La loi.  Les douze tables ont été rédigées par le collège des

législateur sans supérieur et quasiment sans contrôle. Pour Bodin l’Etat se définit alors par ce qu’il appelle la puissance souveraine, puissance absolue qui se rapproche de l’imperium des magistrats romains, des consuls, imperium qui constituait un pouvoir suprême de commandement aux mains des consuls. Cette souveraineté, cette puissance souveraine, doit s’occuper seule d’un certain nombre de domaines, domaines qui lui sont donc exclusivement réservés. La loi du « prince

aux emplois publics de manière privilégiée, recommander des candidats à une magistrature ou à une charge importante, ligne13  «  Les candidats à une magistrature ou à une charge importante soit potestas soit imperium, ou à une curatio, qu'il aura recommandés au sénat ou au peuple romain ou auxquels il aura donné ou promis son suffrage, qu'on en tienne compte en dehors de l'ordre normal des élections. » . Les membres du Sénat ne peuvent pas

suivant ajoute des choses à la règle du précédent, il peut également la changer. Il y a également le pouvoir de la contrainte du magistrat, pour ceux qui ne respectent pas ses règles : (amendes, saisi de gage : moyen de pression). L’autre pouvoir est imperium : pouvoir suprême, de commandement. Quand il arrive au pouvoir il vote une loi qu’il lui donne ce pouvoir d’imperium, pouvoir de commandement à la fois militaire, ce qui implique un pouvoir disciplinaire. Pouvoir également civil par rapport à l’intérieur

deuxième : Un droit fondateur de la cité Paragraphe premier : La fixation de l’imperium consulaire A-La souveraineté consulaire originelle ▪ Dans l’organisation politique après 509, les 2 Consuls ont récupéré le pouvoir absolu des Rois (imperium) ▪ Au plan juridictionnel : le Consul reçoit à l’origine le pouvoir de mettre à mort ▪ Au plan administratif et militaire : global, total, souverain, sans limite. ▪ Les Grecs désignent le Consul comme le magistrat au 12 Haches :

directes / relâchées politiquement. Régions gérées à la manière forte, hégémonie.   Définition (= 1er article) : usage ou menace de la force, colonialité = toutes les formes de domination. Critique de l’autojustification des Américains.   Page 2 : « imperium américain ni formel ni entièrement informel… ». Le consensus de Washington est informel : les Américains prétendaient régler le problème de la bonne gouvernance économique dans les pays d'Amérique du Sud avec des plans d'ajustement structurels (austérité)

Section I : Royauté Par. I : Royauté pré-urbaine A/ Organisation gentilice B/ Patres et roi C/ Puissance des patres Par. II : Royauté étrusque A/ Culture étrusque B/ Pouvoir du roi Section II : Elaboration des institutions républicaines Par. I : Imperium des magistrats A/ Magistrats patriciens a) Les magistratures : continuité ou rupture politique ? b) Pouvoir des magistrats c) Apparition successive des différentes magistratures B/ Magistrats de la plèbe a) Pouvoirs b) Accès des plébéiens aux magistratures