Incipit Un Secret

Aristote. Pour lui, le tabac n’a que vertus : « C’est la passion des honnêtes gens, dit-il, et qui vit sans tabac n’est pas digne de vivre. Non seulement il réjouit et purge les cerveaux humains, mais encore il instruit les âmes à la vertu » p21 Cet incipit révélateur n’est donc fonctionnel que pour autant qu’il annonce le champ de la fascination qui traverse le champ de la pièce d’un bout à l’autre, une fascination que nous pouvons qualifier de qualitative. La fascination quantitative se résume dans

///////////////////////////////////////////// Stendhal : la chartreuse de Parme, 1830 Stendhal le rouge et le noir, 1830 La complexité du point de vue : a) présentation du cadre : Une description réaliste : Le maire : Céline, incipit voyage au bout de la nuit 1932 Cervantes 1615 Bernardin de Saint Pierre : Sthendal 1830 Charles Cros 1873 Paul Eluard 1926 Céline 1932 Levi Strauss 1952 Camus 1959 DeLillo 2008

étalant le mystère de ses jardins fermés que leurs murs ne protégeaient plus. Mais Fabien, ayant atterri, sut qu'il n'avait rien vu, sinon le mouvement lent de quelques hommes parmi leurs pierres. Ce village défendait, par sa seule immobilité, le secret de ses passions, ce village refusait sa douceur : il eût fallu renoncer à l'action pour la conquérir. Quand les dix minutes d'escale furent écoulées, Fabien dut repartir. Il se retourna vers San Julian : ce n'était plus qu'une poignée de lumières

(1775). Texte B : Alfred de Musset, On ne badine pas avec l’amour, acte I, scène 1 (extrait), (1834). Texte C : Eugène Labiche, Un chapeau de paille d’Italie, acte I, scène 1 (1851). Texte D : Eduardo Manet, Quand deux dictateurs se rencontrent (incipit), © Actes Sud-Papiers, (1996), TEXTE A – Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais, Le Barbier de Séville. ACTE PREMIER Le théâtre représente une rue de Séville, où toutes les croisées sont grillées. SCÈNE PREMIÈRE LE COMTE, seul, en grand manteau

description d'une femme et présente le cadre dans lequel elle se trouve Comment sont perçues les femmes au sein des Fêtes Galantes selon Paul Verlaine ? Nous analyserons dans un premier temps le secret dans la fête, puis dans un second temps nous montrerons l'image négative de la femme I. Le secret dans la fête A. Le cadre B. Le déguisement/Double Jeu II. Image négative de la femme A. Femme superficielle B. Vision négative du poète Conclusion : On y retrouve l'atmosphère du recueil

annoncent la jalousie. Et cette dualité est symbolisée par leur place dans la barque (bâbord, tribord). Il y a 5 personnages et donc deux couples possibles !!! Les favoris sont ceux d’un magistrat et ce sera un enquêteur !!! Conclusion Cet incipit fonctionne comme une scène d’exposition Le caractère des personnages est défini grossièrement. Le lecteur s’interroge sur la différence entre les frères et sur leur rivalité. Cette rivalité va s’exacerber lors de l’héritage. 2° lecture analytique :

Candide est chassé # Fin : Candide chasse le baron- Baronnie = monde de privilèges, d'illusion = paraître # métairie = repose sur le travail = être2. Les personnagesCunégonde : toujours liée à l'idée de nourriture : elle passe de « appétissante » (incipit) à « pâtissière ». Début : belle et oisive # Fin : laideCandide : Il ne retourne pas au château de TTT ; de naïf il passe à enrichi par ses expériences, il a voyagé. hhDébut : Bâtard déclassé # Fin : Propriétaire terrien (intégration sociale réussie

français du 15° a calqué le mot "enthousiasme" sur Platon. C'est la présence de Dieu dans le poète. Même manifestation que le communiant. Boileau et tous ceux qui s'appuient sur la théorie des anciens: "S'il ne sent point du ciel l'influence secrète Si son astre en naissant ne l'a formé poète, Dans son génie étroit, il est toujours captif" ART POETIQUE Du Bellay: "Cette honnête flamme au peuple non commune" Réservée à une aristocratie élue. Hugo "Un formidable esprit descend dans sa pensée/…

associant la chevelure à un bijou Elle est comme un bijou soignesement conservée et presentée, elle posede donc une grande valeur. l.129 l.43 Terme apartenant à la religion Chevelure → sacrée. Morte → sainte l.118-129-132 Champ lexical du secret Le narrateur presente l'existence d'une cachette → lecteur intrigué. l.117-119 Indicateur de temps Cadre nocturne propice à l'etrange + le temps passé a chercher donne du prix à sa trouvaille. l.118- 123 127 Sensations du nararteur phrase

de trois autres enfants : Paul, né en 1898, Germaine, née en 1902 et René, né en 1909. Un frère aîné, Maurice, né le 2 avril 1894 et mort le 18 août de l'année suivante, ne sera jamais mentionné dans l'histoire familiale. Marcel Pagnol écrira en incipit de la Gloire de mon père « Je suis né dans la ville d'Aubagne, sous le Garlaban couronné de chèvres, au temps des derniers chevriers » ; il nait au 16 cours Barthélémy. Sa famille paternelle est d'origine de Romanos, quittant l'Espagne au xve siècle